Claude Gueux Critique Sociale

l’influence d’Honoré Daumier. Il expose au Salon à partir de 1842. Il rencontre à Cherbourg Catherine Lemaire, ancienne servante, qu'il épouse en 1853. Elle lui donnera 9 enfants. En 1847, son Oedipe détaché de l'arbre par un berger attire l'œil des critiques parisiens. En 1848, il expose au Salon Le vanneur, qu'Alexandre Ledru-Rollin lui achète pour cinq-cent francs. C'est la première œuvre d'une influence sur le travail paysan qu'il développe à partir de 1849 en s'installant à Barbizon avec Charles

il a été admiré par ses contemporains et l’est encore, mais il a été aussi contesté par certains auteurs modernes4. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l’engagement de l’écrivain dans la vie politique et sociale grâce à ses multiples prises de position qui le condamneront à l’exil pendant les vingt ans du Second Empire. Ses choix, à la fois moraux et politiques5, durant la deuxième partie de sa vie, et son œuvre hors du commun ont fait de lui un personnage

il a été admiré par ses contemporains et l’est encore, mais il a aussi été contesté par certains auteurs modernes6. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l’engagement de l’écrivain dans la vie politique et sociale grâce à ses multiples prises de position, qui le condamneront à l’exil pendant les vingt ans du Second Empire. Ses choix, à la fois moraux et politiques7, durant la deuxième partie de sa vie, et son œuvre hors du commun ont fait de lui un personnage

Catharsis grâce à laquelle l’âme du spectateur était purifiée de ses passions excessives. Depuis les choses on évoluer mais le principe n’a pas changer. Quelque soit le style ou le mouvement littéraire employé, les auteurs cherchent à créer un miroir sociale, un reflet plus ou moins caricatural de la société, qui permet de mieux la comprendre, et de mieux dénoncer ses failles. A/Le roman naturaliste et réaliste Le roman est un genre littéraire dominant au 19ème siècle. A cette époque son rôle est

décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du xixe siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean qui n'est pas sans rappeler le condamné à mort du Dernier Jour d'un condamné ou Claude Gueux. C'est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine. L'auteur lui-même accorde une grande importance à ce roman et écrit en mars 1862, à son éditeur Lacroix : « Ma

qu’il faut minimiser mais condamner les princes. Toute la démonstration se détruit d’elle-même dans le texte. Par le biais de la « fausse logique », le lecteur doit être convaincu du caractère inacceptable de l’esclavage. Le texte de Jean-Claude Carrière, La controverse de Valladolid (1992), met en scène Sépulvéda et Las Casas. Ce dernier tente de convaincre le cardinal que les Indiens sont des hommes égaux, en rien différent des chrétiens alors que Sépulvéda veut convaincre du caractère

un appelle à la résistance armée. Poursuivit il parvient à passer la frontière en Belgique le 14 décembre. C’est le début d’un long exile pendant 19ans. Des lors réformiste il souhaite changer la société il dénonce violemment le système d’inégalité social. Il est contre les riches capitalistes leurs gains sans les réinjecter dans la production. Il s’oppose aussi à la violence si celle-ci est exercée sur un pouvoir démocratique. 3) HUGO ET LES FRANÇAIS Hugo représentait beaucoup pour les français

il a été admiré par ses contemporains et l’est encore, mais il a été aussi contesté par certains auteurs modernes6. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l’engagement de l’écrivain dans la vie politique et sociale grâce à ses multiples prises de position qui le condamneront à l’exil pendant les vingt ans du Second Empire. Ses choix, à la fois moraux et politiques7, durant la deuxième partie de sa vie, et son œuvre hors du commun ont fait de lui un personnage

décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du xixe siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean qui n'est pas sans rappeler le condamné à mort du Dernier Jour d'un condamné ou Claude Gueux. C'est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine. L'auteur lui-même accorde une grande importance à ce roman et écrit en mars 1862, à son éditeur Lacroix : «

contre la peine de mort. Avec ce roman et celui de 1834, Claude Gueux, il souligne à la fois la cruauté, l’injustice et l’inefficacité du châtiment suprême. Entre temps, il écrit «Notre-Dame de Paris» en 1831. C’est seulement une trentaine d’années plus tard qu’il réécrit un nouveau roman qui est l’un des plus grands romans de la littérature française. Ce dernier qui apparaît en 1862, en pleine période réaliste, embarrasse d’ailleurs la critique parce qu.il louvoie constamment entre mélodrame populaire