Clélie

femmes, la beauté et la jeunesse Dans ce triste roman les quelques sourires sont apportés par le femmes. Elles sont belles et jeunes et représentent la beauté, les fleurs, la joie. Ces femmes ne perdent pas leur beauté après la mort.  On connaît Clélis, la femme de Destinat. Elle est belle comme une fleur. Il accroche son grand portrait dans le salon. Ainsi que les gens changent pendant les années, les tableaux qui les représentent changent leur air. Le portrait devient de plus en plus charmant

que peu d’œuvres du XVIIème siècle n’en porteront la trace. Œuvres : L’Astrée d’Honoré Urfé (5000 pages), Polexadre de Gomberville, (4 409 pages), Cassandre (5 486 pages), Cléopatre (5486 pages) de La Calprenède, Le Grand Cyrus (13 095 pages), Clélie (10 volumes) de Mlle de Scudéry. Mots : féliciter, anonyme, bravoure, incontestable, enthousiasmer, s’encanailler, faire des avances…

(future Mme de Maintenon). Théoricienne de l’amour galant, elle décida de rester célibataire par conviction. Mérite: avoir tenté d’imaginer les relations entre hommes et femmes d’une manière tout-à-fait moderne pour l’époque. Sa carte du tendre dans Clélie: représentation topographique et allégorique du pays de l’amour où l’amant doit trouver le chemin du cœur de sa dame entre maints périls et maintes épreuves. Cette carte définit une sorte d’idéal du comportement amoureux fait d’attentions et de respect

susceptible d’avoir de nombreux prétendants. Ces premières de couverture représentent toutes deux une jeune femme, probablement Mademoiselle de Chartres puisqu’elles sont toutes deux belles et habillées avec raffinement. Exemple supplémentaire : Clélie, histoire romaine est un roman de Madeleine de Scudéry, publié en 10 volumes, de 1654 à 1660. Il possède un vocabulaire élevé et un raffinement du sentiment. Il offre « sa conception de l’art de vivre en société et de l’art d’aimer ». Roman-Mémoires

appeler, selon l’expression de Charles Sorel, « le roman héroïque » (romans héroïques de La Calprenède, notamment Cléopâtre, 1647-1658, et Faramond, 1661-1670 ; romans héroïques et galants de Mlle de Scudéry, en particulier Le Grand Cyrus, 1649-1653, et Clélie, 1654-1661) : « Après une période de triomphe dont le temps fort coïncide avec la publication des œuvres majeures de Mlle de Scudéry (…) et avec la vogue corrélative de la préciosité, il est un genre qui connaît un brusque déclin, celui que Charles

l'amour, les romans de Madeleine et Georges de Scudéry, en particulier les volumes dus à Madeleine de Scudéry. On citera Ibrahim ou l’Illustre Bassa (1641-1642) et surtout Artamène ou le Grand Cyrus (1649-1653), 10 volumes, et plus encore La Clélie (titre exact : Clélie, histoire romaine) avec sa célèbre carte du Tendre (dix volumes entre 1654 et 1660 dont les premiers ont été signés par Georges de Scudéry). Les excès du roman « héroïque et précieux » lui attireront des condamnations comme celle de

| |songe | | | | | |Shakespeare | |Mlle de Scudéry : Clélie |Cyrano de Bergerac : Histoire |Molière | | | | |comique des Etats et Empires du | | |

La Carte de Tendre est la carte d’un pays imaginaire appelé « Tendre » imaginé au XVIIe siècle et inspiré par Clélie, Histoire romaine de Madeleine de Scudéry, par différentes personnalités dont Catherine de Rambouillet. On y retrouve tracées, sous forme de villages et de chemins, dans cette représentation topographique et allégorique, les différentes étapes de la vie amoureuse selon les Précieuses de l'époque. La Préciosité est un mouvement littéraire et intellectuel porté par une partie de la noblesse

Les romans baroques et précieux Le roman apparaît comme un espace de liberté marqué par le spectaculaire, il oscille entre le merveilleux et l’idéalisme de la litt. précieuse (rom pastoral, sentimental : L’Astrée d’Honoré d’Urfé ; rom héroïque : Clélie de Melle de Scudéry) et le réalisme et le burlesque qui décrivent les réalités quotidiennes, souvent crument. Les romans rendent compte de la diversité de l’homme. B. Le roman classique En réaction aux excès des précédents, peu nbrx, svt

 » p.237 On découvre avec le narrateur le Château de l’intérieur et on fait avec lui la connaissance d’une nouvelle ombre. « Je suis resté de longue minutes à regarder celle que jamais je n’avais vue, celle que jamais je n’avais connue : Clélis de Vincey… Clélis Destinat. » p.239 L’exploration du château se poursuit jusque dans la chambre de Destinat. Le chapitre se termine sur une fonction cardinale, la découverte d’un objet qui va permettre la résolution d’un des nombreux mystères qui parsèment