Clément Juglar

Trente Glorieuses va reléguer a l'arrière plan ces considérations. Depuis 1973,la longue récession donne une seconde actualité sur la théorie sur les cycles. 1. Les théories traditionnelles des cycles Quatre grand types de cycles : Clément Juglar en 1862 : cycles moyens (= cycles d'affaire) sur une période de 9 a 10 ans. Succession de phases assez régulière : Phases d'expansion ( hausse de la production : hausse des prix, hausse des revenus, hausse des crédits) Phase de crise retournement

crises modernes sont d’abord décrites statistiquement, c’est le point de retournement d’un cycle économique (passage d’une phase de croissance à une phase de décroissance) Clément Juglar va publier un ouvrage en 1862 « Des crises commerciales et leurs retour périodique en France, en Angleterre et aux Etats Unis » Voir feuille Juglar : Amplitude de 8 à 10 ans « Cycles classiques », « Cycles des affaires » Kitchin : Amplitude de 3 à 4 ans Kondratiev : cycle long de 25 à 30 ans Explication avec les

aussi des taux d'intérêts, la baisse de la consommation et des investissements entraîne une baisse de la demande de monnaie, ce qui permet une purge du système et prépare le terrain pour une nouvelle phase de croissance ( CYCLE DES AFFAIRES Clément JUGAR en 1862 : Les crises commerciales et leur retour, Le cycle majeur : 8 à 10 ans dans des économies régulées par le marché. Au cours de la phase d’expansion, les entreprises investissent massivement ( plus tard : mène à une situation de surproduction

récession qui lui succède. Schumpeter a fourni une analyse cohérente des cycles longs dits cycles Kondratieff (en l'hommage à l'économiste soviétique Nikolai Kondratieff). En fait, Schumpeter s'est aussi inspiré des travaux de l'économiste français Clément Juglar qui le premier avait mis en évidence dès 1856, les phénomènes cycliques sur une période d'une dizaine d'années, alors que Kondratieff a surtout travaillé sur les causes de ces cycles longs : l'usure et le renouvellement des grandes infrastructures

caractère périodique des crises, le fait que les crises reviennent de manière assez simple. Il faut attendre 1860 pour que l’effet de cycle soit effectivement introduit dans le champ de l’économie traditionnelle, grâce à un économiste français Clément Juglar. On a quatre temps dans un cycle économique : la crise, la récession avec le recul du PIB (croissance faible), le point de retournement inférieur et une expansion de l’économie de croissance. Ce qui est important avec cette théorie du cycle

reprise. La dépression entraîne une perte de valeur, une « dévalorisation », de la partie du capital productif qui n’est plus en mesure de fournir suffisamment de profit. Section 2 : Les mouvements de longue durée. Plusieurs décennies après que Juglar eut mis en évidence le phénomène de périodicité des crises classiques et à la suite de la longue dépression de la fin du XIXe siècle, l’existence de fluctuations de tout autre ampleur, semi- séculaire, va être avancée par un certains nombre d’auteurs

produits financiers complexes, comme les produits dérivés dont le gonflement est critiqué au début du XXIe siècle. Craignant une crise systémique, il annonce, en 1999, que « ce qui doit arriver arrive » (La Crise mondiale d'aujourd'hui, éditions Clément Juglar, Paris, 1999). Également, des observateurs ont souvent relevé que la spéculation sur les monnaies de la part de fonds spéculatifs avait été encouragée par le flottement des monnaies, provoquant un développement des flux financiers sans rapport

Business cycles » (Les cycles des affaires - 1939) a abouti à une classification des cycles. Il prétend que 3 cycles se superposent et expliquent pour l'essentiel l'évolution de la conjoncture : les cycles courts, les cycles moyens, dits cycles Juglar, les cycles longs, ou cycles kondratiev :  Les cycles courts mineurs, dits aussi cycles de Kitchin, du nom du statisticien Joseph Kitchin, durent 3 à 4 ans (environ 40 mois). Ils sont dus aux variations des stocks des entreprises. En période

contraire. Il observe les très nombreuses crises monétaires et financières qui se sont succédé depuis 1971 et craint des épisodes encore plus graves; La contestation de Maurice Allais est plus radicale encore. Dans La Crise mondiale aujourd'hui (Clément Juglar, 1999), il soutient que les changes flottants créent les conditions d'un désordre généralisé, qu'ils accroissent les risques sur chaque opération commerciale ou financière internationale, et qu'ils ne peuvent déboucher que sur une crise mondiale

Puis on est repartit, semble-t-il, depuis 1993, pour une croissance d'une vingtaine d'années. Le cycle Juglar[19]. Le cycle Juglar a une périodicité de 6 à 11 ans. Il concerne les variations de cycle. Il s'insère parfaitement dans le cycle de Kondratiev. Le cycle Kitchin. Le cycle Kitchin (aussi appelé « cycle mineur ») a une durée d'à peu près trois ans et demi. Il s'insère dans le cycle Juglar. Le cycle de la construction du bâtiment. Le cycle de la construction du bâtiment dure entre 16 et 18