Collaborateur Et Resistant

Concours de la résistance Résister dans les camps nazis Eléments de conclusion : La plupart des détenus ont ignoré la résistance car il y avait une minorité de résistants et cela se faisait dans la clandestinité. Certaines actions de résistances ont été niées ou falsifié durant la guerre froide. Pour certains déportés, résister au camp est la poursuite de leur engagement contre le nazisme. Pour d’autres, cela relève de la découverte. Pourtant, malgré les différences, cette résistance est toujours

dessine sur le front de celle-ci une croix gammée ou on en accroche une sur leurs vêtements afin de montrer que par leur liaison avec les allemands, elles ont elles aussi collaboré. En parallèle, à la fin de la guerre, entre 8 000 et 9 000 collaborateurs sont exécutés sans jugement. Et en tout, 51 203 jugements ont eu lieu. Dix mille soixante personnes ont été exécuté, 13 219 ont été condamné aux travaux forcés, 23 830 à la prison et 2 173 à la réclusion. Huit mille six cent trois personnes ont

extérieure. La Résistance extérieure est née de l'appel du 18 Juin, un appel lancé depuis Londres par le général de Gaulle sur la radio anglaise BBC. Cet appel fut peu écouté en direct mais fut relayé dans les jours suivants. Seul 5% des Français sont résistants, ils cachent des juifs, créent des journaux clandestins, distribuent des tracts, font des attentats… Il s’agit de lutter contre la présence des occupants. A l'intérieur de la France, la Résistance s'organise autour de Jean Moulin, avec la création

de soldats allemands toujours par l'Armée rouge. Les mêmes interrogations se posent de manière aiguë pour la France. Les divisions entre les résistants et les collaborateurs restent très nettes, même une fois la guerre terminée. Se met en place à la fin de la guerre ce que l'on a appelé l'épuration. L'épuration légale conduit les collaborateurs et les collaborationnistes les plus importants à des procès, elle reste limitée dans son ampleur par la volonté de de Gaulle. Cependant plus de 7

l'effondrement de la France en ce début d'été 1940, les Français se rangent derrière le Maréchal Pétain acceptant ainsi la défaite. Cependant, certains vont refuser cet état de fait et entrer en résistance, contre l'occupant nazi et contre le régime collaborateur de Vichy. Les actes de résistance sont d'abord isolés. Le souci de tous ces mouvements de résistance jusqu'à fin 1941, c'est qu'ils sont divisés, parfois même concurrents, faiblement implantés dans les régions et mal organisés. Mais peu à peu

du milieu- Un savoir acquis lors de son MBA- Un ami et collaborateur fidèle au poste- Motivation et entêtement | - Arbitrer entre la vie d’entreprise qui offre une certaine sécurité vs. entreprendre qui est beaucoup plus risqué mais qui offre une certaine marge de manœuvre- Une expérience peut glorieuse dans laquelle il a laissé beaucoup de plumes (travailler et gérer une entreprise c’est difficile)- Choc psychologique ? (copine, collaborateurs) | Q.3 L’évolution du projet, les choix stratégiques

joviaux et insouciants et les Allemands féroces. 2. Le SS est omniprésent (ils font des contrôles dans les trains, les gares et les rues. c) Un peuple divisé 1. Les collaborateurs (les Pétanistes – les Manceliers, le camp Moisson Nouvelle, Gérard, la Maquis, le dénonciateur dans le village de Rosette) 2. les résistants (le prêtre dans le train, Subinagui, l’archevêque, Raymond ?) 3. Ceux qui ne veulent pas être impliqué dans la guerre (les Viales, le Compte de V.) iv) La vie quotidienne

S, Pologne, moins pour EU. Personne n'est épargné par cette Guerre. Baby boom va peu à peu compenser les pertes, mais traumatisme notamment à propos des pertes civiles : personne n'est à l'abri des conflits. Division des populations (résistants, collaborateurs attentistes) mais le général de Gaulle y arrivera. Découverte du génocide, choc des soldats (5,5 millions de juifs + 250 000 tsiganes sont morts). Ouverture du Tribunal de Nuremberg qui siège de novembre 1945 à octobre 1946 qui juge les

produit occasionnellement), puis en se rapprochant de de Gaulle sous la forme de réseaux, comme Combat. En 1942, le mouvement a déjà pris une certaine ampleur qui se manifeste par des actes de sabotage et des attentats contre des Allemands et des collaborateurs ; l'armée d'occupation réplique par des représailles massives et sanglantes. L'année 1942, marque un tournant décisif dans cette période. Les rapports de force se sont modifiés, car les États-Unis viennent de déclarer la guerre à l'Allemagne

passé de résistant. La première journée de commémoration a lieu en 1954. Cette journée associe déportation et résistance. On ne fait pas alors de distinction entre camp de concentration et camp d’extermination. Le camp type, symbolisant la déportation dans les années 50, n’est pas Auschwitz mais Buchenwald. • La mémoire sur la défensive de travailleurs français en Allemagne. Ils revendiquent le titre de « déportés du travail », mais se heurtent à la mémoire militante des résistants et des déportés