Cocarde

plumes ou du  type drapeau  sont  toujours  présents,  les  pliés  gagnent  du  terrain  dans  l’usage  quo dien  grâce  à leur maniement et leur rangement plus aisés. Deux mo‐ dèles  s’imposent  finalement  :  les  pliés  et  les  brisés  (clas‐ siques ou cocarde). Les  Italiens  seront  les premiers  à  fabriquer des éven‐ tails au début du XVIIe siècle, mais dans la seconde moi é  les Français s’empareront du marché. Des ar stes comme  Jacques  Callot  (1592‐1635),  Abraham  Bosse  (1602‐1676)  ou  Nicolas 

large majorité de députés à l’Assemblée nationale partageait donc l’espoir de réussir à régénérer la nation avec le concours du roi. Les actes du roi le laissent d’ailleurs espérer : il éloigne les troupes de Paris le 15 juillet 1789, arbore la cocarde tricolore de la Garde de Paris le 17, tandis que les premiers aristocrates contre-révolutionnaires quittent la France le lendemain 18 juillet. Il assiste à la première fête de la fédération le 14 juillet 1790, et prête serment aux « lois nouvelles

et je vais à la place. On me montra Lucas, et, sur le banc contre la barrière, je reconnus Carmen. Il me suffit de la voir une minute pour être sûr de mon fait. Lucas, au premier taureau, fit le joli coeur comme je l'avais prévu. Il arracha la cocarde du taureau et la porta à Carmen, qui s'en coiffa sur-le-champ. Le taureau se chargea de me venger. Lucas fut culbuté avec son cheval sur la poitrine, et le taureau par-dessus tous les deux. Je regardai Carmen, elle n'était déjà plus à sa place. Il

Maire de Paris ». La Fayette est nommé Commandant général de la Garde nationale. Une nouvelle organisation municipale allait se mettre en place. Louis XVI reconnaît celle-ci en se rendant à Paris le 17 juillet. À cette occasion, Bailly lui remet la cocarde bleue et rouge aux couleurs de la ville de Paris que Louis XVI fixe sur son chapeau, associant ainsi ces couleurs au blanc de la monarchie. Ce geste paraît sceller la réconciliation de Paris et de son roi. Dans les faits cependant, le roi accepte

Maire de Paris ». La Fayette est nommé Commandant général de la Garde nationale. Une nouvelle organisation municipale allait se mettre en place. Louis XVI reconnaît celle-ci en se rendant à Paris le 17 juillet. À cette occasion, Bailly lui remet la cocarde bleue et rouge aux couleurs de la ville de Paris que Louis XVI fixe sur son chapeau, associant ainsi ces couleurs au blanc de la monarchie. Ce geste paraît sceller la réconciliation de Paris et de son roi. Dans les faits cependant, le roi accepte

« Maire de Paris ». La Fayette est nommé Commandant général de la Garde nationale. Une nouvelle organisation municipale allait se mettre en place. Louis XVI reconnaît celle-ci en se rendant à Paris le 17 juillet. À cette occasion, Bailly lui remet la cocarde bleue et rouge aux couleurs de la ville de Paris que Louis XVI fixe sur son chapeau, associant ainsi ces couleurs au blanc de la monarchie. Ce geste paraît sceller la réconciliation de Paris et de son roi. Dans les faits cependant, le roi accepte

s'empare de la forteresse redoutée et en tue le gouverneur. Le roi avalise cette violence en se rendant à l'Assemblée, le lendemain 15 juillet, pour annoncer le retrait des régiments étrangers de la capitale ; le 17, il se rend à Paris et accepte la cocarde tricolore des mains du député Bailly, président de l'Assemblée nationale, qui vient d'être élu maire de la Commune de Paris. Pendant ce temps, la renommée des « vainqueurs de la Bastille » gagne la France entière. La force l'a emporté, venant au secours

nationale ». Au regard des événements, Louis XVI se rend à l’Assemblée Nationale et annonce le retrait des troupes et le retour de Necker. Par la suite, il rencontre la nouvelle municipalité puis se présente au balcon de l’Hôtel de Ville en arborant la cocarde tricolore (le drapeau national ne sera adopté qu’en 1794). Cette réaction royale effraie une partie de l’aristocratie qui va quitter le territoire français. Parallèlement, Louis XVI acceptera-t-il réellement de jouer le rôle du Roi dépourvu de

que la censure ne pourra jamais être rétablie. Les règlements et ordonnances royaux ne pourront en aucun cas s'opposer aux lois puis l'article 76 précise que la France reprend ses couleurs. Et «  à l'avenir il ne sera plus porté d'autres cocardes que la cocarde tricolore. » A ) Les pouvoirs exécutifs et législatifs. En ce qui concerne l'exécutif, on note un recul important par rapport à la charte de 1814. L'utilisation abusive du pouvoir règlementaire ( article 14 ) par Charles X, a conduit

mise hors la loi" par la convention de certaines catégories d’individus. Qui est visé ? => ceux qui ont pris les armes contre les troupes républicaines, l'armée catholique et royale de Vendée. Ceux qui vont arborer des signes extérieurs comme la cocarde blanche (symbole de la monarchie). Les aristocrates, les ennemis de la république => un noble est d'office réputé ennemi de la république parce qu'il EST noble, les prêtres pour ce qu'ils sont, indépendamment de tous actes ou de toutes prises de positions