Commentaire Andromaque Acte I

thèse un moment très constructif, qui m’a permis de prendre conscience de certains flottements, et de mettre au jour certains impensés qui hantaient encore mon travail. Qu’ils en soient remerciés. 3 A. FONDEMENTS THÉORIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES I. Introduction : Perceval en question Perceval se présente à nous comme une question sans réponse. D’où vient-il ? Où va-t-il ? Que cherche-t-il ? Lorsque, dans l’opéra de Wagner, Gurnemanz pose à peu près ces questions au jeune Parsifal, celui-ci

................................................................................................................ 4 Introduction....................................................................................................................... 7 I. Histoire et historique : le livre, la traduction, la maxime.......................... 14 1. Les maximes et l’écriture aphoristique : bref aperçu historique............... 15 2. Les ambiguités du livre des Maximes....................................

même de faire comme vous voulez (profitons de la liberté pédagogique qui nous reste encore), d’utiliser ce qui vous plaît (car il faut toujours enseigner ce que l’on aime, ça passe beaucoup mieux) ou ce que vous jugez opportun (c’est le but). Dont acte. Je signale, à toutes fins utiles, quelques autres "protest songs" qui pourraient être étudiées dans le cadre d’une séquence davantage dédiée à la chanson engagée : • « La Chanson de Craonne » de Paul Vaillant-Couturier. •

même de faire comme vous voulez (profitons de la liberté pédagogique qui nous reste encore), d’utiliser ce qui vous plaît (car il faut toujours enseigner ce que l’on aime, ça passe beaucoup mieux) ou ce que vous jugez opportun (c’est le but). Dont acte. Je signale, à toutes fins utiles, quelques autres "protest songs" qui pourraient être étudiées dans le cadre d’une séquence davantage dédiée à la chanson engagée : « La Chanson de Craonne » de Paul Vaillant-Couturier. « Le Chant des Partisans »

1041. Cf. aussi « Critique de la modernité », Le Crépuscule des idoles ou Comment on philosophe au marteau [1888], ibid., p. 10131015. 21 Nietzsche, « David Strauss, le confesseur et l’écrivain », Considérations inactuelles I [1873], trad. Henri Albert, Œuvres, op. cit., vol. I, p. 156. 22 Harold Rosenberg, La Tradition du nouveau [1959], trad. Anne Marchand, Paris, Éditions de Minuit, 1962, p. 10. Comparatismes -n° 1Février 2010 19 Audrey Giboux 16 La résistance à la modernité a également

Fourier, Le Nouveau monde amoureux (1816) 5 L ’ é c a r t a b s o l u Collection dirigée par Michel Giroud Charles Fourier, Œuvres complètes : Tome I : Théorie des quatre mouvements et des destinées générales suivi du Nouveau Monde amoureux Tome II : Théorie de l'Unité universelle (à paraître) Simone Debout-Oleszkiewicz, Écrits I ; l'utopie de Charles Fourier Cet ouvrage a été publié avec le soutien de l'association Art et Société – Dijon ©Les presses du réel, 1998. Première édition : Jean-Jacques

que nous désirons recevoir certaines impressions de nature ou d’art, 24 nous avons quelque scrupule à laisser notre âme accueillir à leur place des impressions moindres qui pourraient nous tromper sur la valeur exacte du Beau. La Berma dans Andromaque, dans Les Caprices de Marianne, dans Phèdre, c’était de ces choses fameuses que mon imagination avait tant désirées. J’aurais le même ravissement que le jour où une gondole m’emmènerait au pied du Titien des Frari ou des Carpaccio de San Giorgio

marine, Comme hier, Si le bon Dieu l’avait voulu), Aragon (Il n’y a pas d’amour heureux), Jean Richepin (Les philistins, Les oiseaux de passage), Antoine Pol (Les passantes). Georges Brassens -7- L’œuvre de Brassens a été l’objet de nombreux commentaires et de nombreuses tentatives d’appropriation (aanpassing) (certains catholiques en particuliers, tel Jacques Charpentreau, essayant de démontrer que cet athée militant est un chrétien qui s’ignore…). Il est vrai que sa thématique n’est pas toujours

respectables, suggéré aux artistes, aux poètes, aux littérateurs l’idée de créations et même d’admirables chefs-d’œuvre. C’est donc, croyons-nous, un devoir de les respecter ici, et de les reproduire dans leur entière simplicité, sans pédantisme et sans commentaire, avec leurs étranges, leurs merveilleux détails, sans nous préoccuper de leur invraisemblance ou de leurs contradictions. En fait de croyances, l’humanité se laisse guider non par sa raison, mais par le désir, le besoin de connaître la raison des

respectables, suggéré aux artistes, aux poètes, aux littérateurs l’idée de créations et même d’admirables chefs-d’œuvre. C’est donc, croyons-nous, un devoir de les respecter ici, et de les reproduire dans leur entière simplicité, sans pédantisme et sans commentaire, avec leurs étranges, leurs merveilleux détails, sans nous préoccuper de leur invraisemblance ou de leurs contradictions. En fait de croyances, l’humanité se laisse guider non par sa raison, mais par le désir, le besoin de connaître la raison