Commentaire Autorité Politique Diderot Plan

maïs, les haricots, le tabac, la pomme de terre, le piment, la citrouille, la courge, la tomate, le cacao… Un commerce intense s’est développé entre l’Europe et l’Amérique grâce à ses grands voyages. L’Europe connaît un véritable essor sur le plan économique : les navires reviennent dans les ports chargés de nouveaux produits, d’or, d’argent et de pierres précieuses. Ce sont principalement les royaumes d’Espagne et du Portugal qui s’enrichissent, mais l’Europe entière connaît de même un important

C'est un tournant dans l'histoire de France : c'est un des plus grands succès du Consulat et de l'Empire. Sous l'Ancien régime, on n'avait pas su rédiger un code, la Révolution avait voulu rédiger un code et elle avait considéré que le nouvel ordre politique impliqué un nouvel ordre juridique. Par conséquent la Révolution avant essayé et rédiger un code civil par 3 fois mais l'issu été l'échec. Dés le lendemain du coup d'état, Napoléon écrit un texte dans lequel il nomme une Commission constituante et

Histoire des Idées Politiques Sommaire 1. Introduction 5 2. 1ère partie : les XVIIe et XVIIIe s - de l’absolutisme monarchique à l’autoritarisme de Napoléon Bonaparte. 6 2.1. Chapitre 1er : l’absolutisme monarchique. 6 2.1.1. Section 1 : Jean Bodin (1530-1596) 7 2.1.1.1. Introduction 7 2.1.1.1.1. Quelques éléments de biographie. 7 2.1.1.1.2. Les intérêts de Jean Bodin 7 2.1.1.2. Paragraphe 1 : La souveraineté, Puissance d’une République 7 2

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réalité de sa vie intérieure »230. 230 « Je tenterai de montrer que chaque critique a puisé dans l’oeuvre et la vie de Vauvenargues les éléments à sa convenance qui servissent en fin de compte ses goûts en matière de littérature, ses opinions politiques ou ses idées philosophiques et morales. [...] un catalogue des différents jugements portés sur Vauvenargues, [...] une sorte de doxographie »233. 233 « Les conversations de Voltaire et de Vauvenargues étaient ce que jamais on peut entendre

ou encore l’art de « rendre à chacun le sien ». Aujourd’hui, plutôt qu’un art, le droit est volontiers considéré comme une science : on parle des « sciences juridiques » (au pluriel !), voire des « sciences juridiques et politiques ». Pourtant le droit, pas plus que la politique, n’est une science exacte : les mêmes causes n’y produisent pas toujours les mêmes effets. Un art, donc, mais lequel ? Celui du législateur qui « porte » la loi ? Celui du juge qui « dit » le droit ? Celui des professionnels

au droit Texte page 15 : Les lois fondamentales, c’est un ensemble de dispositions relatives à la Couronne, au Royaume de nature coutumière qui s’impose à tous y compris le Roi. Ce sont des règles qui se sont formés par les faits, par les crises politiques et successorales. Elles s’imposent au Roi car elles sont dites intangibles. Ceux qui considèrent que les lois fondamentales sont une véritable constitution, ils reprennent le sens matériel : même si elles n’ont jamais été écrites, elles ont un

Louis XV, la politique du duc de Choiseul, qui gouverna de 1758 à 1770, fut caractérisée par un laisser-faire et une tactique du louvoiement entre les divers courants d'opinion. En fait, Choiseul s'inclina devant la noblesse de robe, qui était prête à tout pour défendre ses privilèges fiscaux, et qu'il tenta d'amadouer en expulsant les jésuites, rendus responsables de la bulle Unigenitus. Triomphante, la robe n'hésita plus alors à faire montre de fanatisme. C'est dans ce contexte politique que survint

Marivaux. Prévost. (p.58) 16.Le théâtre. Le sage. Marivaux. (p.61) 17.La crise de la poésie. Les idées esthétiques. La nouvelle sensibilité. (p.63) 18.Voltaire, théoricien, « philosophe » et écrivain. (p.64) 19.Un homme-clé du XVIIIéme siècle :Diderot. (p.68) 20.Rousseau et le préromantisme. (p.71) 21.Vers la Révolution. Le théâtre : Beaumarchais, Mercier. Le roman : Laclos, Sade. La poésie : Chénier. (p.75) 1.Humanisme et Renaissance. L’École lyonnaise. Rabelais

plus propre à bien entretenir damoizelles qu'à doctement écrire". Critique aussi du pt de vue de la morale chrétienne, immoralité et bassesse des romans qui contaminent les autres genres et inspirent goût du vice. Même des écrivains comme Voltaire, Diderot ou Laclos se font l'écho de ces condamnations. Voltaire : "Si qq romans nvx paraissent encore, et s'ils font pr un temps l'amusement de la jeunesse frivole, les vrais gens de lettres les méprisent." Rousseau : "Jms fille chaste n'a lu de roman." (préface