Comique De Geste Des Fourberies De Scapin

Séquence sur Le Théâtre classique et la Comédie Compétences évaluées : -Lire le texte littéraire, la comédie du XVIIe siècle -Construire une réflexion sur la langue, repérer les procédés du comique I. Le Théâtre Classique : La tragédie et la comédie Voici quelques résumés de comédies et de tragédies du XVIIe siècle. Ils vont vous permettre de différencier ces deux genres du théâtre classique. Pour ce faire, vous compléterez le tableau de comparaison. Ensuite, vous prendrez connaissance

inconscient, où l’inconscient donne à voir les images qu’il réinvente à l’aune du désir, pour un autre montage. Une de ces hallucinations, la plus émouvante à mes yeux, situe Madeleine au sommet de l’escalier, s’accoudant à la balustrade dans un geste quotidien et un sourire d’amour simples, cet amour tendre qui l’attend au bout du compte, réconcilié, évident, revenu, au fond jamais perdu, et disant l’évidence du pardon sans qu’il y ait à passer par le pardon. Et puis, l’ultime vision, le socle

HLF Chanson de geste  poème narratif chanté, exploits guerriers Thèmes : héroïsme, patriotisme et mysticisme Inconnu : La chanson de Roland Littérature courtoise  élégance et affinité envers femmes (+ important que Dieu) Inconnu : Tristan et Iseult Inconnu : Légende du roi Arthur Littérature populaire & bourgeoise Narrative : Inconnu : Les fabliaux (on veut faire rire) Inconnu : Le roman de Renart Dramatique Inconnu : La Passion (du Christ) Inconnu : Farce de maître Pathelin Poésie

scolaire : 2014-2015 SOMMAIRE INTRODUCTION Problématique : En quoi l’œuvre de Molière l’Avare est-elle une pièce comique ? I-Présentation de l’œuvre et de l’auteur 1-Fiche d’identité de l’œuvre 2-Biographie de l’auteur : Molière 3-Bibliographie 4-Mouvement littéraire 5-Présentation des personnages II-La Comédie 1-Définition de la comédie 2-Les procédés comiques au théâtre 3-L’Avare une pièce comique 4-Résumé de l’œuvre III-Analyse de l’œuvre 1-Etude des personnages 2-Etude thématique 3-Cadre historique

personnages. Le roi veut sacrifier sa fille en préservant sa femme. Cette dernière, ne comprenant pas l’attitude de son mari, s’y oppose fortement jusqu’à ce qu’il lui intime l’ordre d’obéir sans discuter. Ces scènes, quelles soient tragiques ou comiques, mettent en scène des moments de paroles violentes qui tiennent en haleine le spectateur. Celui-ci assiste à des cris, des hurlements qui créent du rire ou de l’inquiétude, et qui provoquent simultanément intérêt et éveil. Mais l’écrivain ne

ans dans une troupe en tant que comédien, puis écrit en 1659 les précieuses ridicules, pièce qui lui donnera la célébrité. Il enchaîne ensuite avec de nombreuses pièces qui rencontreront autant de succès, comme le bourgeois gentilhomme, les fourberies de Scapin ou encore l'Avarre. Parmi ses pièces à scandale nous comptons Tartuffe, qui est une pièce dans laquelle il critique les faut dévots, mais aussi Dom Juan, oeuvre sur laquelle nous allons porter notre objet d'étude. Rédigée à partir d'aout

sont ancrés dans la vie quotidienne 4.2 Les principaux objets risibles 4.3 Le rire et les sujets tabous 4.4 L'homme peut rire de tout 4- COMMENT FAIRE RIRE ? 5.1 Le ou les rires ? 5.2 Des rires et des comiques différents 5- LES MANIÈRES DE FAIRE RIRE 6.1. Les multiples facettes du comique 6.2 Des moyens différents pour des visées différentes 6- LE RIRE EST-IL LE PROPRE DE "L'ANIMAL SOCIAL" ? 7.1 La socialisation du rire 7.2 Le rire et la femme 7.3 Qui rit de qui ? 7.4 Le rire, expression

de corps (scène 1, le trouble de Dorval et scène 2 par le ton de Charles) que par les paroles propres des personnages. La tonalité du texte est globalement pathétique. Elle correspond au registre sérieux voulu par Diderot, ni tragique ni comique. Le décor rappelle un milieu social aisé, mais non pas aristocrate. Ici, le pathétique repose notamment sur le jeu, sur la pantomime de la première scène qui décrit par le jeu du corps le trouble de Dorval. De plus, la décision prise par Dorval, la

réactions du public. Ils donnaient libre cours à leurs talents de chanteurs, d'acrobates, de danseurs ou de mimes. Ils n'improvisaient pas au hasard, mais exploitaient le bon moment pour amuser et faire participer le public à l'action, comme nos comiques contemporains, Raymond Devos, Guy Bedos. C'étaient de acteurs de métier, donc de l'art (dell'arte). "Qui dit bon comédien italien, dit homme qui a du fonds, qui joue plus d'imagination que de mémoire, qui compose en jouant tout ce qu'il dit, qui

cursives : textes et documents complémentaires • Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves, 1678 : « La reine dauphine faisait faire... un autre qu'un amant ne se serait pas contenté de la peinture sans la boîte. » (cf. doc. joint) Scarron, Le Roman comique, 1651- 1657 : « Elle envoya sa servante... Elle cria qu'elle était morte. » (cf. doc. joint) Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932 : « Serais-je donc le seul lâche... il faut avoir peur, toujours. » (cf. doc. joint) Textes autour des héros antiques