Claustrophobie

de la pièce. La mise en scène est un art à part entière. Le metteur en scène donne vie à la pièce. Ils trouvent les décors qui peuvent faire ressentir des sensations aux spectateurs comme de mettre une scène noire pour donner une sensation de claustrophobie. Ils trouvent aussi les costumes qui sont aussi très importants. S’il n’y avait pas de costumes, on perdrait les indications temporelles, mais aussi la singularité de certains protagonistes notamment, les personnages principaux. Le metteur en

d’oxymore: c’est une figure de style qui vise à rapprocher deux termes que leurs sens devrait s’éloigner, dans une formule en apparence contradictoire. §2) Baudelaire est liés au spleen par un mal physique , il se sent enfermé sentiment de claustrophobie comme étouffé par l’angoisse. Il est comme rongé de l’intérieur à champs lexicaux clos « cachot » v.5 « plafond » v.5 « prison et barreaux » v.10 «couvercle» v.1 et «mur» v.7. On a aussi des indices de décomposition d’un corps « cachot humide »

que connaissent tous les mineurs. Tout d’abord, nous pouvons noter une indication de la température, « trente cinq degrés », ainsi qu’un espace très réduits et étroit « l’air ne circulait pas » qui fait référence à un cercueil et un sentiment de claustrophobie. Cette description se veut réaliste, de plus elle est d’emblée insiste sur l’hostilité du lieu. • La difficulté du travail des mineurs est renforcée par plusieurs autres éléments. Il n’y pas d’air « l’étouffement à la longue devenait mortel »

soi-même, de la solitude ■Aviophobie - Peur de prendre l'avion B ■Bacillophobie - Peur des bacilles, des bactéries. ■Bélénophobie - Peur des aiguilles. ■Brontophobie - Peur du tonnerre. C ■Cheimophobie - Peur des tempêtes et des orages. ■Claustrophobie - Peur des espaces confinés. ■Cumulophobie - Peur des nuages. ■Cynophobie - Peur des chiens. D ■Dysmorphophobie - Peur des anomalies physiques. E ■Émétophobie - Peur de vomir. ■Entomophobie - Peur des insectes. ■Éreutophobie - Peur de

sur des contenus psychiques Les groupes de névroses 1) trouble anxieux, paniques et phobiques Les sujets réagissent de façon inadapté : anxiété, panique, phobie Agoraphobie : peur des lieux où se trouve une foule Claustrophobie : peur d’être enfermé dans un lieu duquel on ne pourra pas ressortir librement. Le sujet refuse de perdre son autonomie Phobie sociale : peur d’un groupe 2) Troubles obsessionnels compulsifs Conduites que le sujet accomplit comme s’il ne pouvait

hybride xénophobie ● claustrophobie ● anglophilie ● insecticide ● orthographe ● agriculture ● vivipare ● téléspectateur ● micro-onde ● cancérologue ● promotion ● tensiomètre ● chronomètre ● antipatriotique ● téléphérique ● disculper ● hypertension ● vidéothèque ● génocide ● géologie

sans ordre. 11.8 Introspection: observation méthodique, par le sujet lui-même, de ses états de conscience et de sa vie intérieure. 11.9 Ubuesque: adj. Digne du personnage du tyran grotesque, le père Ubu. 11.10 Claustrophobe: adj. Relatif à la claustrophobie (crainte morbide de se trouver dans un espace clos) 12.Evaluation et appréciation: 18/20 Comment as-tu trouvé ce roman ? Que t’a appris ce livre ? Quelle cotation lui attribues-tu et pourquoi ? L’histoire est bien faite, quand on la lit

réponse combat-fuite ». Par extension, le terme peut aussi désigner l'appréhension liée à des situations déplaisantes ou à des animaux répugnants. Il est alors question de phobie, mot issu d'une racine grecque désignant la peur comme notamment la claustrophobie, l'acrophobie, l'arachnophobie ou l'agoraphobie. D'un point de vue neurologique, la peur est essentiellement une activation de l'amygdale (ensemble de noyaux au niveau des lobes temporaux)1. L'activation de l'amygdale correspond généralement

nous apporte néanmoins des précision sur le Spleen baudelairien : c’est une angoisse triomphant de l’espoir, qui vient vaincre à la fois le poète et son Idéal. Les nombreuses angoisses évoquées tournent autour d’une continuelle impression de claustrophobie intérieur du poète. Le Spleen donc condamne le poète à la souffrance. On remarque aussi, de nombreuses volonté de fuir, d’atteindre encore et encore cet Idéal, en vain, comme le poème l’albatros avait déjà pu nous le suggérer.

de lumière et peu d'éléments extérieurs, la lumière bleu représente le froid la tension qu’il y a entre chaque personnages. William a beaucoup travaillé sur la matière pour restituer cette atmosphère. L'espace choisi donne cette impression de claustrophobie plus ou moins accentuée selon les moments de l'action. C'est également une pièce sur le pouvoir, sur la manipulation, sur des forces qui écrasent l'homme et l'empêchent de vivre. Il a cherché à concrétiser cette réflexion sur le pouvoir par des