Clair de femme

« Art poétique » énonce que chaque pièce doit toucher et plaire le spectateur « le secret est d’abord de plaire et toucher » (vers.1) notamment avec de l’originalité « inventez des ressorts qui puissent m’attacher (vers.2), et être également simple et clair pour le spectateur « Sans peine du sujet aplanisse l’entrée […] d’un divertissement me fait une fatigue […] » (vers.4 et 8). Commençons par la première scène d’exposition,  « Les Caprices de Marianne » d’Alfred de Musset datant de la 1ere moitié

l’architecture romaine de l’époque. Nicolas Sarkozy ainsi que Moustapha Abdeljalil portent un costume bleu foncé ainsi que des chaussures en cuir nuir. Le premier a une chemise blanche et une cravate bleu foncé. Le second est vêtu d’une chemise bleu clair et d’une cravate rayée. Cinq gardes républicains sont en garde à vous, en tenue officielle avec leur casque de parade. Quatre d’entre eux sont alignés à la droite du président français et le dernier est placé derrière le président libyen, entre deux

celle qui est servi, et ne joue pas au carte mais regarde vers l'homme situé à droite du tableau ou vers nous. La femme, qui est servi, est de face. Elle est mieux habillé que l'autre femme, portant un beau collier, de belle boucle d’oreille, et de beaux bracelet et bien sûr une belle tenue accompagnant tous cela. Elle joue au carte et regarde sur le cote en direction de l'autre femme tout en cachant ses carte et tendant ça main. L'homme à gauche est de dos et tourne la tête, il a les yeux et un sourire

était un bourgeois et celui de droite est peut-être un soldat dénudé. Cela montre que malgré leurs différents ordres sociaux, ils sont solidaires dans leur combat. Cette manifestation est donc celle du peuple. Au second plan, nous pouvons voir une femme, centrale et en hauteur sur des bois, en robe retroussée laissant voir sa poitrine nue, elle est aussi pieds nus, tenant de sa main gauche un fusil à baïonnette, de sa main droite un drapeau bleu-blanc-rouge qu’elle brandit. Sa tête est de profil,

1. William Bouguereau. * Biographie. C'est le 19e siècle, c’est l’époque de la bourgeoisie et des appartements haussmanniens. C'est une époque où l'argent domine et la femme est décorative. Adolphe Williams Bouguereau naît le 30 novembre 1825 à la Rochelle durant la Restauration de la Monarchie (1814 à 1830) sous le règne de Charles X, au sein d’une famille catholique de marchands de vin d’origine anglaise. Il a grandit dans un contexte instable avec la Révolution de juillet 1830, c’est-à-dire

fit clair comme en plein jour. 2. De crainte que Roxane ne l’aime pas, Cyrano masque ses sentiments. 3. Le sénéchal revint chez lui où il trouva Lancelot. 4. Lancelot raconte qu’il a passé des heures dans un cachot. 5. A cette nouvelle, Méléagant convoqua des maçons. 6 . Je ne remarquai ces choses qu’après que le domestique m’eut souhaité un bon somme. 7. Elle était haute, énorme, avec des murs épais. 8. De crainte que Roxane ne l’aime pas, Cyrano masque ses sentiments. 9. Cette femme s’habillait

historique : On débute avec le courant du Maniérisme à la fin du 16ème siècle comme prélude du Baroque avec l’art du mouvement dans la distorsion. Il est surtout représenté par El Greco. Puis on trouve l’esthétique du Naturalisme-Réalisme avec le clair-obscure représenté par Caravaggio et Georges de La Tour pour la France. Vient ensuite le Classicisme Baroque au début du 17ème siècle à l’encontre du mouvement même du Baroque, pour dépasser la réalité imparfaite. Il est représenté par Poussin et Caracci

Les deux bonnes sont Claire (la petite sœur, qui semble plus révoltée, excitée à l'idée de dominer son aînée dans le rôle d'assassine) et Solange (l'aînée, qui paraît plus réservée, inquiète sur le comportement révolté de sa sœur, bien qu'elle y participe activement). Elles travaillent pour une riche femme avec qui elles entretiennent une relation assez floue. Les deux bonnes s’habillent même avec les robes de leur maîtresse nommée Madame, lors de scènes (ne pas entendre des scènes dans le sens classique

je me souviens d'avoir aperçu, dans une salle étouffante d'assises, livrée aux avocats moins féroces que les dames empanachées ta petite figure blanche et sans lèvres. Plus tard, dans un salon de campagne, tu m'apparus sous les traits d'une jeune femme hagarde qu'irritaient les soins de ses vieilles Parentes, d'un époux naïf : __ << Mais qu'a-t-elle donc ? disaient-ils. Pourtant nous la comblons de tout. >> Depuis lors, que de fois ai-je admiré, sur ton front vaste et beau, ta main un

Les amours jaunes de Corbière « Le crapaud » ____________________________________________________________ ______________________________ Texte : Un chant dans une nuit sans air... La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. ... Un chant ; comme un écho, tout vif, Enterré, là, sous le massif... - Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre... - Un crapaud ! - Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de