Coma

une sensation de bien-être et entraînent des hallucinations. A des doses élevées, elles conduisent à un coma. Les consommateurs parlent d’expérience de « voyage aux confins de la mort ». Comme tous les anesthésiques généraux, ces produits peuvent provoquer des vomissements, des troubles psychiques (attaque de panique, anxiété), une perte de connaissance, des convulsions et à doses élevées, coma et arrêt respiratoire. Ces substances proviennent d’un trafic international mais également intérieur :

j’exposerai les pistes de réflexion pour la prévention de l’alcoolisation des mineurs. 1ère partie : Caractéristiques de l’alcoolisation des mineurs ➢ De + en + précoce : un rapport récent constate une alcoolisation de + en + précoce et des cas de coma éthylique sont signalés dès l’âge de 12 ans ➢ Filles comme garçons, souvent en groupe ➢ Alcoolisation massive : cherchent à se saoûler, et rapide : « biture expresse » ➢ Alcool fort, goût attractif : cocktails fruités ou « alcopops »

Don d' organes Mots clés :mort cérébrale, la mort, la vie, état végétatif Idées principales :éthique sur le don d ' organes , le sens de la mort , la redéfinition de la mort , maintenir en  « vie », méconnaissance de la conscience, notion de « coma dépassé », définition légale de la mort, mort encéphalique, l'utilité des directives anticipées , l'augmentation du nombre de dons , les nouvelles techniques, efficacité des traitements, le choix des médecins. Le don d' organe pose des questions

(attention, je pense son but était d’éloigner notre attention de la question précédente). g. CAT devant une acidocétose diabétique (cette question je l’ai vue de mes propres yeux sur la feuille qu’il avait sur lui ;D ) h. Coma Hyper Osmolaire. i. Clinique. ii. Biologie. iii. Traitement. i. Coma par acidocétose lactique (je pense que son but ici était aussi d’éloigner notre attention de la question précédente). 12. Hypoglycémie : a. Définition. b. Étiologies (Question : citer les différentes causes d’hypoglycémie)

celui-ci lui apportera son soutien tout en précisant que sa fonction de Président de la République ne lui donne en aucun cas le droit d'abréger la vie d'une personne. En 2003, sa mère, Marie, lui administre des barbituriques qui le plonge dans un profond coma, il sera ensuite pris en charge par le Docteur Chaussoy, qui décide d'arrêter toute réanimation et administre à son patient du chlorure de potassium, entraînant son décès. En 2004, Marie Humbert et le Docteur Chaussoy sont mis en examen et ensuite

Les premiers signes sont souvent l'apparition de crampes musculaires ou de tremblements, une hyperthermie, instabilité du système nerveux autonome comme une pression artérielle instable par exemple et des perturbations mentales (agitation, délire, coma). hyperthermie (> 38 °C) rigidité musculaire et augmentation du taux sanguin des CPK trouble de la conscience avec mutisme ou stupeur trouble du système nerveux autonome avec parfois : une pâleur, une hypersudation, une sialorrhée, une tachycardie

- l’hématome extra-dural est un saignement situé entre la voûte crânienne et le cerveau. Typiquement, la victime présente une perte de connaissance initiale, puis reprend conscience. Ensuite, le développement de l’hématome provoque un coma. Il peut aussi y avoir coma d’emblée, sans reprise de connaissance ; -il peut aussi y avoir un hématome sous-dural, c’est à dire situé entre la dure mère et le cerveau. Importance du bilan initial Le premier examen, réalisé par l’équipe secouriste sur le

°C : frissons, vasoconstriction, baisse de la tension artérielle, respiration rapide, pouls rapide (tachycardie) ; * T° < 32 °C : troubles de conscience, pupilles contractées (myosis), ralentissement du cœur (bradycardie) ; * T° < 30 °C : coma, pupilles dilatées (mydriase), respiration lente (bradypnée), bradycardie(rythme cardiaque trop bas), hypotension, « état de mort apparente » ; En dessous de 28 °C il y a un risque d'arrêt cardiaque par fibrillation ventriculaire(La fibrillation

sujet est-il conscient ? Qu’est-ce que l’inconscient ? Ce sont tous ces phénomènes qui échappent à la conscience. De ce fait, l’inconscience peut être une sorte « d’arrêt de la conscience ». Par exemple, lorsqu’un individu dort ou est plongé dans le coma, nous pouvons dire qu’il est inconscient car il ne se sait plus, il n’a plus conscience de son existence ni de ce qu’il ressent. Ce n’est qu’en se réveillant et donc, en redevenant conscient, que ses sens sont de nouveau en action (il a froid, chaud

verbale - Orientée 5 - Confuse 4 - Inapropriée 3 - Incompréhensible 2 - Aucune 1 Rôle du score de Glasgow (CGS) • Estimer la gravité du TC initial - TC grave : GCS ≤ 8 = coma, implique une prise en charge « lourde » : réanimation, intubation, sédation, mise en place d’une fibre de PIC, doppler … - TC non grave : GCS > 8 (9 à 15) • Surveillance du patient • Est utilisé dans toutes les situations d’agression