Clair de femme

Dans la grosse femme d’à côté est enceinte, de Michel Tremblay, l’histoire tourne surtout autour des relations humaines. Les personnages féminins sont très forts dans le roman alors que les personnages masculins manquent d’étoffe. Nous pourrons comprendre ce phénomène en observant les deux principaux aspects qui expriment cette différence, soit l’éducation et le niveau de courage. Tout d’abord, l’éducation joue un rôle important dans la différence entre hommes et femmes. C’était une époque

Moesta et errabunda Dis-moi ton coeur parfois s'envole-t-il, Agathe, Loin du noir océan de l'immonde cité Bleu, clair, profond, ainsi que la virginité? Dis-moi, ton coeur parfois s'envole-t-il, Agathe? La mer la vaste mer, console nos labeurs! Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse Qu'accompagne l'immense orgue des vents grondeurs, De cette fonction sublime de berceuse? La mer, la vaste mer, console nos labeurs! Emporte-moi wagon! enlève-moi, frégate! Loin! loin! ici la boue est faite

avec un esprit d’enfant dans un corps d’adulte. Il est attiré par ce qui est doux George Milton= petit et futé, l’ami de Lennie, le surveille et prend soin de lui Curley= fils du propriétaire du ranch, déteste Lenni car il est calme et placide La femme de Curley= on ne connaît pas son nom, elle est décrite comme “très provocatrice sexuellement” et qui “déteste” son mari Curley Candy= a une main “inutilisable”, rêve lui aussi de bâtir son ranch avec Lennie et George Slim, Carlson, Crooks et Whit=

peuple, 1830. Comment comprendre que ce tableau soit devenu le symbole d’une République triomphante alors que Delacroix, dandy- conservateur était un fervent défenseur de la monarchie ? A première vue : un tableau qui fait l’éloge de la République : la femme au centre du tableau a donné ses traits à Marianne, allégorie de la République. Elle est coiffée d’un bonnet phrygien et tient dans sa main droite un drapeau tricolore (interdit depuis 1815). Elle foule aux pieds deux soldats du roi, un Suisse et un

 assise sur une chaise à angle obtus , presque droit. Son  visage est sur la moitié gauche peint de face, la moitié droite est de profil. Son corps est fait  de lignes brisées, inégales qui rappellent peut­être l’ambiguïté et le caractère fort de cettre  femme , cependant au centre de son tronc , des couleurs s’entremêlent et donnent une  sensation de vie encadrée par un noir très grave , les bras et le bas du ventre, qui remontent  sur les côtes en laissant respirer un sternum rouge, violet, bleu , vert

tourne autour du parfum : « Je respire ton odeur »«Guidé par ton odeur »«le parfum des tamariniers » ( transposition de l’odeur de la femme à l’odeur des arbres -Baudelaire est dans un état de passivité et de réceptivité : « les deux yeux fermés ». Passivité marqué par le participe passé passif « guidé »( c’est la femme qui agit - Représentation de la sensualité de la femme, antidote du spleen et de l’ennui : « sein chaleureux » II- Synesthésie A- Un paysage maritime imprécis -Imprécis car sinon

confusément". Elle est agitée par l'effort qu'elle fait pour se souvenir: elle a en effet conscience que cette femme ne lui est pas totalement inconnue, mais elle ne parvient pas à se rappeler où ni quand elle l'a vue: "cette obsession l'agitait, l'énervait" • Son trouble se révèle aussi par les questions qu'elle se pose. Elle cherche d'abord à identifier l'inconnue: "Qui était cette femme?", puis elle croit l'avoir déjà vue et cherche à se rappeler où et quand. Une observation plus attentive la

de ces journées révolutionnaires, on pouvait en compter plus de 4000, prise d’assaut au milieu des cadavres et des blessés par un groupe d’hommes d’origines sociales diverses reconnaissables à l’allure et aux vêtements. Ils sont menés par une jeune femme, allégorie de la Liberté, buste dénudé, drapeau tricolore et fusil à baïonnette en mains, encadrée d’un Gavroche, gamin des faubourgs décrit par Victor Hugo dans les Misérables et d’un bourgeois considéré comme l’autoportrait de Delacroix, issu d’une

Document de synthèse à enregistrer et remplir à son nom La chasse (Ophélie, Claire, Yves et Flora) |Derrière la femme, Antonio s'était engagé dans une longue rue montante tout en escaliers et |Antonio est « le chasseur » | |en voûtes. Il n'y voyait pas. Il entendait des pas devant lui. Il sautait. Elle sautait. Il |Il poursuit la proie (la femme), derrière elle. | |montait les marches deux à deux, elle aussi, avec un petit rire.

foyers et offrent une fenêtre sur le monde. Tous ces médias favorisent une culture commune de la consommation. Face à cette économie, la presse féminine se décline à l’international. Ce phénomène va naître en France dans les années 1980 avec « Marie-Claire » et sera suivie par le magazine « ELLE » en 1985 pour les Etats-Unis. Une internationalisation opérée par le groupe Lagardère auquel le magazine appartient depuis 1981.Un véritable succès pour le magazine qui surfe sur les habitudes de vie des lectrices