Comité de salut public

créent un comité de salut public. Ils estiment que la France ne va pas dans leur sens. Le même jour Pierre Pflimlin se met en place mais il n'arrive pas à asseoir son autorité, il démissionnera le 28 mai. La situation est d'autant plus difficile que la France est contestée au niveau international : elle c'est permise de bombarder un village Tunisien (civils tués). Ce climat explique la situation instable du gouvernement français. En 3 ans on se retrouve dans une situation inexplicable. Comité de salut

à la Convention, est suivi d’une révolte fédéraliste en province : Bordeaux, Nantes, Lyon, Aix, Avignon, Marseille... Le 12 Juillet 1793, la rébellion gagne Toulon : les fédéralistes chassent la municipalité jacobine. Dans le courant de l’été le Comité qui détient le pouvoir à Toulon prend un tournant monarchiste. Le 25 août, Toulon proclame Louis XVII et arbore le drapeau blanc. L’amiral Trogoff, commandant l’escadre française de Méditerranée, prétexte une maladie diplomatique pour masquer sa trahison

gardée par quatre-vingts invalides et trente-cinq suisses. Une nombreuse troupe marche sur la Bastille : le gouverneur, le marquis Bernard-René Jordan de Launay, veut résister mais, à la demande de médiateurs venus de l'Hôtel de Ville où siège un comité permanent, organe de l'insurrection bourgeoise, il rédige à la hâte un papier par lequel il accepte la reddition de la forteresse en échange de la promesse qu'il ne sera fait aucun mal à la garnison. Il laisse la foule pénétrer dans la première cour

en tout cas jusqu'à la veille de leur convocation, quand celle-ci devient évidente : ils estiment être les seuls qualifiés pour parler au nom du peuple. Leur opposition devient subversion : par leur capacité à propager leurs propres thèses dans le public, par exemple en publiant sous forme de brochures les remontrances qu'ils adressent au roi lors des enregistrements de textes législatifs, ils répandent de façon efficace l'irrespect du pouvoir monarchique. 1.7. La « féodalité d'Ancien Régime »

du Conseil exécutif quand il écrit, le 30 octobre 1792 : « (...) le Rhin (devait) être la seule borne de notre campagne [militaire] » (5) ? Car, l'idée que le Rhin devrait devenir la frontière fran çaise à l'est naît, ou du moins prend son envol public, avec les proclamations de la Convention en date du 19 octobre et du Conseil exécutif en date du 24 octobre 1792. La première exhorte les volontaires qui étaient nombreux à vouloir quitter l'armée puisque les armées allemandes n'étaient plus sur

la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société ; elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible. Art. 5 – Tous les citoyens sont également admissibles aux emplois publics : Les peuples libres ne connaissent d’autres motifs de préférence, dans leurs élections, que les vertus et les talents. Art. 6 – La liberté est le pouvoir qui appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui : elle a pour

profits des montagnards. L'arrestation et l’exécutions de leur chefs entraine le soulèvement d'une partie de la province. Au printemps 1793 la convention dominé par les montagnards créé un tribunal révolutionnaire pour juger les suspects et un comité de salut public par Robespierre qui installe la dictature et conduit la guerre. En juin 1793 est voté une nouvelle constitution, la troisième. Le suffrage universel masculin, l'instruction obligatoire... la terreur s'installe, les libertés sont suspendues

divisions et de la lassitude de certains élus :"Pour nous, hors de l'Assemblée législative, nous servirons mieux notre pays qu'en restant dans son sein. Nous éclairerons ceux de nos concitoyens qui ont besoin de lumières, nous propagerons partout l'esprit public, l'amour de la paix, de l'ordre, des lois et de la liberté". N'ayant plus de charge parlementaire, Maximilien part un mois et demi à Arras. Il est accueilli avec fierté par Charlotte et Augustin, triomphalement par le petit peuple, beaucoup plus

constituante. 1er octobre : ouverture de l’Assemblée législative. 16 octobre : Massacres de la Glacière à Avignon. 17 novembre : Pétion maire de Paris à la place de Bailly. Il avait comme adversaire La Fayette. 25 novembre : création du Comité de surveillance (futur Comité de sûreté générale). Année 1792 [modifier] Article détaillé : 1792 en France. Janvier : création par Jean-Nicolas Pache, ami de Gaspard Monge, de la société patriotique du Luxembourg, comprenant, outre Monge, Jean-Baptiste Marie

oppressant les minorités. Le terme politélia d’Aristote est remplacé par lui-même à la place de res publica. Notre régime actuel est possédé par le plus grand nombre mais a pour but le droit commun. L’idée même de République est un concept d’intérêt public, les pouvoirs souverains mènent en action dans un intérêt général qui dépasse les intérêts particuliers et qui vise le bien commun. A ceci s’ajoute l’idée de la République qui est intrinsèquement liée à l’idée de politique. L’activité la plus archaïque