Comique De Mots

langage patois de Pierrot, et langage soutenu de Don J. Pierrot fait rigoler, il est ridicule. Comique de mots qui soutient et amplifie le comique de geste. Ex : A la ligne 283 à 287 il lui donne des soufflés, Pierrot ne se défend pas et il jure à chaque fois. Lorsque P prend la fuite, il dit qu'il n'a pas peur (Comique nait du décalage entre l'attitude de P. et son discours) Il se moque de tout. Comique de mots à ce que dit charlotte à la ligne 291-292. P pense que C va avoir une aventure avec Don J

dégager leurs procédés comiques et en expliquer leur but. Dans un premier temps, étudions le registre et la forme de ces trois textes théâtraux. Bien que les œuvres desquelles ils sont tirés ne suivent pas forcément la même logique, ces écrits appartiennent au registre comique. On soutiendra par exemple, que la composition d’Alfred de Musset On ne badine pas avec l’amour représente bien un drame romantique, malgré le fait que le passage proposé possède une tonalité comique. En effet, ces extraits

du comique : A/ Comique de situation (Claudio qui croit que sa femme a des amants alors qu'elle vient de refuser une demande, Coelio qui n'a pas l'audace de parler face-à-face à Marianne etc.) B/ Comique de geste (peu de didascalies de gestes externes, certes, mais des didascalies internes sous-entendues; excès des entrées et sorties renforcé par "il y pleut des guitares...", comportements assez hystérique de Claudio et aggressif de Marianne etc.) C/ Comique de mots : 1/ Le comique de Marianne

purge bébé». C’est une scène comique traditionnelle cependant G.Feydeau y apporte une touche personnelle et originale par l’introduction de l’absurdité. On peut percevoir que la scène prépare le retournement final. Dans cet extrait, c’est un dialogue entre deux personnages: - Follavoine et Rose qui est la domestique de ce dernier. Nous allons nous demander ce qui rend ce texte comique. Dans une première partie, nous étudierons les différents aspects du genre comique. Ensuite dans la seconde partie

dans le monde très fermer des précieuses mais qui est révélé par Molière qui se moque de ce monde . En quoi ses deux scènes sont satiriques ? Paragraphe : Première partie Ont remarque que dans c'est deux scènes il y a deux sorte de comique , un comique de situation qui est fondées sur des situations de quiproquos entre les personnes comment ont peut le constater dans la scènes 6 grâce à l'incompréhension de Marotte suite a la réplique de Magdelon (« je n'entends point le latin » l. 3, ou

ailleurs, les registres sont souvent en relation avec un genre : comédie et registre comique, épopée et registre épique, poésie lyrique et registre lyrique.. Ces traits sont souvent présents dans d’autres contextes : un poème peut exploiter le registre comique, un roman peut exploiter les procédés propres à l’épopée… Enfin, dans un même texte peuvent se trouver combinés plusieurs registres. LE REGISTRE COMIQUE : faire rire GENRE - Très fréquent au théâtre, mais il traverse également tous les genres

insultant et en imitant un cochon. Enfin il prétend n’avoir que la paix dans le cœur pour les autres pays bien que les gestes indiquent plutôt que la politique d’avenir de la Tomainie est la guerre. 2-Quels sont les types de comiques utilisés dans la scène ? Les comiques de visuel : On peut d’abord parler du geste de la main d’Hynkel pour faire taire la foule, si léger et raffiné venant de ce petit homme autoritaire. Il contraste entre le discours sérieux et la gestuelle gracieuse. Ensuite la

Shakespeare. Sur quels procédés repose la parodie de ces deux œuvres ? Premièrement, nous nous baserons sur la pièce de théâtre de Jean Cocteau, puis deuxièmement sur la bande dessinée de Gotlib et Alexis. Tout d’abord on peut constater des passages comiques, comme dans la pièce de théâtre de Jean Cocteau, au moment où Jocaste dit que « cela empeste » et que le jeune soldat lui répond « c’est justement, Majesté… Le fantôme disait que c’est à cause des marécages et des vapeurs qu’il pouvait apparaitre

par exemple lors de la troisième réplique : l’emploi de deux phrases exclamatives révèle un agacement mêlé de mépris. 3. Enchaînement des répliques par réaction aux mots de l’interlocuteur. Par ex, toujours à la troisième réplique, Silvia reprend les mots de Lisette. Silvia a une pointe de mépris pour Lisette et reprend donc ses mots pour construire ses phrases. On a aussi peu de longues tirades mais plutôt des stichomythies. II. Conflit de deux personnalités 1. Une maîtresse et sa servante.

surprendre 1) Insister avec les mots et la syntaxe La répétition (anaphore si en début de phrase, ou propositions successives) → effet de martèlement. Le parallélisme : même construction dans une succession de phrases. L'amplification, l’énumération, l’accumulation, la gradation, l'hyperbole, frappent l'esprit du destinataire. Éléments mis en relief (voici...Voilà, c'est...qui) . 2) Faire naître des émotions avec le lexique La dramatisation : emploi de mots forts et générateur d'émotion