Comédie humaniste

Horace est-il une tragédie ? La définition de la tragédie est empruntée aux auteurs de l’antiquité principalement au philosophe grec Aristote. Il s’agit d’un genre théâtral dont le registre est tragique. Elle met en scène des personnages de rang social élevé dans le but d’émouvoir et d’instruire le spectateur, de provoquer sa terreur et sa pitié par le spectacle des passions humaines en lutte entre elles ou le destin. Elle suscite chez le spectateur de la crainte et de la pitié, il est en admiration

étudier est extrait de La Machine infernale, dont le héros est OEdipe depuis son ascension fulgurante jusqu’à son écrasement final, broyé par la machine implacable du destin. Le première représentation de la pièce, écrite en 1932, eut lieu à la Comédie des Champs-Élysées, dirigée par Louis Jouvet. Nous étudierons d’abord la fonction du passage dans la structure de l’oeuvre, puis sa tonalité, enfin le sens que donne J. Cocteau à ce vieux mythe magnifiquement illustré par Sophocle au Vème siècle

1. // La tirade de Théramène dans l'acte V, Scène 6 de "Phèdre" de Jean Racine s'inscrit dans le registre tragique car, tout d'abord, on remarque une forte présence du champ lexical de la douleur, de la mort : "malheureux" v.1, "cris douloureux" v.5, "tombeaux" v.7, "dépouilles sanglantes" v.12. La présence du registre tragique se fait aussi remarquer par l'utilisation du langage soutenu, et de vers en alexandrins : "J'ai vu seigneur, j'ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux

de coup de théâtre. II. Un récit à visée morale A. Les ridicules de la fable 1. La critique des courtisans Critique de l’hypocrisie de la cour : analyse de la rime antithétique « être »/ « paraître » (v. 21-20), relevé du champ lexical de la comédie (v. 1-23), images des courtisans en pantins (v. 21-23). 2. La critique du monarque Dénonciation de la vanité royale : « nous » de majesté ; tutoiement méprisant à l’égard du cerf ; usage de l’alexandrin dans le discours du roi. Dénonciation de

Les caprices de Marianne OCTAVE. - Comment se porte, mon bon Monsieur, cette gracieuse mélancolie ?COELIO. - Octave ! ô fou que tu es ! tu as un pied de rouge sur les joues ! - D'où te vient cet accoutrement ? N'as-tu pas de honte en plein jour ? OCTAVE. - O Coelio ! fou que tu es ! tu as un pied de blanc sur les joues ! D'où te vient ce large habit noir ? N'as-tu pas de honte en plein carnaval ?COELIO. - Quelle vie que la tienne ! Ou tu es gris, ou je le suis moi-même. OCTAVE. - Ou tu es

1878, il est inscrit comme élève dans la division des minimes du petit lycée de Laval. L’année suivante, sa mère s’installe à Saint-Brieuc. C’est donc au lycée de Saint-Brieuc que Jarry poursuit ses études jusqu’en 1888. Dès 1885, il compose des comédies en vers et en prose, comme les Brigands de la Calabre (1885), le Parapluie-Seringue du Docteur Thanaton, le Procès, les Antliaclastes (1re version 1886, 2e version, 1888). En 1888, sa mère s’installe avec ses deux enfants à Rennes. Jarry entre

débute en 1720 au Théâtre-Italien et au Théâtre-Français. Son théâtre emprunte ses conventions à la Commedia dell'Arte: il crée des types sur lesquels il peut broder des variations, se sert du travestissement, privilégie l'amour comme ressort de la comédie. On peut voir en Marivaux un utopiste, qui utilise le théâtre comme un lieu d'expérimentation sociale (l'Ile des Esclaves, 1725) Il existe aussi un Marivaux romanesque, qui emprunte à la vogue des romans tragiques et des aventures de nobles

participation du Jeune Théâtre National Avec l’aide du Théâtre de l’Ouest Parisien de Boulogne-Billancourt Avec l’aide à la production d’Arcardi Septembre 2009 2 Le Legs / Les Acteurs de bonne foi Marivaux - David Géry Le Legs Le Legs est une comédie en un acte de Marivaux, représentée pour la première fois le 11 juin 1736. Il existe plusieurs versions de la pièce. Nous représenterons celle sur laquelle se fonde l’édition originale. Marie Matheron La Comtesse Julie-Anne Roth Hortense Philippe

devient avocat stagiaire en 1624 au parlement de Rouen. En 1628, son père lui achète deux offices d’avocat. Il écrit sa première comédie, Mélite ou les fausses lettres, en 1629. Elle est jouée à Paris en 1630 et est couronnée de succès. Le genre était alors jugé secondaire. Corneille contribua beaucoup à le réhabiliter. Entre 1630 et 1633, il écrit de nouvelles comédies sentimentales et morales : Clitandre ou l'Innocence délivrée, La Veuve ou le Traître trahi, La Galerie du Palais ou l'Amie rivale

: « fils de je ne sais pas qui » · « volé par les bandits, élevé dans les mœurs à passé particulier · « j’apprends la chimie, la pharmacie, la chirurgie » à parcours varié + honnête Parcours suscite intérêt chez le spectateur B – Une scène de comédie malgré la souffrance du perso F. fait preuve d’humour : - dramaturgie : « las d’attrister […]mœurs du sérail » - activité d’essayiste : « mes joues creusaient », « mon terne […] net » Activité conduira F. en prison : périphrase ironique « Un