Clément Juglar

du protestantisme. Il fût excommunié (1520) pour ne pas avoir renié ses idées. Il fit aussi imprimer la première Bible allemande. Plus tard (1530), Henri VIII d’Angleterre se couronnera « Chef suprême de l’Eglise » après le refus du Pape Clément VII sous la pression de Charles Quint (neveu de Catherine) d’annuler son mariage avec Catherine d’Aragon retirant tout pouvoir au Pape dans son royaume, et créant l’Eglise protestante anglicane. Les monastères furent dissous et les catholiques fidèles

thèmes habituels de la poésie. Il exploitera dés l’année suivante le poème en prose et les visions Sonnet : Originaire d'Italie (XIIIe siècle), où Pétrarque l'illustra (1470), le sonnet gagna au XVIe siècle la France (Mellin de Saint-Gelais, Clément Marot), où la Pléiade le tint très en honneur, puis le Portugal et l'Espagne. Les vers étaient alors répartis en deux quatrains suivis de deux tercets, généralement selon la disposition abba-abba-ccd-ede (sonnet dit régulier) ou abba-abba-ccd-eed

C’est la rupture. La mort de Boniface VIII, le 11 octobre 1303, met fin au conflit. Le roi de France provoque, après la mort de Benoît XI, qui meurt le 7 juillet 1304, l’élection d’un nouveau pape, l’évêque de Bordeaux, Bertrand de Got, qui devient Clément V. Il est le premier des papes qui fait le choix d’installer le siège de la papauté en Avignon et, soumis au roi, il permet, en prononçant l’abolition de l’ordre des Templiers, de justifier la démarche du roi qui les a fait arrêter en octobre 1307

poème, un sonet était à l’origine une « petite chanson », une « mélodie chantée » ou l’« air de musique d’un chant »2. En français, avec le sens actuel, le mot sonnet apparaît au XVIe siècle, en 15363, dans le titre du premier sonnet français de Clément Marot : "Sonnet à Madame de Ferrare" (publié en 1550). Le premier sonnet publié, en 1538, est aussi de Marot : "Pour le may planté par les imprimeurs de Lyon devant le logis du seigneur Trivulse". Il fera paraître, l’année suivante, Six sonnets traduits

l'Occident. Son règne sera ainsi marqué par son opposition perpétuelle aux papes, particulièrement Boniface VIII contre lequel il ira jusqu'à mener ce que l'on peut peut appeler un attentat, et échappa de peu à l'excommunication : puis contre le pape Clement V dont le pontificat devra faire face au procès des Templiers, qui ne sera qu'un point de discorde supplémentaire. A la fin du XIIIème siècle, le Royaume de France se trouve appauvri. Le roi perd l'appui de son peuple, de nombreuses émeutes éclatent

Médicis, détesté de tous, mena un mouvement révolutionnaire à objectif républicain. En effet, l'action se déroule à Florence dans les années 1530, la ville était alors sous l'emprise du tyran Alexandre de Médicis lui même sous le contrôle du pape Clement VII et de l'empereur germanique Charles Quint. Nous allons nous intéressé à la ville de Florence dans ce célèbre drame en nous demandant quelle place et quel rôle occupe-t-elle dans cette pièce de Lorenzaccio. I- Présentation générale de

siècle. Il transforme radicalement l’art occidental. Le paysage politique européen de l'époque est dominé par quatre figures majeures, François Ier, Henri VIII, Charles Quint et le pape Clément VII qui mourra l'année suivante. Fin octobre 1532. Henri VIII souhaite que François Ier use de son influence sur le pape Clement VII pour résoudre la question de son divorce avec Catherine d'Aragon.

Pignerol) au XIXe. Il symboliserait, en plus de ce qui a été dit plus haut, le sacrifice de la mère supérieure envers ses filles : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Les poètes ont utilisé cette image. Parmi eux, Clément Marot (XVIe), dans L'Adolescence clémentine, compose ce refrain pour la ballade XIII sur la Passion du Christ : "Le Pélican, qui pour les siens se tue." Dans ce poème, le pélican laisse ses oiselets dans le paradis terrestre après les avoir

élégies (poésies formées de strophes alternant des mètres différents LE RECUEIL L’oeuvre poétique de Louise Labé, écrite entre 1545 et 1555, compte à peine quelques centaines de vers, répartis en trois élégies, qui s’inscrivent dans la lignée de Clément Marot, donc dans la tradition de la poésie médiévale française, et vingt-quatre sonnets, qui relèvent de l’héritage pétrarquiste, dont qui initient la poésie moderne de la Renaissance. Les élégies, conformément à la Les élégies, conformément à

Lampe de poche, éd. Grasset Jeunesse ; 2003 : Le chevalier aux trois visages, illustré par Christian Heinrich, coll. Cascade, éd. Rageot ; 2003 : Sobibor (livre), coll. Scripto, éd. Gallimard Jeunesse ; 2003 : L’attrape-Mondes, illustré par Clément Oubrerie, coll. Hors-Piste, éd. Gallimard Jeunesse ; 2003 : Comptines de Noël, illustré par Marie-Pierre Schneegans, coll. Lecteurs en herbe, éd. Grasset Jeunesse ; 2004 : Que justice soit faite, coll. Lampe de poche, éd. Grasset Jeunesse ;