Comme il vous plaira

je vous garantis que je vous donnerai la comédie. » Dans la scène d’exposition nous allons étudier le personnage qui se nomme Merlin : Valet de chambre parisiens, il veut faire une surprise à sa maîtresse et lui donner la comédie pour la divertir. Comme il n’a pas d’acteurs, il annonce à son maître Éraste, son maître, qu’il songe à profiter de la situation où se trouvent quelques uns des personnages qui l’entourent pour faire surgir une comédie dans laquelle valets et suivantes improviseront leur

pour voler des colliers de harengs afin de nourrir sa famille3-Précise ce qu'il mange et vole aux marchands.Il mange plus de 30 harengs et vole 3 beaux colliers (pour nourrir sa famille)4-Qu'est-ce qui montre que les renards de cette histoire vivent comme des hommes ?On est dans le merveilleuxComme les humains : Il utilise de l'argent « il n’avait plus rien à dépenser et ne trouvait plus de crédit1 chez les marchands. »il parle : « il crie aux marchands: -Dieu vous garde, beaux vendeurs de poissons

10- Molière, Don Juan, dénouement Ce dénouement fait suite à la tirade de l’hypocrisie où Dj explique qu’il va feindre de se convertir pour faire impunément « tous ce qui lui plaira ». Il met en pratique l’hypocrisie avec le frère de Don Elvire à la scène précédente, il assure à Don Carlos qu’il obéit à « la voix du ciel » en refusant Don Elvire : DJ se moque ouvertement du ciel en adoptant le personnage de faux dévots. Il franchit ici l’étape ultime du défit. C’est pourquoi le dénouement clôt la

nécessité logique, mais de l’ordre subjectif du sentiment. La beauté est relative. C’est l’idée commune, en effet, le goût est propre à chacun et la beauté qui en dépend est donc relative à chaque personne. Par exemple, un vêtement ou un objet plaira à un sujet mais ne sera pas apprécié par quelqu’un d’autre. Cependant, il existe des beautés qui ne sont pas libres mais régies par des caractéristiques spécifiques. Par exemple, une œuvre d’art est dite « belle » non pas si elle plaît et éveille

rappeler les horreurs de la première guerre mondiale tandis que dans son poème Prévert se rappelle de la mort d’un être cher lors d’une fête où il croit entendre une voix. Entre Aragon et sa femme il ya une grande complicité, ils lisent l’un dans l’autre comme dans un miroir, car sans se parler ils pensent pareil « Sans dire ce qu’une autre à sa place aurait dit » vers 15. De plus il y a une relation entre « Elsa au miroir » et « Le miroir d’un moment » car ils sont le reflet de l’âme, ils insistent sur

élèves aimeront et s’y interesseront. Mais il existe aussi, et en plus grand nombre, des professeurs qui prennent vraiment du temps pour choisir les bouquins qu’ils feront lire, qui se posent vraiment les questions suivantes : est-ce que ce livre leur plaira ? Est-ce qu’il va leur apporter quelque chose de plus dans leur vie ? Est-ce que ça leur donnera envie de continuer à lire d’autres bouquins ou au contraire, les « dégoûter » de la lecture ? Et il suffit de tomber juste une seule fois sur un professeur

jour, un seul fait accompli/ Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli » Corneille, Héraclius, Au lecteur: « Le sujet d’une belle tragédie doit n’être pas vraisemblable » William Shakespeare, extrait de Comme il vous plaira: « Le monde entier est un théâtre, et tous, hommes et femmes, n’en sont que les acteurs. Et notre vie durant nous jouons plusieurs rôles. » William Shakespeare,Le Marchand de Venise : « Je tiens ce monde pour ce qu’il est : un théâtre où

vélo de montagne je m’appelle simon et je vole sur mon tapis à pédale qui carbure au déjeuner du danger mon but est d’éviter ma sécurité les voitures les lampadaires les flaques d’eau les nids d’autruches les trottoirs les piétons le gazon est vert comme moi sur mon vélo transformant le jus d’orange sportif en mouvement rotatif je transpire ce jus sans avoir couru j’en conclu que la vitesse sue1 avec cette imagination superflue je continu ces kilomètres de plus en plus ardus des problèmes de gestion

l’idée du déguisement et sa vie aventureuse et libre. Mademoiselle de Maupin tient une place importante parmi les œuvres romantiques de l’époque. Sa célèbre Préface, qui fit scandale, est significative dans l’histoire de la littérature. Considérée comme un manifeste de la théorie de « l’art pour l’art », Gautier y fustige les visions moralistes et utilitaires de la littérature. Il y proclame sa conception de l’art qui doit être indépendant et inutile, sa seule exigence étant de viser le beau : « Il

l'éducation que se rejoignent d'abord les humanistes, soucieux de la débarrasser du psittacisme scolastique et de l'ouvrir aux nouvelles branches du savoir. On appréciera dans le texte ci-dessous l'ampleur du programme auquel Gargantua invite son fils, comme à un festin d'où devrait sortir un homme nouveau. | François RABELAIS (1494-1553)Pantagruel (1532) chapitre VIIItexte original / texte modernisé.Comment Pantagruel étant à Paris reçut des lettres de son père Gargantua, et la copie de celles-ci