Comme Robert Desnos

Tous les registres sont empruntés afin de rendre compte des choses, des idées, des humeurs différentes. Ce thème est itératif non seulement avec ses plaisirs, mais aussi avec ses ruptures et ses révolutions. Prenons par exemple les poètes baroques comme Pierre de Marbeuf dans son Sonnet, ou il use d'un lyrisme exacerbé et d'un registre élégiaque pour dire les souffrances de l'amour : « Si l'eau pouvait éteindre le brasier amoureux, Ton amour qui me brule est si fort douloureux, que j'eusse éteint

volonté de tuer = INDIGNATION DU LECTEUR conclusion Ce poème a pour but de persuader le lecteur (faire appel aux sentiments) et de l’indigner face à la guerre. Il s’agit d’un sonnet dont la dernière phrase apparait comme une chute qui suscite la relecture du poème. * Robert Desnos dénonce lui aussi la guerre et précisément la 2ème Guerre Mondiale dans Ce cœur qui haïssait la guerre (1975)

L'orthographe n'est pas vitale. On entend même souvent dire qu'elle est inutile". On lit à peu près bien un texto. On comprend tant bien que mal une phrase pleine de fautes. Mais avoir une mauvaise orthographe pénalise : elle identifie l'auteur du texte comme une personne soit négligente soit peu éduquée. Une mauvaise orthographe fait à peu près le même effet qu'un vêtement plein de taches. Voilà pourquoi on ne peut baisser les bras face à la mauvaise orthographe de son enfant. (i) Petit retour historique

le-surrealisme.com/surrealisme-dadaisme.html, c’est-à-dire le rêve, la poésie, l’amour mais également la télépathie et le psychisme. En 1922, la fin du dadaïsme donne naissance au surréalisme. L’écrivain et théoricien André Breton définit le surréalisme comme un « automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation

les outils employés par les poètes pour renforcer la visée argumentative. Enfin nous étudierons les différentes limites que la poésie peut avoir. I. La poésie : une dénonciation d’une société déficiente 1) La poésie engagée Poésie distribuée comme un acte de résistance face à l’inégalité  << La rose et le réséda >> de Louis Aragon : Montre la France prisonnière face au Allemands et pousse le peuple à se rebeller. Rallier plusieurs peuples et créer un mouvement  << Cahier d’un retour au

doit aussi évoluer. Le choix de la prose marque un parti pris de modernité de la part du poète. On ne peut rester enfermé dans des contraintes stylistiques comme par le passé ( ex : Ronsard - Du Bellay 16 eme / Tragédies du 17 eme en Alexandrins ) C'est un temps révolu, il faut " une poésie en avant " ( ex : Racine / Corneille ), comme le cite Rimbaud dans "la lettre du voyant ". Victor Hugo rejette aussi les normes classiques dans " Les contemplations réponse à un acte d'accusation " II-

l'être humain. Elle lui permet d'exprimer ses vraies émotions. Le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie. La poésie est en effet souvent reliée à des sentiments mélancoliques ou nostalgique tel que dans le sonnet élégiaque « heureux qui comme Ulysse », un poème du recueil les regrets de Bu Bellay, qu’il écrit à Rome en 1958 alors qu’il s’y trouve avec son oncle le cardinal, où il nous fait par de ses sentiments nostalgique vis a vis de son pays natal. A partir du second quatrain le lyrisme

La poésie est un genre littéraire très singulier et difficilement descriptible. Cette absence de définition fixe en fait un art aux formes et aux sujets illimités, comme le montre sa perpétuelle évolution à travers les siècles. Cependant cet art du langage a la particularité d'éveiller en le lecteur des sentiments, des émotions, par ces différents procédés. Aussi, comment la poésie réussit-elle à enchanter le monde ? Cela implique la notion de "enchanter" aux sens de merveilleux, beaux et harmonieux

animés par les mouvements de l'air, des stabiles « la sublimation d'un arbre dans le vent » d'après Marcel Duchamp. En 1923, il entre à l'Art Students League de New York où il étudie avec des peintres de l'École Ashcan comme John Sloan et George Luks. En 1924, il travaille comme illustrateur auprès de la National Police Gazette. En 1925, il réalise sur commande l'illustration des spectacles du cirque Ringling Bros. and Barnum & Bailey. Il va se découvrir une fascination pour le thème du cirque

des mêmes sonorités mais qui ont un sens différents : «Manège ton ménages » ou « Mène » et « Maine ». Il trouble alors le lecteur et crée alors un jeu. Il existe d'autres procédés comme l'antithèse qui consiste à utiliser des figures de styles qui met en parallèle des mots qui désignent des réalités opposées. Robert Desnos utilise ce procédés dans sa poésie Langage Cuit. Il donne une contradiction à ses mots « Je l'a hais d'amour », « Tout rien », sa poésie est alors illogique car cela ne peut pas