Comme des rois

l’Ouest par les Attié et les Agni Moroufoué, au Sud par les Agni Sanwi et à l’Est par le territoire du Ghana, est sous l’autorité coutumière des Rois N’denian. Les tribus fondatrices Allangwa – Denkyra – Béttié – Ahua – Affêwa - N’denian - Abradi - Assonvo - Comoénoufoué B- Les attributs * les symboles (diapo) * les grands rois (diapo) * BOA KOUASSI 3 Nanan BOA Kouassi III, Intronisé en 1997 après le décès du roi BONZOU II en 1993, fonctionnaire international, BOA

reconnaître rois des Francs avec le soutient du Pape. Par différence avec les mérovingiens, les rois carolingiens accèdent au pouvoir grâce à la cérémonie religieuse du sacre au cour de laquelle le roi reçoit l’onction. Jusqu’au début du XII° siècle le sacre est essentiel pour assurer la transmission héréditaire de la couronne. Justement, en quoi consiste le sacre sous les carolingiens ? Nous verrons tout d’abord les origines du sacre et son déroulement ; puis nous nous intéresserons au sacre comme symbole

Le premier arbre regarda les étoiles qui brillaient comme des diamants au-dessus de lui. «Je veux abriter un trésor, dit-il. Je veux être recouvert d’or et rempli de pierres précieuses pour devenir le plus beau coffre à trésor du monde». Chant numéro 2, ou extrait. Le deuxième arbre regarda le petit ruisseau qui suivait sa route vers l’océan. «Je veux être un grand voilier, dit-il. Je veux naviguer sur de vastes océans et transporter des rois puissants. Je serai le bateau le plus beau du monde»

ses formes politiques. A) La cité, cadre de vie de l’homme grecque. La Grèce du IV ° siècle AV JC est marquée par la création de nombreuses cités qui s’opposaient au royaume orientaux (pour les grecques, c qui n’est pas comme eux est barbares) car ils pensaient que les rois ne dirigeaient que des esclaves. Les citoyens ne sont que peu nombreux dans les cités qui ont un territoire plu ou moins grand. Ces citoyens ont des obligations militaires avec des soldats qui doivent s’équiper eux-mêmes

II, Scène 4 Pierre Corneille L’imbrication des comédies Problématique: Comment cette scène met-elle en évidence l’essence de la comédie ? MATAMORE Eh bien ! Dès qu'il m'a vu, comme a-t-il pris la fuite ? M'a-t-il bien su quitter la place au même instant ? ISABELLE Ce n'est pas honte à lui, les rois en font autant, Du moins si ce grand bruit qui court de vos merveilles N'a trompé mon esprit en frappant mes oreilles. MATAMORE Vous le pouvez bien croire, et pour le témoigner

1:Présentation En 1616, sous le pseudonyme L.B.D.D. (le bouc du désert), Agrippa d’Aubigné publie Les Tragiques, poème en sept chants, conçu pendant les haltes des combats, au milieu des carnages et du tumulte des guerres de Religion. Elles sont comme un brûlant météore dans le ciel de la France apaisée, ou presque, qui tente à cette époque de refouler les traumatismes, horreurs et injustices du passé. L’œuvre paraît sous Louis XIII, mais l’esprit qui l’anime est celui des batailles du siècle précédent

L’aspect esthétique 2) Le spectacle du combat II) Le spectacle de l’horreur 1) La diversité des victimes 2) La violence 3) La réciprocité des actions III) Un texte critique 1) La guerre, un fléau sans justification 2) La responsabilité des rois et de la religion 3) La critique de l’optimisme Introduction : Situation : Candide a été chassé du château de T.T.T. et à connu l’enrôlement forcé dans l’armée bulgare et se trouve en plein milieu du champ de bataille. On suppose que ce chapitre

finit par parvenir à une monarchie absolue sous Louis XIV. Pour commencer, François Ier renforce l’État royal. L’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) impose le français comme langue administrative du royaume. La centralisation progresse : les décisions royales sont mieux appliquées grâce à des agents publics plus nombreux comme les intendants. Cependant de 1562 à 1598, huit guerres de religion déchirent le royaume de France et voient s’affronter les catholiques, représentés notamment par la grande

avouant, on se retrouve, on avère à ce que l’on est. « Oui, [...] oui, [...] oui. » : anaphore qui vient scander, marquer le rythme. « Je vais m’offrir la joie » : expression même du cadeau qu’elle se fait. - Autre aspect : flux : flots ininterrompu comme si Clytemnestre se libère : exutoire (permet d’évacuer) - Fréquences des phrases exclamatives, interrogatives, et du « pourquoi ». Tirade se termine sur une exclamation. Cette dernière phrase fait de l’aveu un défi, transformation de l’aveu en défi

la cruauté du monarque. C'est ainsi qu'aux vers 30 et 31 ("La colère du Roi comme dit Salomon, est terrible et surtout celle du roi Lion") et aux vers 36 à 38 ("Venez loups, vengez la reine, immolez tous ce traître à ses augustes mânes"), nous pouvons constater que le lion est très cruel envers le cerf. Enfin il vise l'innocence des rois dans le vers final qui est la morale de cette fable : "Amusez les rois par des songes (v.52) […] Ils goberont l'appât, vous serez leur ami (v.55)"