Comique Critique Religion

I) Le comique lié au gigantisme 1) Le comique des nombres ○ L'exagération numérale : « On avait fait tuer trois cent soixante sept mille et quatorze de ces boeufs gras. » chap. IV, p.65 ; « elle en mangea seize muds, deux tonneaux et six pots » p.67 ; « qu'il en noya deux cent soixante mille quatre cent dix huit » chap. XVI, p.149 Ainsi on note la présence de multiples emphases montrées par l'exagération numérales récurrentes tout au long du récit. ○ La démesure : « on fit venir pour lui

éclat les bienfaits de la paix et les méfaits incalculables de la guerre. • métaphore filée : particulièrement expressive et polémique. La guerre est une perturbation soudaine et incontrôlable de l’état naturel de la société. • il critique les princes et leurs ambitions. Le sujet est d’actualité car l’Europe connaît une longue et ruineuse guerre de 7ans. Conclusion : ce texte se présente comme une dénonciation vive des princes mus par leurs passions aveugles et leur soif de gloire

anonymement à Amsterdam). Ce livre parle de Persans qui partent de Perses (l'Iran actuel) et comme se sont des étrangers, ils peuvent se moquer de tout. Il a aussi écrit en 1748 De l'esprit des lois. Les Lettres persanes est un ouvrage épistolaire qui critique le clergé, la répression et les rites religieux. Il s'agit de la fin de la lettre 46. Un personnage « Usbeck » qui fait part à son correspondant des comportements religieux qui l'étonnent, dans la première partie de la lettre. On étudie la seconde

méchant homme » par Sganarelle. Personnage de Sganarelle : Personnage comique (omniprésent & attendu chez Molière) Sganarelle ou le cocu imaginaire 1660 L'école des maris 1661 Le mariage forcé 1664 Lamour médecin 1665 Le médecin malgré lui 1666 Sganarelle possède le rôle théâtral de valet, auxiliaire et confident du héros. Permet à Dom Juan de parler, agir et sert de faire-valoir et de détente comique dans la pièce. Il est l'équivalent d'arlequin issu de la commedia dell'arte, mais

définition un vice qui consiste à feindre ses sentiments, représente parfaitement le personnage de Tartuffe. Feignant etre comme un "frère" pour Orgon, il lui vole tout ses bien le soir meme. Ainsi, il prétendait ne pas s'interesser à l'argent. Ainsi, il critique le décolté de Dorine trop provoquant, tandis qu'il tente de séduire Elmire. De plus, cette hypocrisie est notamment religieuse. Apparament un bon dévot qui va "chaque jour à l'église" (v.283), tentant de donner la foi dans la maison, se chatiant

qui a ce moment commençait à germer, en France, dès 1470, à Paris à la Sorbonne et puis à Lyon qui est resté à l’heure actuelle même l’un des plus grands centres de l’imprimerie en France. Le livre est important  parce qu’il développe l’esprit critique et rationnel par la comparaison des textes, le goût philologique, mais esthétique aussi. 4. Les Grandes découvertes (les voyages au bout du monde) ont changé les relevées cartographiques en permettant ainsi l’identification de nouvelles terres émergées

de la comédie, qui prévoit des actions plus longues. 2. La comédie satirique L’une des caractéristiques du comique, c’est de se moquer des contemporains, des gens parmi lesquels on vit. Molière attaque différents corps sociaux, religieux et mondains. Le corps social les plus violemment attaqué est celui des médecins : leur mise en cause comique a lieu dans de nombreuses pièces. Il critique aussi les « faux-dévots » religieux et les aristocrates qui ridiculise. 3. La comédie mythologique Quand Molière

litote : permet d’appuyer qu’il y a pire que « l’Horreur » v14, « Meurtre » = jalousie, crime passionnel, « orgueilleux » v16 (=péché)· opposition CL de la beauté et de l’amour (« bijoux v14, charmant v14, chères v15, amoureusement v16 »)· mention religion : « Bénissons » v18· le poète brûle au sens figuré d’amour et de passion : métaphore « chandelle » v17 + CL feu « crépite, flambe, flambeau v17 »· beauté directement associée à la mort : métaphore « tombeau » v203.· reprend la forme de la 1ère strophe :

Le portrait que le romancier fait de ses personnages révèle la vision qu’il se fait de l’être humain, la place qu’il accorde au rang social Ce qui est plat, prosaïque, n’est pas romanesque. Le héros comique Le vagabond se prête à toutes les aventures des romans comiques Le héros du roman comique traverse la société de son temps pour en montrer les travers et les ridicules  le roman burlesque évoque des scènes de la vie quotidienne. Cyrano de Bergerac, Charles Sorel Le héros précieux Descendant

abondante (plusieurs fois:) et trois phrases plus courtes dans le deuxième paragraphe. b) Une ironie comique. ironie présente dans plusieurs expressions : « les sages du pays » , Voltaire les prend évidemment pour des imbéciles, « bel auto-dafé », que l’auteur réprouve, « belle musique en faux-bourdon », qui n’est donc pas belle ou harmonique, hyperbole ironique « secret infaillible ». Euphémismes comiques : « quelques personnes brûlées », réduit la portée des exécutions, « appartements d’une extrême