Claude Lantier Paris

leurs drames individuels, du guet-apens du coup d'Etat à la trahison de Sedan. Préface de La Fortune des Rougon (1871) La Bête humaine (1890) extrait [Jacques Lantier est mécanicien à la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest. Depuis sa jeunesse, il est tenaillé par le désir de tuer. Dans ce début de roman, il vient d'éprouver ce besoin irrésistible devant une jeune fille et s'interroge sur sa pulsion.]

notamment une illustration du métier de blanchisseuse qu’exerce le personnage principal Gervaise, La blanchisserie est décrit en détail ainsi que la rue où elle se trouve, nous sommes situé à l’époque de l’auteur c'est-à-dire au XIVème siècle dans Paris avec des lieus réels. C’est une société où il est difficile de gagner en notoriété lorsque l’on part du plus bas échelon. Même si l’héroïne va réussir, la prospérité sera de courte durée et elle va vite plonger dans la détresse. On se plonge dans le

http://www.comptoirlitteraire.com/ 2 Résumé Chapitre I En 1850, sont, depuis deux semaines, arrivés de Plassans, en Provence, à Paris, Auguste Lantier, sa compagne, Gervaise, et deux de leurs fils, Claude et Étienne. Ils s'installent dans le faubourg de la Goutte-d’Or. Descendus d’abord à l’hôtel Montmartre, ils se réfugient à l’hôtel Boncœur, un garni misérable. Comme Lantier, qui est paresseux, infidèle et ne supporte pas de vivre dans la misère, a, au bout de deux mois et demi, au lieu de s’établir

notamment une illustration du métier de blanchisseuse qu’exerce le personnage principal Gervaise, La blanchisserie est décrit en détail ainsi que la rue où elle se trouve, nous sommes situé à l’époque de l’auteur c'est-à-dire au XIVème siècle dans Paris avec des lieus réels. C’est une société où il est difficile de gagner en notoriété lorsque l’on part du plus bas échelon. Même si l’héroïne va réussir, la prospérité sera de courte durée et elle va vite plonger dans la détresse. On se plonge dans le

Émile Édouard Charles Antoine Zola[1] naît 10 rue Saint-Joseph à Paris le 2 avril 1840 d'un père italien et d'une mère française. Il est le fils unique de François Zola[3], natif de Venise, et d'Émilie Aubert, native de Dourdan. Son père, ingénieur de travaux publics, ancien officier subalterne italien, soumissionne la construction d'un système d'amenée d'eau potable à Aix-en-Provence depuis la montagne Sainte-Victoire. Il obtient le contrat le 19 avril 1843 et s'installe alors avec sa famille à

né à Paris le 2 avril 1840 et mort à Paris le 29 septembre 1902. Il est d'abord connu comme journaliste et critique d'art et littéraire, métier qui fait de lui un prosateur reconnu et considéré comme le chef de file du naturalisme. C’est au collège d’Aix-en-Provence qu’il se lie d'amitié avec Paul Cézanne, qui restera son ami proche jusqu'en 1886. Ce dernier l'initiera aux arts graphiques, et plus particulièrement à la peinture. Ami à qui il doit de rencontrer des peintres tels que Claude Monet

(Emile Zola s’est documenté dans les mines) il se veut également être un document important sur les rebellions et l’arrivée de marxisme en France. L’AUTEUR ET L’ŒUVRE BIOGRAPHIE Né à paris en 1840, ZOLA fait ses études dans le sud de la France à Aix en Provence (ou il est condisciple de Cézanne) et à Paris. Après son échec au baccalauréat, il entre à la librairie Hachette pour ficeler les paquets. Remarqué pour son intelligence, on lui confie le service de la publicité, ce qui lui permet de

marche à travers le corps social, et ils racontent ainsi le second empire, à l'aide de leurs drames individuels, du guet-apens du coup d'État à la trahison de Sedan. Préface de La Fortune des Rougon(1871) La Bête humaine (1890) ch. II [Jacques Lantier est mécanicien à la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest. Depuis sa jeunesse, il est tenaillé par le désir de tuer. Dans ce début de roman, il vient d'éprouver ce besoin irrésistible devant une jeune fille et s'interroge sur sa pulsion.]    Pourtant

centrale de Manet. Même avant Pissarro et Monet, le chef du mouvement pictural qui se distancie de l’académisme est Edouard Manet. Il est devenu naturellement le chef de file de ces peintres rejetés dont les œuvres n’ayant pu être présentés au salon de Paris. Ces œuvres sont regroupées au « Salon des Refusés » qui celui-ci obtient un immense succès dépassant même celui du véritable. Pour lui la peinture n’est pas autre chose que la peinture, qu’elle n’exprime rien d’autre qu’elle-même, mais qui exige des

littérature : Le mouvement naturaliste Le mouvement naturaliste (1860-1890) prolonge le réalisme et s’attache à peindre la réalité en s’appuyant sur un travail minutieux de documentation et en s’inspirant notamment de la méthode du physiologiste Claude Bernard « La morale moderne recherche les causes, veut les expliquer et agir sur elles; elle veut, en un mot, dominer le bien et le mal, faire naître l'un et le développer, lutter avec l'autre pour l'extirper et le détruire. » , qui vise à expliquer