Cliché

toutes les femmes et non une seule.On Remarque ensuite au vers 35 que la femme n’émet aucune reflexion quant au fait de répéter la nouvelle : c’est une synecdoque qui est utilisée.Celle-ci caricaturise la femme et forme un cliché : sa bêtise est mise en avant. Mais le cliché va avoir besoin d’être renforcé et complété par des idées encore plus fortes à son tour et la suite du texte en est la preuve. II. La femme indiscrete 2.1 Une morale explicite. Dans le premier vers , l’hyperbole

d’après eux à une longue tradition historique. En Allemagne, des associations homosexuelles étaient crées ou ils prônaient la pédérastie comme l’amour, la beauté de leur corps et Ils ne voulaient pas croire au cliché de l’homme gay efféminé. Tandis que les femmes homosexuelles étaient jugées comme masculines, les commentaires qu’on leurs faisaient étaient toujours positifs, relié aux qualités de l’homme. Pour les hommes s’étaient le contraire on leur trouvait

les phrases de Assimil, s’aperçoit de l’énorme quantité de cliché qui se retrouve dans ces textes et il eu alors une illumination. Il dit que ce manuel lui a fait comprendre qu’il lui fallait communiquer à ses contemporains les vérités essentielles dont il avait pris conscience par le manuel franco-anglais. Assimil lui a fournit les matériaux pour sa pièce : les personnages (sauf le capitaine pompier) et l’usage systématique des clichés. Il est évident que l’auteur passe des messages et des opinions

photographie n'est pas qu'une question de moyen mais de contextualisation. Une photo sans "cadre" ne vaut pas mieux qu'un clignement d'oeil. Elle fais partie de ces arts qui nous offrent ce que le temps nous prend. Même si l'éternité d'un sourire sur un cliché ne nous rendra parfois jamais la personne qui en est le sujet... Donnez moi un appareil, je vous montrerais mon esprit, mon coeur, mes larmes et mes joies. Donnez moi un appareil et je vous montrerais ce que je n'ai plus la force de dire...

Il me parait important de parler de l'ironie du narrateur, de la lecture attrayante ( parce qu'elle est interdite, qu'elle fait rêver ), parler des clichés(poncifs) et évoquer la suite du livre ( fin = fatalité > suicide d'Emma. destruction progressive, pessimisme, idéalisme, rechercher l'idéal et tomber de haut, car la vie est terne > histoire triviale ) 1.La lingère initiatrice de l'amour 2.L'idéal sentimental plutôt que romantique3.La critique des mensonges romanesques. Cherche d'abord à décrire

 le  bras  lui-­‐même  prenait  feu  et  fais  paraître  le  geste  inesquivable   et  sans  limites.   Ces  éléments  apportent  une  force  et  un  caractère  iconique  au  cliché  tout  en  renforçant   son  aspect  dynamique.             Le  triangle,  rassemblant  tous  les  signes  de  force  de  l’image.     Un  dernier  signe  vient

intéressé que par l’argent Un narrateur qui intervient indirectement. Calembour : jeu de mots qui consiste à employer des mots homophones et de sens différents à des fins humoristiques. Champs lexicaux du maître et de l’esclave. Emma est encore plus cliché que les autres femmes de Rodolphe. Il est plein de pratique, mais sa pratique fait qu’il ne réalise pas les vrais sentiments d’Emma. Il ne croit pas qu’elle est sincère. Rodolphe, à force d’avoir beaucoup de femmes, il rabat tout. (Je t’aime est

défini. Mari d'une jeune femme, il est pacifique et accueillant, c'est un père marié de 4 enfants qu'il adore. Il aime manger lentement de bonnes choses et boire de la bière dans les brasseries. Nous pouvons clairement remarquer içi le personnage cliché de l'Allemand au gros ventre qui aime boire de la bière dans les brasseries en profitant de la vie, cet aspect de préjugés permet de rendre le protagoniste plus attachant. Enfin, Maupassant utilise un moyen qu'on peut qualifier de sadique afin de

gentille personne sentait frais comme un bouquet. (Flaubert) → Comparaison valorisante. Certaines comparaisons sont devenues banales du fait d’une utilisation trop fréquente. Elles ne traduisent plus aucune recherche stylistique. On les appelle des clichés : Etre blanc comme un linge, bavard comme une pie. Lorsqu’une comparaison est suivie de plusieurs termes appartenant au même réseau lexical que le comparant, on dit que la comparaison est filée : A l’intérieur (du magasin), c’était comme un champ

complicité avec le « nègre » : « J’arborais un grand sourire complice ». On voit également que le personnage « assis sur un banc du tramway » se trouve dans une posture pas très élégante. La description que fait l’auteur apparaît un peu comme un cliché du « nègre de l’époque ». Le terme « complice » prononcé à la fin de l’extrait montre que l’auteur se mélange avec ce personnage car l’auteur vient de Martinique. Au fur et à mesure du poème, Césaire voit un nègre « grand comme un pongo » pour,