Clair de femme

conditions de vie dans les années 1900 en prêchant par les exemples tirés de la vie de l’auteur, Claire Martin. Cette femme reçu une éducation religieuse depuis son tout jeune âge et est reconnue comme une femme de lettre québécoise. Elle se maria à un chimiste et vécu à Ottawa plus de 25 ans, puis, après un séjour en France, ils sont revenus au Québec, là où elle composa ses plus belles œuvres. Claire Martin continue d’écrire encore aujourd’hui. À ses 94 ans, elle publie‘’le feu purificateur’’, œuvre

Ourika, Claire de Duras L’œuvre qu’aujourd’hui j’ai décidé de vous présenter est nommé Ourika, elle a été écrite et publié anonymement par Claire de Duras en 1823. Claire de Duras est née le 27 février 1777 à Brest et morte le 16 janvier 1828 ici à Nice. Le roman est publié anonymement car Claire de Duras ne voulait pas faire carrière dans la littérature, elle était une femme issue de la noblesse, femme de couleur blanche, elle était également duchesse. Les femmes de la cour qui travaillaient

Jacques Vincey Hélène Alexandridis Marilú Marini Myrto Procopiou Nathalie Bègue Bertrand Killy Frédéric Minière, Alexandre Meyer André Neri Pauline Guyonnet Frédéric Minière, Clément Aubry Fabienne Killy, Bertrand Killy, Florent Gallier Claire Amchin / l’autre bureau Emmanuel Magis / A N A H I assisté par Mélanie Charreton Compagnie Sirènes Le Granit, scène nationale de Belfort > scène nationale d’Albi > Théâtre du Beauvaisis > Gallia Théâtre > Scène conventionnée de Saintes > Espace

déesse de la lune, a succombé à la beauté parfaite d’Adonis, et lui rend visite tous les soirs (de Vergnette). Elle se manifeste sous forme du clair de lune, et elle est vue caressante le visage et le torse d’Adonis. Le dieu Zephyr aide en tirant les branches des arbres pour laisser entrer la lumière. Une version de ce tableau, Endymion. L’effet du clair de lune (aussi connu comme Le sommeil d’Endymion) (1793), d’Anne-Louis Girodet était le centre d’attention du narrateur et de Madame de Rochfide

qui ayant perdu la mémoire, essaie de retrouver les lieux appartenant à son passé. Il parcourt l'Europe à la recherche de son ancien lieu d'habitat. Ce texte est découpé en deux parties, la première partie est un dialogue entre le narrateur et la femme, alors que la deuxième partie est une description faite par le narrateur. Dans ce passage, le narrateur découvre un endroit qu'il connaissait auparavant, il en fait la description. Il s'agit d'un point de vue interne du narrateur. Le texte est écrit

photographie peut être découpée en trois tiers : les soldats (= les forces de l’ordre dont la mission est de contenir la manifestation et prévenir tout débordement.) les baïonnettes et la fleur (= la guerre et le pacifisme>> les deux symboles) la jeune femme (= symbolise l’ensemble des manifestants). Le photographe donne à voir la ligne de front, policiers d’un côté, manifestants de l’autre. On sent que la tension est particulièrement forte. Alors que deux blocs se toisent, refusent de céder un pouce

Academy de Londres, cette peinture est devenue célèbre et, du fait de cette renommée, Füssli en a peint au moins trois autres versions. L'interprétation de l'œuvre a considérablement changé au cours du temps. La toile semble dépeindre simultanément une femme rêvant et le contenu de son cauchemar. L'incube (démon) et la tête de cheval se réfèrent à la croyance et au folklore de l'époque concernant les cauchemars, mais ont des significations plus spécifiques décrites par quelques théoriciens. Des critiques

L’histoire commence par le retour de Claire de ses vacances. Elle apprend que son frère, qu’elle aime beaucoup, a quitté la maison. Elle s’inquiète car son frère ne donne plus de nouvelles. Elle tombe en dépression et devient anorexique. Son père lui apporte alors une première lettre dans laquelle il explique son départ. Il serait parti à cause d’une dispute avec son père. Elle se rétablit mais les rapports avec sa famille se tendent. Elle décide donc de retrouver Loïc, et se rend compte qu’il n’a

Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie Aurore d'une ville un beau matin de mai Sur laquelle la terre a refermé son poing Aurore en moi dix-sept années toujours plus claires Et la mort entre en moi comme dans un moulin Notre vie disais-tu si contente de vivre Et de donner la vie à ce que nous aimions Mais la mort a rompu l'équilibre du temps La mort qui vient la mort qui va la mort vécue La mort visible boit et mange à mes dépens Morte visible Nusch invisible et plus dure Que la

» : le poème est dédié à une femme en particulier. La 2e personne, employée dans tout le poème, le confirme. Strophe 1 : Eloge de la femme - Accumulation et rythme ternaire : souci de totalité de la description de plus en plus globalisante (tête-geste-air), et assonance en [è],et allitération en [t] : voyelle ouverte et consonne occlusive : rythme très musical, très entrainant. - Topos baudelairien : comme un rappel à nombre des poèmes vus dans « S et I » : la femme paysage. Insistance sur la beauté