Clément de Rome

ROME [pic] LYCEE HOTELIER DE MARSEILLE ANNEE 2009/2010 [pic] L’Italie se reconnait facilement sur les cartes géographiques Grâce à son contour en forme de botte [pic] INTRODUCTION P.4 I - GEOGRAPHIE P.5 II - HISTOIRE DE ROME P.7 III – LE CLIMAT P.8 IV – LES MONUMENTS ET LIEUX TOURISTIQUES P.9 - LE COLISEE P.10 – 11 - LE CHATEAU SAINT ANGE P.12 - LE PONT DU CHATEAU SAINT ANGE

dieu pouvait être honoré. Quelque part, le Panthéon romain est le penchant latin et terrestre de l’Olympe, royaume des dieux. Le Panthéon de Rome Un panthéon est un monument national où l’on dépose les restes de ceux qui ont illustré la patrie. Du latin Pantheum, les Grecs et les Romains en font un temple qu’ils consacrent à leurs dieux. Le Panthéon de Rome est un temple dédié aux sept divinités planétaires (Venus, Mars, Saturne, Jupiter, Uranus, Neptune et Pluton), il est construit en 27 avant

puissance et unité face au chaos. A cela s’ajoute un étonnant réseau d'amitiés de fidélité qui fait de ce moine-soldat un citoyen du monde, avant la lettre. Bénéficiant de franchises administratives, juridiques, religieuses, par la bienveillance de Rome, l'Ordre du Temple essaime, en Orient et en Occident. Les Maîtres qui se succèdent vont alors, bâtir Châteaux et Commanderies. Admirablement protégées, les Commanderies templières deviennent les gardiennes des trésors royaux, seigneuriaux, et

1541), (fils de Jean de Selve premier président du parlement de Paris), Évêque de Lavaur, (Tarn), de 1526 (20 ans) à 1540 (34 ans), était lui aussi diplomate, Ambassadeur en Angleterre (1533), auprès de la République de Venise de 1534 à 1535, du pape à Rome en 1536, puis à Vienne, en Allemagne et en Espagne. Il a rendu une visite privée à son ami Jean de Dinteville à l'occasion des fêtes de pâques 1533, à Londres, c'est à cette occasion qu'a été peint le tableau. Dans un premier temps, les historiens

l’Amérique par Christophe Colomb, le Moyen Age est définitivement révolu. La Renaissance s’exporte en France via les guerres d’Italie qui se produisent dès la fin du 15e siècle sous Charles VIII. Celui-ci conquiert Gênes, Pavie, Florence, Rome, puis Naples en 1495. Mais les Français ramènent d’Italie la syphilis[footnoteRef:1], également appelée grande vérole qui cause des ravages dans l’armée. Louis XII poursuit sans succès. Durant la première moitié du 16e siècle, François Ier reprend

il observe l’intimité des femmes et de l’auteur, normalement cela est personnel, c’est une invitation à l’observation de leur intimité. 2e sonnet : Joachim Du Bellay «Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c'est Rome » Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c'est Rome ? Rome est de tout le monde un publique échafaud, Une scène, un théâtre, auquel rien ne défaut De ce qui peut tomber ès actions de l'homme. Ici se voit le jeu de la fortune, et comme Sa main nous fait tourner ores bas,

Le concordat de Bologne est en réalité signé à Rome le 18 août 1516, lors du Ve concile du Latran, entre le Pape Léon X et le chancelier Antoine Duprat qui représentait le roi de France François Ier. Largement conçu par l'humaniste Jean de Pins, il est le fruit des discussions engagées à Bologne en décembre 1515 entre François Ier, auréolé du prestige de sa victoire de Marignan, et Léon X. Il régit les relations entre l'Église catholique romaine et le roi de France jusqu'en 1790. Il donne au roi

1765 à Belluno en Vénétie, il est mort à Rome en 1846. A la base c'est un moine et abbé camaldule5 prêtre, élu pape, sous le nom de Grégoire XVI. Pape conservateur, il a défendu les États pontificaux contre les attaques des mouvements révolutionnaires. En 1831, l'année suivant la révolution française dite des  « Trois Glorieuses » (27, 28, 29 juillet 1830) et l'avènement du libéral Louis-Philippe Ier en tant que roi des Français, Grégoire XVI reçoit à Rome les rédacteurs du quotidien français l'Avenir : dont

toujours le fruit de négociations. On est encore et toujours dans une situation où l’Eglise est décentralisée, il n’y a pas d’autorité centrale dans l’Eglise, les papes n’ont pas de pouvoir effectif dans l’Eglise, ils n’ont le pouvoir supérieur qu’à Rome et une dignité supérieure qui n’est que symbolique. La principale autorité religieuse au Xème siècle n’est pas l’autorité pontificale, mais l’abbé de Cluny. La grande réforme du XIème siècle : les prétentions ecclésiastiques à l’indépendance et

Né dans le village de Caprese, près d'Arezzo, Michel Ange a travaillé essentiellement à Florence ainsi qu'à Rome, au service de la curie pontificale. Le père de Michel-Ange, fonctionnaire de Florence, porte le nom de Ludovico Buonarroti et est lié à la famille Médicis. Il place son fils, alors âgé de treize ans, en apprentissage dans l'atelier du peintre Domenico Ghirlandaio. Deux ans plus tard environ, il étudie à l'école de sculpture du jardin des Médicis de la place Saint-Marc et il ne tarde pas