Codage arithmétique

Un message est un ensemble de signes. Il implique donc un codage par l'émetteur, et un décodage par le récepteur (d'où la nécessité d'un code commun). La théorie de l'information fut mise au point pour déterminer mathématiquement le taux d’information transmis dans la communication d’un message par un canal de communication, notamment en présence de parasites appelés bruits. Il fut repris par Roman Jakobson pour étayer la théorie linguistique. Les premiers travaux sur la notion d’information de

Bande de Base____________________________________________________________________ 2002 TRANSMISSION EN BANDE DE BASE 1 CARACTERISTIQUES DE LA BANDE DE BASE ....................................................1 1.1 1.2 1.3 2 CODAGE ...........................................................................................................................................................2 DÉBITS ....................................................................................................

Les obstacles à la communication Problème de l’expression Problème de codage Problème des bruits Problème de réception Problème de l’écoute Problème de mémorisation Problème de vocabulaire Les remèdes pour une communication efficace Etre conscient que le message que je transmet m’ai propre N'émettre un message que si l’autre est disponible pour l’entendre et l’écouter Vérifier que mon système de codage est compris par l’autre Faire en sorte que la communication se passe dans les

(le silicium) de la taille d’un ongle. Parmi les exemples les plus connus de circuits intégrés citons le microprocesseur. 2. Que traitons dans ce module ? Dans le module structure machine on traite : – les types d’informations manipulées et leur codage, – le fonctionnement logique (pas électronique) interne des composants. 3. Naissance de l’ordinateur En 1944, un calculateur (le Mark1 d’IBM) pouvait multiplier 2 nombres de 23 chiffres en 6 secondes. Mais l’ère de l’électronique qui suivit immédiatement

bits pour les PIC 12CXXX). Le nombre de possibilité de codage (instruction et opérande) se trouve donc réduit. Instruction = code opératoire + opérande Instruction: Famille 8051 Famille 68HC11 Famille PIC (Ex: PIC16F84) En langage assembleur En langage machine MOV A,#31h Code opératoire 74 31 (codé en hexadécimal sur 2 Octets) Opérande LDAA #$31 MOVLW 0x31 86 31 3031 (codé en hexadécimal sur 14 bits) Attention: Le codage des nombres différe suivant les familles de microprocesseurs

programmation en langage d’assemblage 1 Introduction Le but de ce chapitre est de mettre en évidence les principaux constituants d’une unité centrale. Dans les chapitres précédents, on a mis en évidence la structure d’une : ➢ ALU ou UAL (Unité arithmétique et logique) permettant de réaliser différentes opérations grâce à un décodeur ➢ MEMOIRE et en particulier les lignes RD/WR associées ; CS, les bus d’adresse et de données. Ce type de circuit permet de stocker de l’information pour un usage

le registre d’état, qui comporte des bits indicateurs ou flags. Bits systèmes: - T : mode trace - S : mode superviseur - I2, I1, I0 : masque d'interruptions Bits utilisateurs (CCR): - X, N, Z, V, C : indicateurs arithmétiques qui peuvent avoir des sens différents selon les opérations… |Z |zero |zéro | |N |negative |bit de poids fort ou de signe

nombres, lire ou écrire une case mémoire, etc. Chaque instruction est codifiée en mémoire sur quelques octets. Le processeur est capable d'exécuter des programmes en langage machine, c'est à dire composés d'instructions très élémentaires suivant un codage précis. Chaque type de processeur est capable d'exécuter un certain ensemble d'instructions, son jeu d'instructions. Pour écrire un programme en langage machine, il faut donc connaître les détails du fonctionnement du processeur qui va être utilisé

due à John von Neumann et à ses collaborateurs, en 1945, qui transforme les machines à calculer en ordinateurs. La machine est composée des éléments suivants : *  un organe de calcul, susceptible d’exécuter les opérations arithmétiques et logiques, l’unité arithmétique et logique ; *  une mémoire , ou mémoire centrale , servant à la fois à contenir les programmes décrivant la façon d’arriver aux résultats et les données à traiter; *  des organes d’entrée-sortie , ou périphériques , servant

. . . . . . . . . . . . . 30 Comportement global . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 Suites classiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Suites arithmétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Suites géométriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Notion de limite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .