Comedie Denoncer Injustice

concernant la société ( injustice, esclavage, Tolérance, racisme, égalité,…..) Cette envie de donner matière à réfléchir, a connu une apothéose avec le siècle des Lumières. Cette forme littéraire est fréquente dans le monde du roman. Ainsi, E. Zola, à travers « les Rougon- Macquart » décrit et critique l’organisation sociale de la France de la fin du XIXème siècle. Cette interrogation sur le monde, on la retrouve aussi dans le genre théâtral. Ainsi Molière, fait rire dans ses comédies, mais il n’écrit

qu’il voit en lui un trop plein de virilité qu’il associe à un type de séducteur caricatural : « ce côté mâle, farouchement viril, vaguement espagnol ». Il est notable qu’ici Albert associe Pradelle à un rôle, un type de personnage qui joue une comédie sociale, portant le masque trompeur du parfait séducteur, comme l’indique la répétition du prénom « Cécile », petite amie du soldat Maillard que celui-ci imagine facilement trompée par le beau Lieutenant Pradelle. Pradelle est bien un conquérant

aux sociétés réelles imparfaites. C’est un genre d’apologue qui se traduit par un régime politique idéal, une société parfaite ou encore par exemple une communauté d’individus vivants heureux et en harmonie. Elles sont souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps. De plus les auteurs d’utopies rédigent des histoires qui se produisent dans des lieux imaginaires afin d’eviter la censure politique ou religieuse. Ainsi grâce à cette définition d’une utopie nous pouvons bien montrer

qui les observe avec une apparence désespérée. Maison d’édition et année de publication : composé en quatre moi, il est publié en feuilletons dans La Revue de Paris, entre décembre 1834 et février 1835. Très bien accueilli, il inaugure, dans La Comédie humaine, le système du retour épisodique des personnages. 2. Résumé du livre I. Première partie : « Une pension bourgeoise » Dans cette partie, l’auteur fait une introduction dans l’œuvre à travers la description méticuleuse de la scène où se

effets provoqués par un texte : faire pleurer, faire rire, susciter l’admiration ou la crainte…Ces effets s’appuient sur des caractéristiques que l’on peut repérer dans les textes. Par ailleurs, les registres sont souvent en relation avec un genre : comédie et registre comique, épopée et registre épique, poésie lyrique et registre lyrique.. Ces traits sont souvent présents dans d’autres contextes : un poème peut exploiter le registre comique, un roman peut exploiter les procédés propres à l’épopée…

selon ses visées pour mieux diriger la réflexion du lecteur.Il peut adapter situations, événements et personnages pour les mettre au service de la dénonciation ou du plaidoyer, pour apitoyer (pathétique : Fantine dans Les Misérables) ou pour mieux dénoncer (Javert dans Les Misérables), ou encore pour faire rire (comique, ironie).L'auteur peut simplifier et grossir pour rendre sa démontration plus évidente : l'avarice d'Harpagon dans L'Avare est considérablement grossie par rapport à la réalité ; Candide

polémique. Il argumente sa position en imageant cette guerre à l’histoire biblique de Jacob et Esaü. Cette opposition entre les deux frères, qui symbolise celle entre catholiques et protestants, détruit la mère nourricière qui est la France, ce qui est dénoncé par l’auteur. Agrippa d’Aubigné défend donc les protestants mais garde une certaine réserve vis-à-vis des dégâts engendrés à la France. Ce texte nous amène donc à réfléchir sur cette guerre de religion mais aussi à débattre sur le fanatisme religieux

travers. La pièce Tartuffe est une critique de l'hypocrisie des faux dévots, la comédie Les Précieuses ridicules tourne en ridicule la préciosité et les habitudes de la vie des salons, etc.). La littérature contribue de plus en plus à l'amélioration de la société en développant le sens esthétique, l'esprit critique et la connaissance de soi. Molière est animé du désir de présenter les vices des hommes à travers ses comédies théâtrales. Pour preuve que les textes littéraires parviennent à imposer une

Hugo, « La descente », Les Misérables, première partie, livre cinquième, chapitre X, 1862. C – Pierre Perret, « Lily », 1977. m Vous répondrez d’abord aux questions suivantes. ■ Questions (6 points) 1. Dans les documents A, B, C, que dénonce chaque auteur à travers les trois personnages féminins ? Justifiez votre réponse. (3 points) La réponse à cette question doit être rédigée mais brève, de l’ordre d’une demi-page ou d’une page, au maximum. 2. Dans ces mêmes textes, montrez les différences

des cœurs humains sur la scène » Friedrich Nietzsche: « Le théâtre, ce n’est jamais qu’une manifestation au-dessous de l’art, quelque chose qui s’adapte au goût des masses, lorsqu’on le fausse pour elles ». Louis de Bonald, extrait des Pensées."La comédie corrige les manières, et le théâtre corrompt les moeurs."                        XX°s: Eugène Ionesco: "Tout est langage au théâtre, les mots, les gestes, les objets. Il n’y a pas que la parole." Jean Cocteau: "Une pièce de théâtre devrait être écrite