Comité sur la situation des espèces en péril au Canada

photocopie et par microfilm, sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contravention sanctionnée par le code pénal. Nous tenons à remercier les professeurs et membres du personnel qui ont fait partie du Comité de révision de ce cahier et qui, grâce à leurs suggestions, nous ont permis de mieux cerner les besoins des étudiants. Robert Lévêque Francine Létourneau Collège Édouard-Montpetit Avant-propos Le but de ce document est de fournir à l'étudiant

végétation, en effet, aura tendance à "migrer" vers des altitudes supérieures où les conditions climatiques de demain seront plus semblables à celles d'aujourd'hui. Les espèces déjà proches des sommets seraient appelées à s'adapter ou à disparaître, ne trouvant plus d'endroits vers lesquels migrer. Par ailleurs, la compétition entre espèces se ferait au détriment de celles dont les capacités d'adaptation et de migration sont plus faibles. • L’eau, la neige et la glace: Le cycle hydrologique peut

consacrée à la culture de la pomme de terre est de 19 097 hectares, dont 57 % est consacrée à la pomme de terre de table, 21 % à la production de croustilles, 14 % aux pommes de terre prépelées et 8 % à la pomme de terre de semence (Statistique Canada, 2001). Les principales régions où l’on cultive la pomme de terre au Québec sont celles de Lanaudière (4 113 hectares), plus spécifiquement le secteur de Joliette, et de Québec (3 944 hectares), en particulier le secteur de Portneuf. Le Saguenay–Lac-Saint-Jean

(1893) des baleines (1931), protection de la fourrure des phoques (07/02/1911) • Distinction entre espèces « utiles » et « nuisibles » : protection des oiseaux insectivores utiles à l’agriculture et destruction autorisée des rapaces (Convention de Paris, 1902) 1930-1968 : premiers accords internationaux de protection de l’environnement • 11 mars 1941, Fonderie de Trail (Etats-Unis c. Canada) : reconnaissance du principe où un Etat n’a pas le droit d’utiliser son  territoire pour causer un

menaçants pour l'homme, la société, l'économie ou l'environnement et qui de manière désintéressée décide de les porter à la connaissance d'instances officielles, d'associations ou de médias, parfois contre l'avis de sa hiérarchie. Au Québec et au Canada francophone, le terme utilisé pour traduire whistleblower est celui de dénonciateur – bien que le terme « lanceur d'alerte » ait été reconnu en 2006 dans la fiche dénonciation (domaine comptabilité) du Grand Dictionnaire terminologique de l'Office

solution véritable. Dès lors, le nombre et la complexité des paramètres à cerner pour assoir le fonctionnement d’un cadre de protection des ressources marines rend la tâche bien plus qu’épineuse, exigeant à la fois rigueur et malléabilité selon les situations ; les océans recouvrant 70% de la surface terrestre, c’est un champ des possibles quasiment infini qui tient à être perçu au mieux pour être géré. Traiter dans la présente étude de la faune marine ne peut ainsi se conférer le luxe d’écarter plusieurs

des « sciences de la vie »[3] pour donner l’impression sécurisante qu’il s’agirait de poursuivre ce processus de sélection artificielle issu de la domestication des plantes. Il n’en est rien, car la transgénèse transgresse les barrières entre les espèces, voire même entre les genres différents.[4] La transgénèse[5] consiste à modifier le génome d’un organisme en y ajoutant un fragment d’ADN provenant d’un autre organisme dans le but de lui attribuer une fonction qu’il ne possédait pas naturellement

u r les A l p e s s.r.l. B. sur Pages 16-17: Pour défendre l'environnement, les ONG agissent dans de nombreux domaines. Elles mènent des actions de protestation, de sensibilisation, de recherche scientifique, de sauvegarde des habitats et des espèces... Elles participent à l'éducation des générations futures. Photographies - Y. Noto-Campanella 30 Les ONG à travers le miroir C e numéro de Naturopa est consacré aux organisations non gouvernementales (ONG) et à leur rôle dans la conservation

Docteur ès Lettres (université Paris VIII), il a participé à des conférences dans différents pays d'Europe et d'Amérique sur des aspects en rapport avec la diversité culturelle. Fco. Javier Rabassó, titulaire d'un PhD à l'université de Toronto (Canada), est maître de conférences à l'université de Rouen. Frères jumeaux, ils ont publié en collaboration quatre ouvrages et une trentaine d'articles. Au sein du département des Langues des Cultures et des Sociétés de l’ESC Rouen, Carlos et Javier

Robert Barbault Rédacteur en chef : Lisa Garnier Révision : Françoise Fridlansky Création graphique : Kelig Boëdec Photos de couverture : © SMAEMV, © V. et F. Sarano Cette publication, ainsi que sa traduction en langue anglaise, ont été initiées par le Comité français du MAB (www.mab-france.org) et ont bénéficié de subventions de la Direction générale de la Coopération internationale et du Développement du ministère des Affaires étrangères et européennes, de la Direction de la nature et des paysages du