Civilisation Mésopotamienne

nos besoins, mais tout le superflu qui constitue la culture et même le luxe. Le propre de la civilisation et donc de la nature humaine est de se définir par des époques qui correspondent à des moments de progrès techniques ou la technique nous procure toujours plus de superflu. De la sorte, nous attendons de la technique qu’elle satisfasse des désirs qu’elle a elle-même créés. Il y a dans la civilisation et grâce à la technique un emballement artificiel des besoins. Puisque la technique n’est pas

Introduction: La notion même de civilisation peut se définir en s’opposant à celle de barbarie ou de sauvagerie : c’est parce qu’une société témoigne d’un certain progrès matériel et humain qu’elle peut être considérée comme plus civilisée que d’autres, notamment parce que ses mœurs sont plus pacifiées, parce que le droit démocratique y est instauré, parce la science et la technologie y sont plus avancées. Ainsi existerait-t-il des sociétés plus décentes à l’égard des plus faibles, plus humaines

il s'adresse directement à Bougainville. Dans ce texte, Diderot souligne l'opposition entre deux nations, les qualités des tahitiens devant les défauts de la culture blanche.       Nous verrons en quoi ce discours présentent les méfaits de la civilisation, fait un éloge de la vie naturelle et sur quoi repose sa force oratoire.      Diderot par la voie d'un vieillard, dénonce ici une société colonisatrice, injuste, immorale, violente face à un monde libre, simple, et tolérant aux autres.    

existe à l'aise ; point de propriété, point de loi, point de froissements, point de guerres. Tout est à chacun et à tous. La société est une communauté. Rien n'y gêne l'homme. Il mène cette vie pastorale et nomade par laquelle commencent toutes les civilisations ». Préface de Cromwell « Voilà le premier homme, voilà le premier poète. Il est jeune, il est lyrique. La prière est toute sa religion : l'ode est toute sa poésie. Ce poème, cette ode de temps primitif, c’est la Genèse » Préface de Cromwell

la république lui semble prématurée et il reste monarchiste, car elle seule peut concilier ordre et liberté. Il réhabilite dieu plus dans la nature que dans la pratique religieuse, la nature pour lui est vivante. L’œuvre d’art doit présenter la civilisation et le mœurs. René Il est un jeune francais vient adopté par les indiens natchez. Il demande au vieux chactas de lui conter ses aventures. Chactas lui reconte l’aventure d’atala, de leur amour impossible, de la mort de la fille. Elle s’est

'LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D ' A M O U R Luis Sepûlveda est né au Chili en 1949. Outre Un nom de torero, il est également l'auteur du Vieux qui lisait des romans d'amour, du Monde du bout du monde et du Neveu d'Amérique. Best-sellers mondiaux, ses romans sont traduits dans de très nombreux pays. Il est également scénariste, réalisateur, producteur et même acteur pour le cinéma. Luis Sepûlveda LE V I E U X QUI LISAIT DES ROMANS D'AMOUR R O M A N Traduit par de l'espagnol

invalidité des blessés / mutilés de guerre également à charge des sociétés - place des femmes renforcée (émancipation) 3. Conséquences morales - remise en cause des valeurs traditionnelles (religion, patrie) - doute quant à l’exemplarité de la civilisation européenne - traumatisme profond de toute une génération d’intellectuels, - émergence du courant pacifiste, parfois associé au socialisme/marxisme II. Les conséquences économiques, matérielles et financières 1. Conséquences matérielles

Louis Armand de Lom d’Arce de Lahontan. Il se distingue des autres en critiquant l’imposition du mode occidental aux Amérindiens ainsi que l’influence de l’église(G). Tous les deux expriment leur impression sur le premier contact de(avec) la civilisation amérindienne. Dans chacune de leur œuvre, le «sauvage» est présenté de la même façon. Cartier nous le démontre dans les Extrait de Voyages en Nouvelle-France écrit en 1534 dans laquelle(lesquels) il raconte une anecdote lors du positionnement de

Supplément au voyage de Bougainville 3-A et B sont aussi tous deux des hommes des Lumières: - ils lisent et aiment à discuter de leurs lectures ; - ils s’intéressent aux grandes questions qui animent les débats des salons :le rapport entre le sauvage et le civilisé, la propagation des espèces d’un continent à l’autre (p. 29). Ils sont capables d’un recul philosophique et quasiment ethnologique par rapport à la « cruauté » de certaines coutumes, ainsi que d’une vision synthétique de l’évolution

« Améliorer la vie matérielle, c’est améliorer la vie ; faites les hommes heureux, vous les faites meilleurs. » V. Hugo(XIXè s.) Dans cette phrase, Victor Hugo nous laisse entendre que si tout le monde avait une vie confortable l’existence de chacun serait meilleure. Personne n’aurait de quoi se plaindre donc tout le monde serait plus heureux donc jouirait du bonheur. Depuis toujours