Clarinette

chanteur d'orchestre. Claude est engagé en 1958 dans un orchestre de jazz comme batteur pour la somme modique de 500 francs. Il reste 6 mois dans le grand orchestre de Louis Frosio et s'inscrit en même temps dans toutes les classes de l'Académie : clarinette, flûte etc… Sans oublier les leçons pour la formation de sa voix. Un soir de spectacle, il rencontre une jeune danseuse anglaise, Janet Woollacott, il tombe amoureux et l'épousera le 5 novembre 1960. Toute la famille de Claude sera présente, même

d’où une pression énorme. Parmi les autres interprètes célèbres de Strange Fruit, on peut citer (tentative d’ordre chronologique) : Ella Fitzgerald, Nina Simone, Carmen McRae, Josh White, Diana Ross, Robert Wyatt, Jeff Buckley, Marcus Miller (à la clarinette basse), Cassandra Wilson, Sting, Mary Coughlan, Jimmy Scott, Lou Rawls.

discipline Formation musicale (1) (2) Professeur des conservatoires Professeur des conservatoires discipline Violon (1) (2) discipline Musiques traditionnelles (1) (2) Professeur des conservatoires Professeur des conservatoires discipline Clarinette (1) (2) Maître de conférence de l’ESPCI discipline Matériaux cristallisés (1) (2) Maître de conférence de l’ESPCI discipline Sciences analytiques (1) (2) Adjoint d'animation 1re classe physique, chimie, biologie dans les sciences pluridisciplinaires

occupe une place importante et même centrale dans le film. Pourtant, elle est rare. Très peu de musique "off" (que le spectateur est seul à entendre et les personnages n'entendent pas): quelques moments où les cordes amplifient l'action. Un solo de clarinette (instrument de musique juive) repris plusieurs fois : cet instrument symbolise la solitude du musicien sans partenaire, l'homme seul. Mais on entend de la musique "in" jouée par le pianiste dans le film à des moments importants. Et quasiment

bruts. Sculpture cubiste Le buste en bronze Fernande Olivier (également intitulé Tête de Femme, 1909, Musée national d'Art moderne, Paris), confirme, dans la sculpture, ses intuitions picturales. Il réalisa des constructions comme Mandoline et Clarinette (1914, musée Picasso, Paris) à partir de fragments de bois, de métal, de papier et d'autres matériaux, dans lesquels il explora les hypothèses spatiales de la peinture cubiste. Son Verre d'absinthe (1914, Musée national d'Art moderne, Paris), combinant

du compositeur liégeois Michel Fourgon, écrite en 2007 pour l’Orchestre Philharmonique de Liège, transpose avec la toile Victoire Boogie-Woogie de Piet Mondrian : chaque couleur de la toile est rendue par un instrument de l’orchestre (rouge = clarinettes, noir = trombones, bleu = cordes, etc.). Il s’agit de parcourir le tableau de gauche à droite, sur une ligne du temps imaginaire, comme si c’était une partition. VERS UN ART TOTAL D’autres artistes ont voulu rapprocher les arts. L’étape marquante

Les compositeurs développent l’harmonie (chromatismes, altérations), la mélodie (qui peint les sentiments), le rythme (superposition de triolets… et apprécient les timbres instrumentaux proches de la nature comme ceux de la flûte, du cor ou de la clarinette. I. Les débuts du romantisme Autant le XVIIIème siècle voyait la musique comme une imitation de la nature, autant la génération suivante la hausse au rang de langage absolu, d’art. Les romantiques donnent aussi la priorité à l’instrument

son œuvre, et même d'y insérer des éléments de symbolique, conférant à ce concerto sa dimension mystique. Ainsi, le premier mouvement commence par des arpèges de cordes à vide (quintes justes) au violon solo, complétés par les arpèges des deux clarinettes et de la harpe. Avec chacun quatre notes, chaque pupitre expose douze notes, qui s'avèrent être annonciatrices de la série que le violon solo énonce dans l'exposition. Cette série repose sur une grande courbe thématique ascendante de plus de deux

le savoir. C'est donc par lui-même qu'il parfait sa culture et sa maitrise de la langue française et de la musique. Son univers familial le prédispose à jongler avec de la musique. Il aprendra par lui-même des instruments aussi divers que la clarinette, le piano, la harpe, la guitare, le concertina, la trompette... « La mer démontée ». Il prend des cours de théâtre, monte en 1948, un numéro burlesque, « les trois cousins ». C'est au hasard d'une tournée théâtrale avec la compagnie Jacques

registre sonore et les thèmes seront différents. La musique peut aussi faire passer un sentiment précis, une ambiance particulière en utilisant des instruments différents. Le violon et les cordes servent à soutenir une scène sentimentale tandis que la clarinette et les cuivres basses servent à mettre du suspens. La flûte traversière a, quand à elle un côté pastoral, évoquant le réveil de la nature. La musique d'un film peut aussi servir à soutenir une époque. En général, les instruments choisis sont ceux