Code 1804 Devoirs Respectifs Entre époux

société sans droit, il n’y a pas de droit sans société Le droit nait de la société et l’aide à se construire ▪ Le phénomène juridique ne s’observe que dans le cadre de la société, le droit contribue à instaurer et à entretenir un lien social entre des individus : en ce sens il est porteur d’un ordre à la fois social et juridique : il offre un cadre dans lequel les individus vont s’organiser ▪ Le droit n’a pas d’autre raison d’être que de servir les individus pour les aider à se regrouper :

résulte un engagement quelconque envers un tiers et quelquefois un engagement réciproque des 2 parties. » définition pas pleinement satisfaisante car extrêmement proche de la définition du contrat synallagmatique. Néanmoins elle a été adoptée par le code civil. Ce choix s'explique par l'origine de ce quasi contrats qui remontent au dt romain. A cette époque, certaines obl° ressemblaient à celles provenant d'un contrat ms les romains en les appelaient pas des quasi-contrats. C'est ultérieurement les

sur des tablettes ce que l’on appelle improprement le « code » d’Hammourabi. Il en va de même de toutes les législations mésopotamiennes : alors même que leur contenu n’est pas religieux, elles se présentent comme données ou dictées par les dieux. La Bible s’inscrit dans le même contexte, mais ici le droit que Yahvé est censé avoir dicté à Moïse sur le Sinaï comporte une forte composante religieuse. Le Décalogue, le Code de l’Alliance, le code sacerdotal (ou Lévitique) règlent à la fois la relation

la règle s’applique-t-elle. Ex : Est-ce que le mariage est ouvert à un frère et une sœur ? NON. Le comment désigne le caractère impératif ou supplétif de la règle et désigne le type de sanction applicable. Ex : Est-ce que les époux pourraient se dispenser de certains devoirs tels que s’exempter de la fidélité ? NON car le mariage a un caractère impératif et pas supplétif. La sanction de l’infidélité est donc le divorce. L’alliance du quand et du comment résulte d’une démarche beaucoup plus technique

l’exercice de l’autorité parentale ......................................................................................................... 3. L’exercice de l’autorité parentale : une législation qui a pour constante un ensemble de droits et de devoirs ..................................................................... a) La notion d’autorité parentale sur la personne de l’enfant................................ b) La protection de l’enfant .....................................................

royaume une association qui ferait dégénérer en une confédération de résistance le lien naturel des mêmes devoirs et des obligations communes, ni qu’il s’introduise dans la Monarchie un corps imaginaire qui ne pourrait qu’en troubler l’harmonie ; la magistrature ne forme point un corps, ni un ordre séparé des trois ordres du Royaume ; les magistrats sont des officiers chargés de s’acquitter du devoir vraiment royal de rendre la justice à mes sujets, fonction qui les attache à ma personne et qui les

juridique, et également le fœtus n’a pas de personnalité juridique. Deux gdes catégories de sujets de droit: les personnes physiques (être humain) et les personnes morales (groupement de personnes physiques par ex l’état, les sociétés…). Donc il va devoir envisager ces deux catégories de sjts de droits. Mais ce cours ne portera pas sur les personnes morales, on se concentre sur les personnes physiques. En dépit de leur ressemblance il y a véritablement une différence de nature par les problèmes posés

Opposition entre Droit objectif (c’est l’ensemble des règles qui régisse la vie en société) et le(s) droit(s) subjectif(s) (se rapporte à une personne. Ce sont les prérogatives qui pour une personne donnée vont découler de la règle de Droit objectif). Opposition entre droit public (il régit les relations entre l’Etat et les particuliers, ex : droit administratif, droit fiscal et constitutionnel) et le droit privé (c’est un ensemble de règles qui a vocation à gérer les litiges entre particuliers

de la conception que l’on a de la famille. Ainsi en 1804 s’entend de la famille souche, unie par un même sang constituant le lignage. Sur le plan successoral cela entrainait les conséquences suivantes : les parents par le sang succédaient jusqu’au 12ème degré. Le conjoint étranger à la famille pr le sang, n’héritait qu’à défaut de parent au 12ème degré, donc quasiment jamais. Donc la famille naturelle, pas fondée sur le mariage, le code de 1804 avait décidé de l’ignorer. La parenté naturelle ne

Droit privé - ------------------------------------------------- Introduction Jean Luc Auber (seuil ?) Vocabulaire juridique (Cornu) Le code civil, édition sans commentaire, sans annotation => code Dalloz Bien bosser les TD : dissertation, commentaire d’arrêt (commenter, expliquer puis apprécier une décision de justice, difficile, il faut lire des décisions, faire des fiches d’arrêt) cas pratique (joue le rôle de l’avocat). 8/10h de travail pour préparer le TD, intérêt pratique de la