Code paysan

En bref   |   | L'immense majorité des enfants médiévaux vit à la campagne. Jusqu'à la fin du Moyen Âge, en effet, près de 90 % sont fils et filles de paysans. D'eux, on sait peu de choses. Ils n'apparaissent guère que dans les récits de miracles, les documents judiciaires évoquant les accidents dont ils sont les victimes, et dans les cimetières : plus que dans leur vie quotidienne, on les connaît surtout dans leur mort, grâce à leurs squelettes que l'archéologie retrouve. | | | |   |

Titre : Aux champs 1883 Auteur : Guy de Maupassant 1850-1893 Genre ittéraire: Nouvelle réaliste Courant littéraire : Réalisme Résumé : Les Tuvache et les Vallin de pauvres paysans qui vivent difficilement d'une terre ingrate. Un jour les d'Hubières, couple riche mais stérile, arrivent au village où habite les Vallin et les Tuvache, ils remarquent qu'ils ont beaucoup d'enfants, alors ils décident d’adopter un des enfants. Les d'Hubières font leur première tentative auprès des Tuvache .Ceux

moyen-âge, les paysans forment les neuf-dixièmes de la population. Ils sont parfois libres mais souvent sous le contrôle d'un seigneur qui les couvrent d'impôts. Quelle est la vie d'un paysan au Moyen-age ? En première partie le sujet traité sera la place du paysan dans la société médiévale. La seconde partie traitera du quotidien des paysans à cette époque. Enfin la troisième partie traitera le travail agricole durant une année. Au Moyen-âge, on distingue deux sortes de paysans : les serfs et

Sophi ; On m’élit roi, mon peuple m’aime ; Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant : Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même ; Je suis gros Jean comme devant. La Fontaine, Fables, « La laitière et le pot au lait » I/ L’image de la paysanne enjouée Perrette, dont nous connaissons tous encore la postérité aujourd’hui, est le personnage principal de cette fable, qui s’ouvre sur l’image d’une jeune femme soignée et organisée : « Bien posé sur un coussinet ».L’impression qui ressort

dit : « Il a fait bien beau tantôt ! », l’autre répond : « Je m’en suis bien aperçu, qu’il faisait beau, Loulou ne tenait pas en place. » J’ai connu un de ces hommes dont la vie fut un des plus cruels martyres qu’on puisse rêver. C’était un paysan, le fils d’un fermier normand. Tant que le père et la mère vécurent, on eut à peu près soin de lui ; il ne souffrit guère que de son horrible infirmité ; mais dès que les vieux furent partis, l’existence atroce commença. Recueilli par une sœur, tout

(lieux réels) - Ironie : personne ne connaît Issoire (l.3) - Proximité avec le personnage : Jeannot, surnom paysan=classe sociale paysanne - J. fils de marchand de mulet très renommé= tendance à la prétention dans cette famille - Colin (père) : « brave laboureur »=tendresse de l’auteur envers ce personnage - énumération de taxes: Critique implicite des impôts qui ruine les paysans =famille Colin pauvre 2) Statut du narrateur - Narrateur omniscient= connaît les sentiments des personnages

présente.ils prirent un verre ensemble ; lui ayant son verre a r abord tandis qu'elle ne se servit que très peu. L'idée générale du texte et la rencontre de l'homme avec une jeune femme. Les personnages sont un jeune homme et une jeune fille de paysans ; on peut supposer que celui-ci est en rapport a la médecine car elle lui demande des conseils sur ses étourdissements. Il y a 2 personnages, il n'y a aucun portait physique au jeune homme mais pour le portrait moral, on peut supposer que celui-ci

Guy de Maupassant : La ficelle. Texte publié dans Le Gaulois du 25 novembre 1883, puis publié dans le recueil Miss Harriet. [pic] LA FICELLE[1]     Sur toutes les routes autour de Goderville, les paysans[2] et leurs femmes s'en vont vers la petite ville, car c’est le jour de marché. Les hommes vont, à pas tranquilles, penché[3] en avant à chaque mouvement de leurs longues jambes, le corps plié par tous les durs travaux de la campagne. Leur blouse bleue semble un ballon prêt à s'envoler, d'où sortent

seigneuries. Mais, la vie des paysans se fait d’abord dans le village dans leur communauté rurale, organisée autour de l’église rurale et de la paroisse. Autour de l’an Mil, le monde connait une mutatuin decisive avec l’apparition de nouvelles techniques agricolesqui vont augmenter la production : La charue, le moulin à eau se diffusent comme l’assolement trional. Les défrichements se multiplient, la population augmente. A) Le monde paysan, socle de la ruralité Les paysans travaillent une terre

en cas de danger et le glas annonce la mort de quelqu’un. Avant la mort, l’extrême onction, le dernier des sacrements, est donné par le curé de la paroisse. Le curé est très important, ils donnent les sacrements et peut aussi louer des terres aux paysans. Le curé fait partie du clergé séculier. Au Moyen Age, il y a deux types de clergé : le clergé séculier (qui vit avec le siècle, donc avec la population) et le clergé régulier (qui suit une règle). Dans le clergé séculier, on observe les curés,