Clairvoyance

cœur " sombre flamme" , "humide brouillard " Liés par un oxymore. 2) Métamorphose du poète Il se métamorphose par des comparaisons "chat", "hameau" qui sont des symboles: - Chat --> calme-->évocation du sommeil tranquille mais aussi de la clairvoyance "deviner". - Hameau -->Tranquillité -->Appartenance à la montagne. Le poète n'est que spectateur à la géante dans un 1er temps. Dans un second, il parcourt celle-ci, la touche et à force devient comme elle, un élément du paysage. III Un univers

Victor Hugo, "Les Misérables" : l'épisode de la poupée I.Le dévoilement des sentiments d'une martyre A.Une conscience pénétrée B.La béatitude de Cosette C.Le paradoxe de la clairvoyance II.La symbolique de l'enfant et de la poupée : antipodes et personnifications A.La circularité littéraire B.Délitement et splendeur : deux poupées aux antipodes C.La fonction symbolique du passage Résumé du commentaire de texteEn 1862, Hugo prend sa plume pour mettre en scène, dans un roman qui retrace

comportements, vis-à-vis des animaux mais aussi et surtout à l’ égard des autres Hommes. La fiction introduit ici un rapport spéculaire entre le lecteur et les personnages : en lisant «  ce qui est possible », le lecteur acquiert une plus grande clairvoyance sur ce qui existe déjà.

son peuple. Et cette noblesse civique rend son désastre plus émouvant. Au cours de son enquête, l’entourage d’Œdipe va multiplier les indices. Œdipe va progressivement passer l’accusé à suspect and finalement coupable. Tirésias le devin de la clairvoyance est le premier a lui révélé qu’il est le meurtrier : « Je te le dis en face : l’homme que tu cherches depuis quelque temps avec toutes ces menaces, ces proclamations sur Laïos assassin, cet homme est ici même ». Par la suite, d’autres témoignages

pendant le sommeil, et pouvant être partiellement mémorisée. Il représente également le fait de laisser aller librement son imagination grâce à une représentation plus ou moins idéale ou chimérique de ce qu'on veut réaliser, de ce qu'on désire. La clairvoyance est la possibilité pour l'esprit de juger avec perspicacité et lucidité, de prévoir l'avenir. Le désespoir est un trouble de l'humeur caractérisé par un état dépressif, un sentiment d'incapacité, une absence de goût de vivre pouvant, dans les cas

sans transitions, chacun porte sur un thème/idée. → // dictionnaire - récurrence du mot « torture », « question » - 1§ : comparaison entre la Rome antique et la société contemporaine de Voltaire → rien n’a changé (sensé changer, être en pleine clairvoyance) - 2§ : scène d’intimité, scène domestique. Plaisir/torture. Côté malsain et scabreux. - 3§ : très subjectif - 4§ : Chevalier de la barre. Ironique, subjectif, personnel, sensible (colère, révolte contre la monstruosité et l’injustice) -

l’absurde. « Ces lieux déserts et sans eau où la pensée arrive à ses confins ». Arrivés en ce lieu, certains se suicident, d’autres suicident leur pensée. L’effort est de se tenir dans ce lieu , de l’étudier, de le comprendre avec « Ténacité et clairvoyance ». Là se tient une danse entre l’absurde, l’espoir et la mort

relativement semblable à la leur (Acte II scène 5). Béralde : frère d’Argan, il essaie de raisonner Argan sur sa prétendue maladie mais Argan reste sourd à ses belles paroles et ne change pas d’avis. Il est très raisonneur et possède une certaine clairvoyance sur le monde de la médecine. Mais puisqu’il ne peut raisonner son frère par une discussion, il va essayer de le faire par la comédie en laissant Toinette faire son jeu de faux médecin. Toinette : servante d’Argan, elle est très maligne et

côté des caractéristiques déjà évoquées, le trait fondamental du sage qui est mis en évidence dans cette fin de lettre est la liberté dont il jouit. En effet, pour rejeter les opinions fausses, repousser la douleur et rechercher le plaisir avec clairvoyance, il faut se savoir libre, il faut nécessairement se convaincre que certaines choses sont en notre pouvoir. Sans liberté, aucun bonheur n’est possible. C’est donc la condition suprême du savoir et du bonheur. Epicure distingue trois modalités selon

« étrangeté », expulse comme il se doit le digne représentant de Dieu pour se consacrer seul à la contemplation des étoiles. C’est ici, au « crépuscule des idoles » (ainsi que l’intitulait Nietzsche) que Meursault renoue avec le désir de vivre, dans la clairvoyance du condamné. Ne pleurons pas sur son sort, tout comme sur celui de sa mère, car les larmes sont hypocrites. Et d’ailleurs, à quoi bon pleurer sur soi ? L’essentiel est d’être venu, et d’avoir vécu ce passage. Peu importe l’aboutissement, seule