Civilisation Romaine

vit, à quelque chose de puissant, d’enthousiasmant, de consolateur, qui l’aide à supporter sa « misère », sa faiblesse face à un monde incompréhensible à jamais hors de sa portée. Ce sentiment religieux paraîtrait donc inné, présent dans toute civilisation (qu’elle soit primitive ou moderne), et à moins d’être nihiliste, l’Homme entièrement areligieux n’existe pas. Affirmer donc que l’homme est naturellement religieux revient à contester la notion actuelle d’athéisme : indépendant de toute religion

perçu comme appartenant à un groupe appelé la communauté. Il faut faire attention à ne pas tomber dans une société individualiste (perte de lien entre les individus). La civilisation d’un peuple est ce qui le caractérise. La civilisation est formée par la culture et par niveau technique. Pour qu’il y ait civilisation, il faut une culture permettant de porter un Etat technique développé. Question : La culture en gros emprisonne t’elle l’individu ? (car la culture est quelque chose qu’on lui

comparaison entre l’Asie et l’Europe, qu’il dénonce ce qu’il appelle le « vol de l’histoire », formule-choc dont le sous-titre de son livre explicite le contenu : « Comment l’Europe a imposé le récit de son passé au reste du monde ». L’unité des civilisations Ce sont donc les historiens, et, derrière eux, une puissante tradition historiographique occidentale dans laquelle ils s’inscrivent et qu’ils prolongent souvent sans en avoir pleine conscience, qui sont l’objet de la critique serrée et parfois

chemins de fer pour se libérer en quelque sorte de l’obscurité qui est en train de les rattraper. Mais l’oeuvre nous montre que l’obscurité est trop enveloppante. Le meilleur exemple est Kurtz, le directeur qui ramène plus d’ivoire que quiconque. Le romain est dominé par ce personnage, qui reste presque totalement absent. On évoque Kurtz, on craint Kurtz, on critique Kurtz, on évoque la performance de Kurtz, on loue les discours de Kurtz… Au début il nous est présenté comme “emissary of light” (l’envoyé

INTRODUCTION I – CIVILISATION ET CULTURE : SENS GENERIQUE COMMUN AUX DEUX CONCEPTS. 1. Sens générique commun. 2. Adaptation et identité. 3. Différence d’échelle. II – LA CIVILISATION ET LA CULTURE : DEFINITIONS GENERALES DES DEUX CONCEPTS PRIS AU SINGULIER. 1. « La civilisation ». 2. « La culture ». 3. Combinaisons. III – LES CIVILISATIONS ET LES CULTURES : DEFINITIONS PARTICULIERES DES DEUX CONCEPTS PRIS AU PLURIEL. 1. Les civilisations. Identité. Matrices culturelles. Sept civilisations contemporaines

l’histoire de leur civilisation (« ne s’inquiétaient pas de ce qui s’était passé dans les temps reculés et loin d’eux »), ni la géographie (« leur curiosité ne s’étendait pas au-delà de cette montagne »), ni aucune religion dogmatique (« on ne leur (en) avait appris que ce qui la fait aimer »). Mieux : ils sont même parés de qualités fondamentales telles que l’honnêteté et l’humilité. Ce texte est donc polémique, puisqu’il remet en question les fondements majeurs de la civilisation occidentale.

L’écriture cunéiforme a été  inventée par les Sumériens, mais diffusée dans toute la Mésopotamie et même au-delà.  Actuelle Irak, entre les fleuves Tigre & Euphrate. Ces fleuves ont une importance énorme dans cette civilisation. Qui dit fleuve dit fertilité, sédentarisation, civilisation agraire, mais également crue, actions collectives. Sont apparues assez tôt des structures collectives qui avaient pour but d’endiguer les crues. On a vu apparaître des prémisses d’Etat au sein de Cités puis dans le

lire ni crire), ni lhistoire de leur civilisation (ne sinquitaient pas de ce qui stait pass dans les temps reculs et loin deux), ni la gographie (leur curiosit ne stendait pas au-del de cette montagne), ni aucune religion dogmatique (on ne leur (en) avait appris que ce qui la fait aimer). Mieux ils sont mme pars de qualits fondamentales telles que lhonntet et lhumilit. Ce texte est donc polmique, puisquil remet en question les fondements majeurs de la civilisation occidentale. Le quatrime document,

JEAN CHRISTOPHE MORIN Histoire des grandes civilisations 330-3B3-VI, groupe 00101 LE MOYEN EMPIRE ÉGYPTIEN TP3 Travail présenté à M Boris DÉRY Département des Sciences humaines Cégep de Victoriaville Le 3 décembre 2010 Table des matières Introduction 1 Espace et temps 2 Économie 8 Société et politique 11 Mentalités collectives 18 Arts et science 21 Conclusion 25 Médiagraphie 26 Annexe 1 31 Annexe 2 32 Annexe 3 33 Annexe 4 34 Annexe 5 35 Annexe 6 36

britannique » écrit R.Rémond), à la Russie où les Européens détiennent des parts dans les mines de Donetz, la métallurgie et le textile à St Petersbourg et Moscou. Tous sont soumis au « pacte colonial ». 3/une inégalité culturelle : exportation de la civilisation sans réciprocité. « Le monde a été à l’école de l’Europe » écrit R.Rémond. -le colonialisme : la doctrine, l’idéologie qui préconise l’établissement et le développement de colonies, considérées comme une source de puissance pour la nation