Civ 1ère 28 Novembre 2000

Commentaire d’arrêt : Civ. 1ère 8 avril 2008 Greenpeace c/ Areva. L’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 dispose que tout citoyen est libre de s’exprimer « sauf à répondre à l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Autrement dit, le droit de libre expression lui-même reconnu par la Convention européenne des droits de l’homme est une liberté limitée par la loi. Tout l’enjeu de cet arrêt de cassation partielle rendu par la première chambre

un Droit commun des sociétés. Ce Droit commun trouve son point d’appui dans la définition de la société au sein du Code civil (art. 1832) et dans une série de dispositions s’appliquant à toutes les sociétés, figurant aux articles 1832 à 1844-17 C. civ. D’autres matières offrent aussi des dispositions communes, telles le Droit des procédures collectives qui vient de subir une importante réforme le 26 juillet 2005, ou encore le Droit social, fiscal ou comptable. Mais ces derniers ne relèvent pas du

statuer sur sa prétention » (Civ. 1ère, 16 mars 1999, Pordéa c/ Sté Times Newspaper Ltd). Même si la Constitution française ne contient aucune disposition relative au droit au juge (à la différence, par exemple, de la Loi fondamentale allemande), le Conseil constitutionnel évoque, lui aussi, le « droit à un recours juridictionnel » (CC 9 avril 1996, déc. n° 96-373 DC, Loi organique portant statut de la Polynésie française, confirmée par CC 19 décembre 2000, déc. n°2000-437 DC, Loi de financement de

justifie le prononcé du divorce. L’article 242, dont la rédaction n’a pas été modifiée, définit la faute comme une notion à contenu variable qu’il appartiendra au juge de préciser au cas par cas. §1 : La notion de faute conjugale L’art. 242 C. civ énonce 4 éléments constitutifs de la faute conjugale. Il faut : Tous les devoirs expressément prévus par le Code civil vont être concernés : devoir de fidélité, d’assistance, de communauté de vie, obligation de contribution aux charges du mariage

l’imputabilité en droit de la responsabilité. Pour éviter cet accueil une autre proposition a été faite. Il s’agit d’apprécier le 3ème élément de la faute, l’élément d’illicéité par rapport à un enfant du même âge. C’est ce qu’a fait la cour de cassation dans Civ 1 7 mars 1989. III- le critère de l’illicéité : un critère déterminant maintenu La faute est un comportement objectivement répréhensible (A) et elle peut recouvrir différentes intensités(B) A- La faute, un comportement objectivement répréhensible

20 Section II Les effets patrimoniaux du mariage 24 Titre II : Le couple hors mariage 25 Chapitre I le concubinage 25 Section I l’existence du concubinage 25 Section II le régime du concubinage 26 Chapitre II le pacte de solidarité civil 28 Section I la formation du PACS 29 Section II les effets du pacs 31 Livre II la dissolution du couple 34 Titre I : la dissolution du couple non marié 34 Chapitre I la rupture du pacs 34 Section I les conditions de la rupture 34 Section

l’inexécution contractuelle : la jurisprudence a jugé que la responsabilité d’une infirmière engagée en raison de la chute d’un de ses clients, qui avait glissé sur un tapis, est délictuelle car elle ne se rattache pas à l’exécution du contrat : CassCiv1°, 28/04/81 ; BJ, I, n137. Pour les mêmes raisons, le patient qui déciderait de frapper son médecin ne pourrait pas être engagé dans sa responsabilité contractuelle. Le domaine délictuel est ainsi défini par l’absence de vérification des critères du domaine

extrapatrimonial de la famille LE MARIAGE (II) Documents 1. Cass. Chambres réunies, 24 avril 1862. 2. Cass. Civ. 1ère, 13 mars 2007, n°05-16627 3. Loi n° 2013-404 du 17 mai 2013 ouvrant mariage aux couples de personnes du même sexe (extrait). 4. Cass. Civ. 2e, 8 janv. 2009, n° 07-15.390. 5. Cass. Civ. 1ère, 13 déc. 2005, n° 02-21259 (arrêt à ficher). 6. Cass. Civ. 1ère, 28 mars 2006, n°03-10072 7. Méthodologie du cas pratique Exercices 1. Etudier tous les documents 2. Résoudre le

eu recours à une assistance médicale à la procréation, sont ceux qui ont procréé l'enfant. La filiation peut aussi être établie par la possession d'état (art. 310-1 C. civ. ). Cette dernière s'établit par la réunion de certains faits qui révèlent le lien de filiation et de parenté entre une personne et une famille (art. 311-1 C. civ.). De là, la possession d'état est un fait juridique. C'est un faisceau de faits qui crée la filiation. Cependant, dans le cadre de l'adoption simple ou plénière, la filiation

qu’une règle de preuve du cautionnement. 1ère Civ. 30 juin 1987 : revirement : les exigences relatives à la mention manuscrite ont pour finalité la protection de la caution (conditions de validité du cautionnement). => très forte augmentation du contentieux. => critiques de la doctrine : moyen pour certaines cautions averties d’échapper assez facilement à leur engagement. => La chambre commerciale n’a pas suivi l’opinion de la ch. civile. 1ère Civ. 15 nov. 1989 : exigences relatives à la