Classique des rites

des citoyens avec leurs dieux sont donc contractuelles (je te fait un sacrifice, tu me protège). Une dimension politique de la religion apparaît ici : honorer les dieux c'est faire un acte civique, citoyens. De ce fait une religion avec beaucoup de rites et aucune laïcité puisque politique et religion sont liés. Cependant, pas d'après la mort dans un premier temps. Des questions existentielles qui ne concernent pas la religion mais la philosophie → les dieux répondent à des besoins quotidiens mais

décisions et l’action – la réussite – ouverture aux autres | | |Symboles : déménagement et décloisonnement des bureaux | | |Rites et routines : instauration de groupes de travail autour de projets pour développer la transversalité | | |souhaitée par la direction et faire disparaître les cloisonnements interservices  | |

stabilité de l’identité de l’organisation dans le temps malgré les crises qu’elle pourra traverser. Les composantes de la culture d’entreprise contribuent à une vision commune de tous les salariés, en voici quelques exemples : * Les rites Les rites sont des activités de tous les jours, systématiques et programmées dans la compagnie. Ils ont pour fonction de développer le sentiment d’appartenance, de donner de l’importance aux événements qui véhiculent les valeurs et de fixer la culture

qu'ils existèrent jusqu'au 4-5è siècle après J.-C. C'est à cette époque que le brahmanisme, sclérosé par les rites sacrificiels et par l'omniprésence du clergé, fut remis en question. Les courants vishnuïste et shivaïste prirent alors une position dominante dans l'expression de la religion védique. Ce sont les musulmans qui introduisent le mot "hindou" au 8è siècle. Au 12è siècle, le terme classique de Sanatana Dharma ("ordre éternel") apparaît pour désigner l'hindouisme. Aujourd'hui plus de 80% des

tout de même intéressant de les étudier. Avec les comptes-rendus cliniques ils mettront en évidence des comportements qui semblent s'apparenter à des recherches "d'un sacré sauvage" aujourd'hui affecté par la dilution des valeurs collectives et des rites de passage. De ces observations seront déduites des orientations éducatives. Elles serviront à ébaucher les grandes lignes d'un projet pouvant apporter une réponse concrète, adaptée aux problèmes manifestés à travers certaines conduites à

d’autres sont polythéistes, admettant plusieurs Dieu. On trouve également des religions sans Dieux (bouddhisme par exemple). D’autre part, la religion est d’abord un ensemble de rites, de pratiques, de prières de gestes s’exécutant suivant un strict et invariable protocole. Mais la religion, ne se distingue pas que par ses rites, elle se distingue également par la foi, dite foi religieuse, qui correspond à la certitude de l’existence de vérités révélées et de dogmes religieux, en l’absence de toute preuve

une perception individuelle du divin et des moyens différents d’entrer en contact avec lui. Elle se présente donc généralement comme étant une organisation de la foi au niveau social, intellectuel et spirituel. Dans les religions révélées on a des rites qui se rattachent à des personnes qui ont vraiment existé. Moïse avec le judaïsme, Jésus avec le christianisme, Mahomet et l’islamisme ou même le Siddhârta avec le Bouddhisme. Ces personnages ont réellement vécus, leur existence historique n’est pas

règles solides mais totalement officieux dans la mesure où elles ne sont pas dictées par l’entreprise mais elles sont plutôt crées au sein même de la « communauté » des contrôleurs, de plus ces règles sont transmises oralement selon des codes et des « rites » propre au groupe. La culture des contrôleurs est apparentée par l’auteur aux codes sociaux qu’on retrouve dans les tribus où l’autorité, bien qu’elle existe, suit une répartition des pouvoir plutôt horizontale et où les membres du « groupe ou

essentielle pour expliquer le vécu quotidien et les choix stratégiques réalisés par un groupe social. La culture d’entreprise est dans un certain sens, un sous-produit de la culture nationale et par conséquent un ensemble de valeurs, de mythes, de rites, de tabous et de signes partagés par la majorité des salariés. • Les valeurs sont les préférences collectives qui s’imposent au groupe, les croyances essentielles, les normes qui définissent les façons d’agir et de penser. Plus concrètement, les valeurs

« Femmes et sociétés dans la Grèce classique » BERNARD Nadine Chapitre 3 : Les liens du mariage Dans les épopées homériques déjà, la Grèce antique s’affirme comme une société patriarcale. Au VIIIe siècle, la cité en se développant se bâtit sur une double exclusion : « club de citoyens », elle exclut les étrangers (métèques) et les esclaves ; « club d’hommes », elle exclut les femmes A l’époque classique de la Grèce, nous constatons l’apparition d’un système d’éducation révolutionnaire chez