Commentaire Composé Le Duel Dans Bel Ami

nous plaire. Enfin nous aimons peut-être mieux élever un homme jusqu’à nous que de monter jusqu’à lui... Le talent a bien des succès à nous faire partager, mais le sot donne des jouissances ; et nous préférons toujours entendre dire : « Voilà un bien bel homme ! » à voir notre amant choisi pour être de l’Institut. — En voilà bien assez, duchesse ! vous m’avez épouvantée. Et la jeune coquette, se mettant à faire les portraits des amants dont raffolaient toutes les femmes de sa connaissance, n’y trouva

le républicain 31 succès. Mais bientôt on reconnut que c’était une mystification scientifique, et les Français furent les premiers à en rire. – Rire d’un Américain ! s’écria J.-T. Maston, mais voilà un casus belli !... – Rassurez-vous, mon digne ami. Les Français, avant d’en rire, avaient été parfaitement dupes de notre compatriote. Pour terminer ce rapide historique, j’ajouterai qu’un certain Hans Pfaal de Rotterdam, s’élançant dans un ballon rempli d’un gaz tiré de l’azote, et trente-sept fois

voudrez bien l’excuser. » Et il lui tendit la main. « C’est la juste punition de mon petit orgueil, colonel, dit le jeune homme riant toujours et serrant cordialement la main de l’Anglais ; je ne vous en veux pas le moins du monde. Puisque mon ami Matei m’a si mal présenté, permettez-moi de me présenter moimême : je m’appelle Orso della Rebbia, lieutenant en demi-solde, et, si, comme je le présume en voyant ces deux beaux chiens, vous venez en Corse pour chasser, je serai très flatté de vous

que vous voudrez bien l’excuser. Et il lui tendit la main. - C’est la juste punition de mon petit orgueil, colonel, dit le jeune homme riant toujours et serrant cordialement la main de l’Anglais ; je ne vous en veux pas le moins du monde. Puisque mon ami Matei m’a si mal présenté, permettez-moi de me présenter moi-même : je m’appelle Orso della Rebbia, lieutenant en demisolde, et si, comme je le présume en voyant ces deux beaux chiens, vous venez en Corse pour chasser, je serai très flatté de vous faire

Royauté, il y eu 7 Rois : → Le premier est Romulus (Roi Latin) qui a peuplé la ville de Rome en rassemblant les vagabonds et les délinquants des campagnes. Ensuite il a du trouver des femmes des villes comme la ville de Sabines qui accueillait les plus belles femmes : C'est l'enlèvement des Sabines. → Le dernier Roi de Rome, Tarquin le superbe, Roi Etrusque chassé par l'Aristocratie.               - Une assemblée populaire : Les Comices, où l'on y trouve les premiers citoyens de Rome, elle joue un rôle

p. 152 – Ionesco, Les Chaises, p. 138 – Reza, Art, p. 139 L’un ou l’autre de ces groupements de textes peut servir de support à des exercices d’entraînement aux épreuves écrites et orales du bac. On se reportera notamment aux sujets d’écriture (commentaire, dissertation ou invention) proposés dans la rubrique « Expression » à la suite de certaines lectures analytiques, dans la partie « Expression écrite » p. 174-178 ou aux sujets complets des pages 181 et suivantes du manuel. En cours de séquence

la volonté même des habitants. // Communes → émancipation pacifique. Développés dans le Sud et dans l'Empire germanique. Fondés à la manière romaine : organisés par des magistrats, encore plus administrés que les communes, conseil de la ville composé par l'AG des habitants et le collège des consuls. Les villes franches → Emanent de la volonté des seigneurs de s'agrandir et de s'enrichir. Ils vont coloniser, acheter des territoires, créer des villes → réseau économique de clientèle. ≠ autonomie

de ne pas avoir de droit et d'ignorer les règles juridiques qui leurs étaient applicables par les juges et magistrats patriciens. Cette loi a été rédigée en deux étapes suite aux revendications des plébéiens: - une première commission a été crée=> composé de 10 hommes chargés d'écrire la loi « DECEMVRI LEGIBUS SCRIBEND ». Ces hommes étaient tous des patriciens qui ont rédigé dix tables de lois qui ont été immédiatement votées par les assemblées populaires de Rome. Ces premières lois n'ont pas donné

amusant pour nos lecteurs. Nous nous contenterons donc de leur dire qu’au moment où, découragé de tant d’investigations infructueuses, nous allions abandonner notre recherche, nous trouvâmes enfin, guidé par les conseils de notre illustre et savant ami Paulin Paris, un manuscrit in-folio, coté le n° 4772 ou 4773, nous ne nous le rappelons plus bien, ayant pour titre : « Mémoires de M. le comte de La Fère, concernant quelques-uns des événements qui se passèrent en France vers la fin du règne du roi

amusant pour nos lecteurs. Nous nous contenterons donc de leur dire qu’au moment où, découragé de tant d’investigations infructueuses, nous allions abandonner notre recherche, nous trouvâmes enfin, guidé par les conseils de notre illustre et savant ami Paulin Paris, un manuscrit in-folio, coté le n° 4772 ou 4773, nous ne nous le rappelons plus bien, ayant pour titre : « Mémoires de M. le comte de La Fère, concernant quelques-uns des événements qui se passèrent en France vers la fin du règne du roi