Cocarde

1) Les modifications symboliques  ▪ Changement de dynastie avec le départ des Bourbons ▪ Abandon de la monarchie de droit divin : Louis-Philippe 1er = Roi des Français ▪ Rétablissement du drapeau tricolore et de la cocarde ▪ Suppression du préambule de la Charte qui renouait avec l’Ancien Régime ainsi que de la référence à la religion d’Etat. Réapparition de la notion de Nation. 2) Les modifications institutionnelles et le rôle du roi ▪

l’exaltation de la vertu, du don de soi et de l’engagement pour la Patrie, idéaux alors défendus par les encyclopédistes et qui allaient devenir une des vertus principales prônées par les révolutionnaires. La Fayette ayant établi les couleurs de la cocarde tricolore comme nouvelles « couleurs nationales », on comprend maintenant plus aisément pourquoi le Serment des Horaces a été considéré comme un symbole phare de la Révolution française à cette époque.

armes. 60 000 citoyens se munissent de fourches, de sabres, de bâtons, de pistolets et prennent d’assaut « la Bastille ». Le 14 juillet 1789, c’est la prise de la Bastille. Cela deviendra notre fête nationale à partir de 1880. Naissance de la cocarde bleue – blanc – rouge. (Bleu et rouge couleurs de la ville de Paris et blanc couleur royale) LA BASTILLE C’était tout un symbole du pouvoir absolu du roi. LA REVOLUTION PAYSANNE dans toute la France du 15 au 6 Août 1789. Dans les campagnes

les drapeaux des différentes régions, avec un symbole différent pour chacune, de même que les pays issus de l’Etat fédéral originaire présentent un drapeau de même type. Les couleurs sont également symboliques puisqu’elles étaient présentes sur la cocarde des opposants au régime colonial. De plus Le soleil de mai rappelle l’entrée dans une nouvelle ère d’indépendance. I/Présentation de l’histoire politique du pays : 1. Grands évènements historiques : A l’origine, l’Argentine était une région

justice ; dans l’autre cas il s’agit de l’obligation de payer des impôts. Remarque : L’année 1789 est décisive car elle marque l’avènement d’un monde nouveau dont nous sommes héritiers ( exemple : création des départements, du système métrique, cocarde bleu blanc rouge … )

aussi vous l’êtes. Mais, nous, nous sommes les vainqueurs vivants. C’est ici que commence la différence. C’est ici que j’ai honte. Je ne sais si dans la foule des morts on distingue les morts vainqueurs par une cocarde. Les vivants, vainqueurs ou non, ont la vraie cocarde, la double cocarde. Ce sont leurs yeux. Nous, nous avons deux yeux, mes pauvres amis. Nous voyons le soleil. Nous faisons tout ce qui se fait dans le soleil. Nous mangeons. Nous buvons... Et dans le clair de lune !... Nous couchons

tel qu’elle est, comme pour une sculpture. Union libre Ma femme à la chevelure de feu de bois Aux pensées d'éclairs de chaleur A la taille de sablier Ma femme à la taille de loutre entre les dents du tigre Ma femme à la bouche de cocarde et de bouquet d'étoiles de dernière grandeur Aux dents d'empreintes de souris blanche sur la terre blanche A la langue d'ambre et de verre frottés Ma femme à la langue d'hostie poignardée A la langue de poupée qui ouvre et ferme les yeux A la

régionales auxquelles il assiste, il doit veiller à l’observation de la Constitution de la Grande Loge et de ses décisions, il participe aux grandes questions administratives et organisationnelles, le symbole de sa fonction un Sautoir Blanc orné d’une Cocarde rouge et dorée, avec pour bijou un triple Triangle entrelacé, marqué d’un D à l’intérieur, avec une Couronne au-dessus. Pour parfaire cette organisation il ne faut pas oublier le Maître de la Colonne d’Harmonie et le Maître des Banquets qui participent

d’une revanche. Alors que la presse n’est point libre, il renouvelle la chanson dont il fait une arme politique, un instrument de propagande : il attaque la Restauration et célèbre les gloires de la République et de l’Empire. C’est le temps de La Cocarde blanche et du Marquis de Carabas. Béranger apporte la poésie dont ont besoin ceux qui ont déserté la cause royale. Le cercle de ses amitiés s’élargit et on le voit dans de nombreux salons. Il accepte de collaborer à la Minerve avec Étienne de Jouy

bruxellois va se rallier à la cause nationale. Le 30 septembre, le gouvernement provisoire adopte officiellement le drapeau national, imité par le congrès national et le 30 octobre 1830 toute l’armée y compris les gardes urbaines, est tenue de porter la cocarde nationale noir-jaune-rouge. Quelques mois plus tard, un arrêté du gouvernement provisoire du 23 janvier 1831 décrète la disposition verticale des couleurs. Symbolique des couleurs : Le noir : représente la force Le jaune : représente la sagesse