Classique des rites

Hofstede ou * Distance hiérarchique, féminité/masculinité, évitement de l’ambiguïté, individualisme/collectivisme, orientation long terme. -Tendance à l’harmonisation sous l’effet de la mondialisation ? Autres composantes d’une culture : -rites : on le fait régulièrement mais on ne sait pas trop pourquoi, ça nous rasure -mythes : légendes, des histoires -normes : qu’est ce qui est admis pour être accepté et que le groupe fonctionne -héros : La bûche -valeurs : liberté, égalité, fraternité

nouveaux produits sont créés en fonction des différences culturelles. Trouvez un exemple, insérez-le et justifiez votre réponse ( /2) Les Haribo Halal ont été crées pour les musulmans puisqu’ils ne peuvent pas manger de porc et que les bonbons classiques sont faits à partir de la graisse de ces animaux. 12. A quel moment prenons-nous conscience des différences culturelles et pourquoi ? illustrez par un exemple vécu par l’un d’entre vous (à l’occasion de vacances, d’un séjour à l’étranger)

INTRODUCTION La période classique grecque a été marquée par le plus grand conquérant de tous les temps, Alexandre II de Macédoine. Le film Alexandre a été réalisé par Oliver Stone en 2005 afin de rendre hommage au célèbre homme. Un bref résumé de son film, une description du contexte historique de l’ère classique ainsi qu’une évaluation du film par rapport à sa valeur historique suivent afin d’en apprendre plus sur Alexandre Le Grand. 1. Résumé du film Oliver Stone s’est donné un grand défi

Mexique ainsi qu’une introduction anthropologique. Les salles communiquent entre elles par un patio ou se trouve une fontaine. Quelques exemples de salles : Salle des Origines : Premiers vestiges qui attestent d’une présence humaine Salle pré-classique  Vestiges attestant de la présence des premiers villages de l’an 2000av.J-C. On trouve également des objets en argile qui sont des figures féminines que l’on met en relation avec la culture de la fertilité. De nombreux changements interviennent

différencie de ce qui se passe sur un marché. Cette différence s’exprime en terme de résultat. De manière très schématique, sur un marché, la confrontation entre offre et demande produit un résultat particulier qui est l’équilibre, notion chère aux néo-classiques. Selon le modèle de Zartman, la négociation est un mode de prise de décision. Pour de nombreux auteurs, la négociation est un processus : • C’est un processus d’identification et de choix spécifiques à partir d’une situation d’incertitude ; • C’est

différencie de ce qui se passe sur un marché. Cette différence s’exprime en terme de résultat. De manière très schématique, sur un marché, la confrontation entre offre et demande produit un résultat particulier qui est l’équilibre, notion chère aux néo-classiques. Selon le modèle de Zartman, la négociation est un mode de prise de décision. Pour de nombreux auteurs, la négociation est un processus : • C’est un processus d’identification et de choix spécifiques à partir d’une situation d’incertitude ; • C’est

du vizir et du roi). L’échelon provincial se compose de provinces (qui divisent l'Egypte) qu’on appelle les nomes. Dans chacune de ces provinces est nommé par le roi un gouverneur ; représentant du roi dans la province : le nomarque. À l’époque classique, l'Egypte comptera 22 nomes (on ne sait pas trop pour l’Ancien Empire, peut-être une vingtaine). À l’échelle de chacun de ces nomes, se trouvent reproduite les grandes divisions administratives de l’échelon central (un trésor, une administration

souffrance, elle occasionne des rites permettant d’affronter cette période de douleur pour ceux qui restent et d’accompagner le disparu dans son nouvel état. La croyance en la subsistance de l’âme du défunt ou la croyance en sa réincarnation aident à percevoir sa disparition physique moins comme un anéantissement total que comme un éloignement temporaire : la mort renvoie aux conceptions que l’on se fait de l’au-delà (enfer ou paradis). Selon les cultures, les rites de deuil qui accompagnent cette

que celle de mythologie, dans la mesure où mythologie et mythe mettent l'accent sur les récits et les personnages, objets, lieux, etc. qu'ils mettent en scène, c'est-à-dire sur la dimension narrative, tandis que le folklore englobe également les rites, les savoir-faire, les chansons, les danses, et tout ce qui relève du « patrimoine culturel immatériel de l'humanité » au sein d'un peuple donné (même s'il est souvent indispensable d'étudier aussi ces éléments lorsqu'on étudie les mythes). Une autre

investissements directs à l’étranger, le succès d’une implantation dépend en effet d’une bonne compréhension de cet environnement. Dans ce sens, L’organisation qui assure la création de valeur nécessite l’abolition non seulement des frontières classiques à caractère juridique, politique ou financier mais aussi des limites et obstacles inhérents aux spécificités culturelles de chaque pays. La culture, en tant qu'un ensemble de traits communs aux membres d’un groupe humain donné, exerce une influence