Doxographe

Le texte de la Lettre nous parvient grâce au doxographe Diogène Laërce, qui le retranscrit au livre X de ses Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres5. Consacré à Épicure, le livre X de Laërce reproduit également deux autres lettres, et un ensemble de 40 maximes dites « capitales »6. Jusqu'à la publication en 1888 de maximes issues d'un manuscrit du Vatican, la retranscription de Laërce constitue l'intégral du corpus attribué à Épicure6. La Lettre à Ménécée est ainsi l'une des seules

Le texte de la Lettre nous parvient grâce au doxographe Diogène Laërce, qui le retranscrit au livre X de ses Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres1,5. Consacré à Épicure, le livre X de Laërce reproduit également deux autres lettres, et un ensemble de 40 maximes dites « capitales »1. Jusqu'à la publication en 1888 de maximes issues d'un manuscrit du Vatican, la retranscription de Laërce constitue l'intégral du corpus attribué à Épicure1. La Lettre à Ménécée est ainsi l'une des

avec les hommes fournissait à Démocrite matière à rire. » (Juvénal, Satires, X, V, vers 47) poète « Quant aux sages, Héraclite et Démocrite, ils combattaient la colère, l'un en pleurant, l'autre en riant. » (Stobée, Florilège, III, XX, 53.) doxographe Heraclite : un philosophe grec de la fin du VIe siècle av. J.-C. d'humeur mélancolique Méprisant et irritable voir misanthrope. Selon de nombreux auteurs[9], il pleurait de tout quand Démocrite riait de tout. Dédaigneuse : exprime le dédain

théorie du jugement prédicatif, systématisa l’usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes. Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce…). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes 2,3,4. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la

théorie du jugement prédicatif, systématisa l'usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes. Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce…). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes[2]. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la

la logique formelle, et le premier à parler d'une "science de l'être en tant qu'être" (la métaphysique).Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce...). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes. Son époque est marquée par le renouveau de l’empire macédonien et le déclin de l’influence de la démocratie

théorie du jugement prédicatif, systématisa l’usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes. Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce…). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes2,3,4. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la

RELATIVISTE : Le fait objectif ne peut être atteint, tout est opinion et toutes les opinions se valent. LOGOGRAPHE : Nom donné aux premiers historiens antiques : professionnel de l’art oratoire. Qui rédigeait pour autrui accusations ou plaidoiries. DOXOGRAPHE : Rhétorique + ensemble des doctrines présocratiques, doxa=opinion. EMPIRIQUE : tout ce qui est naturel (monde touchable) domaine de l’expérience. ERISTQUE : exercice proposé par les sophistes : faire de l’argument faible un argument fort

théorie du jugement prédicatif, systématisa l’usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes. Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce…). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes2. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la démocratie

de toute chose : de celles qui sont, du fait qu’elles sont ; de celles qui ne sont pas, du fait qu’elles ne sont pas.» De nombreuses interprétations ont été données à cet énoncé dans l'histoire de la philosophie. Ainsi, selon sextus empiricus , doxographe grec considéré lui-même comme un Sceptique, Protagoras affirme que "l'homme est le critère (kriterion) de tous les objets". Ainsi, "(...) il ne pose pour chacun que les seuls phénomènes et de cette manière, il introduit le relativisme2". Dans le