Coma

précocement si possible. Diagnostic positif = la triade classique : • Absence de pouls : chez l'enfant et d'autant plus chez le nourrisson au niveau du pouls huméral (+++) ou carotidien, • Absence de mouvement respiratoire même après libération des VAS, • Coma profond. Diagnostics différentiels : • Syncope, malaise vagal • Hypothermie profonde • Hypoglycémie. Prise en charge pré-hospitalière de l'ACR chez l'enfant : Gestes élémentaires de survie par la famille : À débuter sans attendre dès que possible (+++)

existe une échelle de la conscience claire ou coma : - état de conscience claire - état de conscience obnubilée - état de conscience hypnoïde ou confus - perte d’état de conscience ou coma (plusieurs stades de coma). Le niveau de vigilance se juge sur un continuum, avec des variations de la conscience claire jusqu’à l’absence de toute conscience (coma, sommeil), en passant par des altérations

souffre de paraplégie. Suite à une dissection de l'aorte abdominale, la patiente a été victime d'une nécrose médullaire et ce depuis 10 jours. Cela fait 4 à 5 jours que la patiente est consciente de son état, avant cela elle était maintenue dans un coma artificiel en service de réanimation. Une fois dans la chambre de la patiente, je remarque qu'elle est triste, elle présente un faciès fermé et sanglote. Ainsi pendant que nous préparons le soin de nursing, l'aide-soignante débute un échange avec

La coordination des différents muscles oculaires est perturbée, une voiture qui s’approche ne sera pas perçue de la même manière. L’alcool peut provoquer des troubles de l’équilibre, on perd le sens de l’orientation. Le risque de tomber dans un coma éthylique est bien là, lorsque des jeunes poussent un peu trop loin leur consommation. Le risque est donc le risque de mourir. D’un point de vue physique : Consommer de l’alcool étant jeune est mauvais pour la santé. L’alcool peut provoquer de

transfusions sanguines et de perfusions d’Albumine. Cette patiente est sédatée par du Sufentanyl. Lors de notre seconde prise en charge la nuit suivante, je constate que la patiente est inconsciente. La sédation a été levée, la patiente est dans un coma végétatif. Elle ne répond pas aux différents ordres simples. Concernant le bilan neurologique, nous côtons un score de Glasgow à 4 et elle présente un trouble de la motricité pupillaire (myosis). Son teint ictérique de la veille devient grisâtre

incurable, en stade terminal, encore conscient pour demander qu'on arrête les soins et lui permette de mourir dans la dignité (on pourrait dire aussi : qu'on ne le prive pas de vivre dignement sa propre mort), ou dans le cas du patient plongé dans un coma irréversible.

Organophosphorée et carbamates Trouble muscarinique: hyper salivation, un myosis, un larmoiement, un jetage, une sudation, de la diarrhée, une dyspnée, une bradycardie, une hypotension, une cyanose et une incontinence urinaire Trouble nicotinique: Prostration, Coma, dépression La DL moyenne per os est très variable selon le composé : de 10 à 100 mg/kg pour les bovins 5. Intoxication par les nuisibles a. Strychnine L’évolution suraiguë se traduit par de l’hypertonie musculaire (muscle du cou)

(Loir-et-Cher), une adolescente du même âge, alors qu'elle se trouvait dans un quasi coma éthylique, a été humiliée avant d’être violée par trois mineurs, âgés de 16 et 17 ans. »³ Tout ceci illustre bien les effets néfastes de l'alcool et nous amène à dire que l'interdiction de consommation avant 21 ans réduirait les problèmes des jeunes liés à l'alcool. ¹ : Tiré de http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/191356/coma-ethylique-en-hausse.html ² : Inspiré de http://www.drogues-dependance.fr/alcool-chiffres_d_une_realite

violente décélération qui provoque le cisaillement et l'étirement d'axones (le prolongement du neurone qui conduit le signal électrique du corps cellulaire vers les zones synaptiques).. Le traumatisme crânien s'accompagne d'une perte de connaissance, d'un coma" Epidemiologie Chaque année, en France, 160 000 personnes sont victimes d'un traumatisme crânien et près de 8 000 restent gravement handicapés. Outre les conséquences physiques (tétraplégies…), les traumatismes crâniens transforment parfois profondément

avec ralentissement des réflexes et diminution de la vigilance, un état d'euphorie ou, au contraire, de tristesse, une mauvaise appréciation des situations, des troubles de l'équilibre ainsi qu'une vasodilatation. L'ivresse peut conduire jusqu'au coma éthylique, situation pouvant amener au décès. Toujours à court terme, la consommation d'éthanol ( contenu dans les boissons alcoolisées ) peut provoquer : - une gastrite ; - un reflux gastro-œsophagien ; - une hépatite aiguë