Clan Trabelsi

la répression de ses opposants et les atteintes à la liberté de la presse. Son régime fut également caractérisé par une généralisation de la corruption dont bénéficia principalement la famille de sa deuxième épouse Leïla, les Trabelsi, qualifiée selon les observateurs de « clan quasi-mafieux »5. La révolution de jasmin le contraint à quitter le pays le 14 janvier 2011 pour se réfugier à Djeddah en Arabie saoudite.

s’ajoutait une vaste garde présidentielle forte de 10 000 à 14 000 hommes ultrafavorisés, placés sous la direction du général Ali Seriati. Social-économique Disparité entre les ressources gigantesques du clan Trabelsi (du nom de l’épouse du président Ben Ali) et de l’ensemble de la population. Leila Trabelsi, forte de ses dix frères, avait mis la main sur des pans entiers de l’économie tunisienne, dans tous les secteurs. Il était impossible d’investir dans le pays sans traiter, moyennant espèces sonnantes

la répression de ses opposants et les atteintes à la liberté de la presse. Son régime fut également caractérisé par une généralisation de la corruption dont bénéficia principalement la famille de sa deuxième épouse Leïla, les Trabelsi, qualifiée selon les observateurs de « clan quasi-mafieux »6. Sa fortune personnelle, estimée à cinq milliards d'euros placés sur des comptes à l'étranger ou investis dans l'immobilier, serait essentiellement le résultat des détournements de fonds opérés durant les 23

El Materi est accusé par la presse française de prendre une part prépondérante dans la mainmise de la famille du président Ben Ali et de celle de sa belle-mère, les Trabelsi, sur des pans entiers de l'économie tunisienne. Ces derniers sont ainsi qualifiés selon les observateurs de « clan quasi-mafieux »9,10. Cette inquiétude a été renforcée avec l'acquisition par El Materi du dernier groupe de presse indépendant, Dar Assabah, en 20097,29. À l'automne 2010, les notes diplomatiques américaines révélées

la jeunesse joue d’autant plus qu'elle est nombreuse : 42 % des Tunisiens ont moins de 25 ans. - Les causes sont également politiques : le président Zine el-Abidine Ben Ali et sa famille, notamment celle de sa seconde épouse Leïla, les Trabelsi, qualifiée de « clan quasi-mafieux », car ils sont directement mis en cause dans des affaires de corruption, de détournement ou de vol. Malgré la fuite de ben ali le 14 janvier 2011 après 23 ans de règne (en arabie saoudite), la révolution continue - Protestation

tortionnaire au ministere de l'interieur société de nettoyage de l'aéroport de Tunis CNAM - Directeur Général de la sécurité sociale au Ministère des affaires sociales LASAAD ZARROUK verse au fils (autistes) de française à Paris. Moncef Trabelsi la somme de 350 Milles EURO pour la scolarisation de son fils autiste dans une école privée Rafaa Dkhil ex PDG de la SNDP-Agil (2010-2011) et ex-ministre de la communication, et des relations avec les Chambres des Députés et des Conseillers

« endormir les citoyens ». Le népotisme est aussi présent dans ces sociétés. Les familles au pouvoir ont souvent la main mise sur tous les secteurs économiques (banque, transports, immobilier, tourisme …) comme la famille Kadhafi ou le clan Ben- Ali Trabelsi. Ainsi, ce sont les familles régnantes et leurs proches qui se partagent les richesses du pays. Ce détournement de l'utilisation du pouvoir public dans le but d'en retirer des avantages illégaux par le gouvernement est fréquent : c’est

par la répression de ses opposants et les atteintes à la liberté de la presse. Son régime fut également caractérisé par une généralisation de la corruption dont bénéficia principalement la famille de sa deuxième épouse, Leïla Trabelsi, qualifiée selon les observateurs de « clan quasi-mafieux ». Sa fortune personnelle amassée pendant les 23 années de pouvoir est estimée à 5 milliards d'euros, placés sur des comptes à l'étranger ou investis dans l'immobilier, et serait essentiellement le résultat des

mafia constituée par la famille Trabelsi celle de la femme du président empoisonnait l’économie tunisienne en s’appropriant les entreprises lucratives par tous les moyens sans que personne ne les inquiète. En fait 2 clans se sont séparé l’économie tunisienne. La famille de Ben Ali s’est approprié le centre et la côte et les Trabelsi eux ont Tunis qui est la région la plus riche. La richesse des Ben Ali est estimée à 5 milliards d'euros. Quant à lui le clan Trabelsi vaudrait 12 milliards d'euros. D’après

sentiment que les richesses sont gaspillées, que les citoyens n’en bénéficient pas. Les causes sont également politiques : En tunisie: Le président Zine el-Abidine Ben Ali et sa famille, notamment celle de sa seconde épouse Leïla, les Trabelsi, qualifiée de « clan quasi-mafieux », sont directement mis en cause dans des affaires de corruption, de détournement ou de vol.Ainsi, le gendre du président Ben Ali, Mohamed Sakhr El Materi fait l'objet de maintes critiques : propriétaire de la Banque Zitouna