Comique Critique Religion

du chapitre 25 au chapitre 58A faire dans votre cahier de lectures pour le : mercredi 20 octobre Les enjeux de cette dernière partie du romanRabelais, et son narrateur Alcofribas Nasier, ne renoncent pas au comique : il est encore très présent, tant dans le récit de la guerre (où le comique gigantal et carnavalesque, lié notamment au personnage très développé de frère Jean, permet, en la rendant énorme, de réréaliser la violence, et l’univers chevaleresque de la « prouesse ») que dans la satire

conteurs (= devisants). Présentation du passage : Ici, 65ème nouvelle, une des + courtes. Elle traite de la naïveté et de l’hypocrisie en matière de religion en racontant comment une scène burlesque entre une vieille dévote et un soldat endormi dans l’église manque de passer pour un miracle. Proposition de problématique : En quoi cette nouvelle comique est-elle chargée d’une visée satirique moins à l’égard de la naïveté des vieilles dévotes qu’à celui de la cupidité des hommes d’Eglise. Composition

toujours du rare et de l'étonnant. Cependant, l'art classique s'organise peu à peu, sur le double principe de l'observation morale et de la régularité formelle. La philosophie cartésienne opère d'abord comme un auxiliaire de l'art classique et de la religion, en attendant qu'elle aide à les dissoudre : par le goût du vrai, le respect de la logique et de la raison, l'intérêt donné aux choses de l'âme, elle aide l'esprit classique à se dégager du lyrisme et du précieux. Enfin, la langue épurée par Malherbe

Survient son serviteur La Ramée qui lui annonce que douze hommes sont à sa recherche pour le tuer. Dom Juan s'enfuit et songe à se travestir. Acte III Dans la forêt. On retrouve Dom Juan en habit de campagne et Sganarelle déguisé en médecin discutant religion et médecine. Ils demandent à un pauvre leur chemin. Dom Juan tente, en vain, de le faire blasphémer pour une obole. Il s'interrompt pour porter secours à Dom Carlos assailli par trois brigands. Il apprend que Dom Carlos est le frère de Done Elvire

essais, apologues… Convaincre, persuader, délibérer… Thématique : Les différents paravents mis en place par les auteurs dans l’argumentation. Problématique générale : Quels sont les paravents que mettent en place les auteurs devant leur critique ? L’argumentation indirecte est-elle plus efficace ? Pourquoi a-t-elle été mise en œuvre ? Mouvement littéraire et culturel Européen Le XVIIIème siècle : Les Lumières Thématique : La littérature « engagée »

Le comique dans « Zadig ou la destinée » ------------------------------------------------- Marta González Rivero ------------------------------------------------- Literatura s. XVIII ------------------------------------------------- 5º de Filología francesa 1. INTRODUCTION Avant d’entrer au XVIIIe siècle, il faut dire que le siècle antérieur laisse une sensation de stabilité générale. On dit du XVIIe siècle que c’est une époque marquée par le christianisme et la monarchie. On dirait

l'exposition de cinq facettes de Dom Juan : l'infidèle (acte I), le séducteur (acte II), le libertin grand seigneur (acte III), l'inhumain (acte IV) et l'hypocrite (acte V). c. Analyse Don juan est une pièce qui dénonce les absurdités de la religion. Molière donne son point de vue sur de nombreuses choses dont la noblesse et son honneur en mettant dans le personnage de Don juan des traits de caractères fixes et un refus de toutes règles. On pourrait presque dire que c'est un asocial ou un rebelle

 Molière s’attaque aux très influents dévots. Parmi eux se trouvent des hommes religieux corrects, sincères et innocents mais aussi des hommes sans aucune morale d'esprit et qui profitent de ce rôle sans pitié. C’est cette seconde catégorie que Molière tente de critiquer. Mais il dépeint aussi une famille aisée de la grande bourgeoisie. Orgon, ayant établi sa position financière, cherche une sorte de légitimité religieuse. Comme tous les grands bourgeois dépeints par Molière, il fait preuve d’une certaine naïveté

1980 à la faveur d’un document posthume. Ce livre a été écrit dans une période difficile pour l’auteur. Les critiques s’étaient habitués à un certain style et trouvaient en Romain Gary un auteur constant et vieillissant. Emile Ajar est alors apparu, un auteur libre au style nouveau, bénéficiant d’un regard neuf. Une véritable renaissance. Un nouveau souffle, tant pour les critiques que pour l’auteur car cette œuvre justement se caractérise par cette nouveauté. Un style inédit est mis au point

l’ensemble de ses constituants, mais ne peut-on pas au moins essayer ? C’est Voltaire qui introduit le mot humour dans notre langue. « Les Anglais, dit-il dans une lettre à l’abbé d’Olivet, ont un terme pour signifier cette plaisanterie, ce vrai comique, cette gaieté, cette urbanité, ces saillies qui échappent à un homme sans qu’il s’en doute ; et ils rendent cette idée par le mot humeur, humour, qu’ils prononcent yumor ; et ils croient qu’ils ont seuls cet humeur, que les autres nations n’ont point