Commandant

il marchait à l'ennemi signalé sur l'Orne vers Buzy. A la sortie nord-est d'Hennemont, il prenait la formation préparatoire de combat. A 16h30, l'artillerie ouvrait le feu. A 17h30, le 2e bataillon (commandant GARNIER) entrait dans la zone de feu en direction sud-est de Buzy; le 1er bataillon (commandant COURJON), suivant la progression e. appuyant à droite, entrait en ligne vers 18h 30 et atteignait la lisière nord de Saint-Jean-lès-Buzy. A 19h 30, le 2e bataillon s'installait aux avant-postes pour

En 1816, après la défaite de Waterloo et alors que Louis XVIII s'installe sur le trône de France, une frégate "La Méduse" quitte le port de Rochefort sous les ordres du commandant Duroy de Chaumarey avec, à son bord, le futur gouverneur du Sénégal et sa famille. Après un échouage au large des côtes de la Mauritanie, le commandant monte dans une chaloupe pour rejoindre le rivage. Ses troupes, 150 hommes, prennent alors place sur un radeau de vingt mètres sur sept. Le plan d’évacuation prévoyait son

bâtiment, battue par l'hélice, moussait, semblait se tordre, remuait tant de clartés qu'on eût dit de la lumière de lune bouillonnant. Nous étions là, six ou huit, silencieux, admirant, l'oeil tourné vers l'Afrique lointaine où nous allions. Le commandant, qui fumait un cigare au milieu de nous, reprit soudain la conversation du dîner. - Oui, j'ai eu peur ce jour-là. Mon navire est resté six heures avec ce rocher dans le ventre, battu par la mer. Heureusement que nous avons été recueillis, vers

genre de contraste et de represention des corps. Decription de l'oeuvre : Elle represente Le naufrage de la "Méduse" qui était une frégate française qui allait vers le Sénégal en 1816. Cette fregate fit naufrage suite au manque d'expérience du commandant au cour d'une tempête. La plupart des 150 passagers sont mort, tres peu on reussi a se rassembléssur un radeau. Le radeau occupe le premier plan, ce radeau est fait de bois et on peut y voir un mat et une voile. Les survivants forment une pyramide

dans une corbeille, d’un bordereau d’envoi aux services allemands de notes relatives aux activités militaires de la France. En 1896, une contre-enquête menée par le lieutenant-colonel Picquart du service de Renseignement établit la culpabilité du commandant Esterhazy et démontre la fabrication d’un faux accusant injustement le capitaine Dreyfus. Le 11 janvier 1898, Esterhazy est acquitté par un conseil de guerre. Le 13 janvier est publié dans le journal L’Aurore un article d’Émile Zola intitulé « J’accuse

comprend pas le commandant de cercle et n’attend par cette réponse à cette question rhétorique. L1 « Ta carte d’identité ! Ta carte d’identité ! » L1 « Qu’est-ce que cette histoire de carte d’identité ? » L18 «Alors, de quelle identité s’agit-il ? » L20 « Quel drôle de mot ! » La ponctuation : Les points d’exclamation et d’interrogation Cette ponctuation est la matérialisation des sentiments de profonde d’indignation de mélédouman qui tient à persuader le commandant qu’il ne lui est

l'ordre et au nom de l'Empereur du Japon et du gouvernement japonais. Puis Yoshijiro Umezu sur l'ordre et au nom du Quartier général impérial. Ensuite, le Général Douglas MacArthur, commandant du sud-ouest Pacifique et commandant suprême des forces alliées, signa également. Après la signature de MacArthur en tant que commandant suprême, les représentants suivants signèrent les actes de capitulation au nom de chacune des Puissances Alliées : ● Le Fleet Admiral Chester Nimitz pour les États-Unis (9:12

le général Gonse de s'être rendus complices du même crime, l'un sans doute par passion cléricale, l'autre peut-être par cet esprit de corps qui fait des bureaux de la guerre l'arche sainte, inattaquable. J'accuse le général de Pellieux et le commandant Ravary d'avoir fait une enquête scélérate, j'entends par là une enquête de la plus monstrueuse partialité, dont nous avons, dans le rapport du second, un impérissable monument de naïve audace. J'accuse les trois experts en écritures, les sieurs

PR.1b2 [De plus, ils sont assez égoïstes, ils pensent à leurs propres besoins avant ceux des autres. Effectivement, Loiseau désire laisser Boule de suif à l’auberge afin de pouvoir partir et il est même offusqué qu’elle refuse de coucher avec le commandant prussien comme dans cet extrait : «Nous n’allons pourtant pas mourir de vieillesse ici. Puisque c’est son métier, à cette gueuse, de faire ça avec tous les hommes, je trouve qu’elle n’a pas le droit de refuser l’un plutôt que l’autre.» En l’absence

blancs lui fera découvrir les laideurs de cette société qui pourtant se croyait supérieur à la société des blancs. Toundi commence à perdre sa vision embellie du commandant, qu'il pensait tout puissant dés qu'il le voit sous la douche et s'aperçoit que ce dernier n'est pas circoncis. Du point de vue de la culture camerounaise, le commandant ne peut pas être considéré comme un homme puisqu'il n'a pas passé le stade de la circoncision. En conséquence, Toundi se rend compte que le monde des blancs n'est