Cocon

revivre auprès de sa mère. Il est triste d’avoir perdu sa mère. « Comme j'aimerais encore être près de toi, être enfant près de toi… » ici l’auteur évoque son vœu de revivre dans l’étreinte de sa mère. Il veut redevenir cet enfant qui vivait dans le cocon qui procure amour et chaleur maternelle. L’auteur considère sa mère comme son guide – « ma pensée toujours se tourne vers toi, la tienne à chaque pas m'accompagne, » même si la mère/ le guide n’est plus la physiquement l’éducation et l’enseignement

dehors. Conclusion : Le danger n’est pas si important, il apprend à se débrouiller seul même si parfois on tombe. Cependant, la peur et la timidité empêcheraient de recommencer. Chaque personne se trouve confronter à la peur de sortir de son « cocon » et de la facilité d’être « mineur », néanmoins, n’est-elle pas devenue « nature » pour lui ? 2/ « Majeur » a pour notion dans le texte de peur, de danger et d’accablant. Ils laissent les tuteurs les diriger car ils sont incapables de sortir du

remplir la mission, mais non détenus suspects signalés. Le ministère de la Sécurité a déclaré dans un communiqué que les plantes détruites dans la dernière opération correspondant à une "nouvelle variété apparente qui offre une plus grande capacité de cocon donne une plus grande floraison et a la plus forte concentration d'alcaloïdes supposée." Les autorités soupçonnent les trafiquants cherchent à semer des plantes avec des concentrations élevées d'alcaloïdes, similaire à ce qui est connu comme «la marijuana

deviné que la vie glissait vers les villes, que le monde rural était condamné, que les études étaient devenues indispensables. Je suis donc parti, déchiré, malheureux comme je ne l’avais jamais été. Privé de liberté dans les champs et les prés, du cocon de la famille, et jeté dans une prison enclose dans une grande ville, j’aurais pu sombrer jusqu’à l’anorexie. Je ne comprenais rien à ce monde violent, aux vexations, aux menaces quotidiennes proférées par des surveillants d’une autre époque (c’était

intérieur, dans l’espace confiné de leur nouvelle maison. L’éclairage y est souvent sombre et le mouvement des personnages limité, se déplaçant rarement d’une pièce à l’autre. Dans ce cadre favorisant les tensions, la cellule familiale apparaît comme un cocon, où les membres de la famille peuvent être enfin eux-mêmes mais également comme une prison pour Danny. Sentiment que renforce la scène où Danny serré dans ses draps comme dans une camisole de force semble être prisonnier de cette vie et de cette solidarité

– Houlala ! c’est le grand rassemblement des étrilles ? Toujours en train de comploter ? – Peut-être ; tu as des nouvelles de ta cousine, la Mygale australienne ? – Même mieux, elle m’a envoyé un cocon contenant son poison avec le mode d’emploi. – Un cocon ? – Cherche pas, elle s’est servie d’une chenille, et le reste est trop compliqué. – Dis qu’on est bête. – Mais non, c’est tout simplement que ce n’est pas le sujet et ce serait trop long. De toute

frère.III – Les personnages : Louis : il est l’aîné de la famille. La pièce débute et s’achève sur ses monologues dans lesquels il détermine ses intentions qui sont l’annonce de sa mort prochaine et son échec pour les en informer. Il est partie du cocon familiale très tôt sans trop donner signe de vie, c’est ce qui lui a valut les remontrances de sa famille dans la pièce. Il est un personnage qui s’aide plus des mots que des actes afin de rassembler les gens. Malheureusement pour lui, il ne réussira

Nature, celui des saisons. Elles se succèdent encore, toujours, régulièrement, inlassablement. Finalement, ne serait-ce pas comme une histoire qui se répète sans fin? Au printemps, la Nature s’éveille. Les fleurs viennent au monde; elles sortent du cocon maternel vert qui les entourait pour voir la lumière du jour. Les chants des oiseaux se font de plus en plus bruyants, tels les gazouillements d’un enfant. Les couleurs apparaissent, des odeurs végétales embaument l’air de nouveau. La Nature est à

des rapports d’autorité au sein de la famille a provoqué l’apparition de nouvelles formes de pouvoir ; ainsi, l’école permet à l’enfant de se former dans plusieurs milieux différents entourés de nombreuses personnes, il peut ainsi s’éduquer sans le cocon familial et se sociabiliser dans un environnement autre que la famille. De plus, le lien familial ne tient essentiellement qu’à l’amour que se portent les époux ; il est ainsi le ciment du couple, et la famille risque de se dissoudre en même temps

l’intérieur. De plus les deux enfants sont placées exactement sur les lignes de tiers. Cette construction nous donne un sentiment de stabilité et d’harmonie, se dégageant de cette image. Aucun sujet ne dépasse du cadre ; on est enfermé dans ce cocon de douceur, rassuré par l’équilibre de l’image. La lumière, particulièrement douce, presque irréelle transfigure tout cela et sublime l’image. Cette lumière presque surnaturelle vient souligner les cheveux blonds des deux enfants