Cocuage Moliere

Questions sur le corpus 1. Les deux auteurs classiques Molière et Jean Racine, Victor-Hugo, qui incarne le romantisme et Eugène Ionesco, le théâtre de l’absurde, ont choisi le théâtre pour dénoncer un travers de leurs temps. Ces différents écrivains se distinguent ou se complètent par leur mouvement littéraire ainsi que par le registre qu’ils emploient. Ces quatre scènes qui nous sont proposées présentent un point, ou plutôt un sujet commun, qui est celui de l’amour mis

dramatique, musical et chorégraphique, elle à été inventée par Molière en 1661 pour sa pièce « les Fâcheux » , il s’agit de mêler la musique et la danse dans une action comique. Elle traite des sujets contemporains et met en scène des personnages ordinaires de la vie quotidienne. Le thème central est souvent le mariage. (ex : le Bourgeois gentilhomme de Molière) - Comédie galante : La comédie galante à été inventée par Molière pour les Fêtes de Cour (ex : La Princesse d’Elide, les Amants magnifiques)

L'art a une valeur sociale, satire du snobisme : art devient marqueur social et permet de montrer sa supériorité. Conclusion : comédie moderne sur le plan de la théâtralité et du sujet mais rejoint objectif traditionnels de la comédie. Relier Molière et ses satires de société dans ces pièces en faisant entrer en jeu des personnages typiques ridicules. Tranche très étroite de société. Comédie qui renvoie un miroir au spectateur → "Castigat ridendo mores"

Dom Juan de Molière ; une pièce Baroque. Dom Juan ou le festin de pierre est une comédie de Molière en cinq actes écrites en proses et jouée pour la première fois le 15 février 1665 au théâtre du Palais-Royal. Dans l’édition de 1682 cette pièce est présentée comme étant une comédie, bien que ce terme fût employé, à l’époque pour désigner toutes sortes de pièce de théâtre, il est parfois compris comme étant l’opposé de la tragédie. Cette pièce reste néanmoins une véritable comédie, de par son écriture

En 1665, c'est l'apogée du classicisme. Mais Molière décide d'en briser certaines règles pour affranchir son théâtre, le rendre plus libre. Sans se soucier de la récente censure de tartuffe en 1664, il reprend un mythe déjà traité par l'espagnol Tirso de Molina en 1630 : Dom Juan. Dans la scène 1 Acte 1, nous allons voir que la tirade finale est une présentation du maître de Sganarelle, DOM JUAN. Après avoir étudié les caractères de ce double portrait nous nous intéresserons au registre comique

comporter comme un substitut mais comme un complément. Enfin, nous envisagerons la concurrence qui peut exister entre la simplicité d’utilisation de l’argent et le plaisir de faire sans pour répondre à son mobile. Nous nous appuierons sur L’Avare de Molière, la Philosophie de l’argent de Georg Simmel et sur l’Argent d’Emile Zola. L’argent s’est immiscé dans des domaines qui ne relèvent plus du commerce et peut alors agir de façon extrême sur l’homme et ses relations. Ce sont des comportements extrêmes

tragédie : Horace (1640), Cinna ou la Clémence d’Auguste (1641) « [Les] grands sujets remuent fortement les passions et en opposent l’impétuosité aux lois du devoir ou aux tendresses du sang » (Discours sur l’art dramatique :sur la tragédie) * MOLIERE (Jean-Baptiste Poquelin) (1622-1673) Auteur, metteur en scèce et acteur, il mene la troupe de l’illustre Théatre et rencontre de nombreuses difficultés et interdictions, malgré le soutien du roi Louis XIV. A travers des spectables de pur divertissement

Molière, TARTUFFE 1997. Tartuffe est une comédie théâtrale où plusieurs thèmes sont traités. Le plus important est celui de l’hypocrisie autour duquel se placent d'autres thèmes comme la religion et le mariage forcé. Presque toute la pièce est basée sur l'hypocrisie. Molière va présenter Tartuffe au travers des descriptions qu'en font les autres personnages sans jamais le montrer dans les premiers actes. Son objectif est clairement avoué : que le spectateur se fasse une opinion du personnage

et en vers (1506 alexandrins) de Racine représentée pour la première fois le 21 novembre 1670 à l’Hôtel de Bourgogne, avec sa nouvelle vedette Marie Champmeslé dans le rôle-titre. L'épître dédicatoire est adressé à Colbert. Quoique la troupe de Molière ait joué Tite et Bérénice de Corneille juste une semaine plus tard, et que Racine eût pu profiter de la romance avortée entre Louis XIV et Marie Mancini, nièce du cardinal Mazarin (« Vous êtes empereur, Seigneur, et vous pleurez ! », acte IV, scène

« Tantôt ridicules, tantôt blâmables » et la ligne 9 « pour son vice du plaisir … pour les « impertinences » qui reprend « ridicules». De plus on retrouve les préceptes classiques: « docere »,  « placere » et « movere » qui sont retrouvés chez Molière («Castigat ridendo mores ») et chez la Fontaine, avec « j’instruirais en divertissant ». Ensuite, il y a un retour au récit avec l’application de ses règles de conduite et un tour de force marqué par l’utilisation de l’impératif à la l.10 « finissons