Commentaire Composé Le Portrait Ovale

re  française  et  enfin  une  série  d’approches  thématiques  consacrées  à  quelques  uns  des  aspects  les  plus  caractéristiques  de  la  sculpture  française :  sculpture  et  urbanisme,  le  monument public, la sculpture monumentale, le portrait sculpté, la sculpture funéraire,  la sculpture pour amateurs et collectionneurs     Quelques éléments de bibliographie  Les grandes synthèses sur la sculpture française sont rares. En revanche, de nombreuses  monographies  anciennes  ou  récentes 

de La Modification, de Michel Butor (p.  56 ES/S et Techno / p.  58 L/ES/S)  ; dans la séquence  2, « Le portrait dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle », l’extrait d’Alain Robbe-Grillet, La Jalousie (p. 77 ES/S et Techno / p. 79 L/ES/S) ; les extraits de Marguerite Duras peuvent être reliés à ce mouvement, malgré les dénégations de l’auteur : dans la séquence 2, « Le portrait dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle », Un barrage contre le Pacifique (p. 76 ES/S et Techno / p

kaiserzeitlichen Thermenanlagen, Berlin, 1981. (FA 260 E MAN) Poulsen V., Les portraits romains. Vol. I. République et dynastie julienne, Copenhague, 1962. (FA 260 G1.1 POU 1) Poulsen V., Les portraits romains. Vol. II. De Vespasien à la Basse Antiquité, Copenhague, 1974. (FA 260 G1.1 POU 2/1-2) Rodenwaldt G., Die Kunst der Antike. Hellas und Rom, Propyläen Kunstgeschichte III, Berlin, 1927. (FA 240 B ROD) Roman Portraits, Oxford-Londres, 1945. (FA 260 G1.1 ROM) Schröder S.F., Los retratos romanos

incarne, dès les années 80, une des jeunes gloires de l’art espagnol. Grand intellectuel, Ferran GARCIA SEVILLA abandonne le mouvement conceptuel catalan pour se consacrer dans les années 80 à une peinture instinctive, primitiviste, magique. Il compose un monde poétique souverain où les figures noires et les icônes cosmiques, basculent dans un vide bleuté, énigmatique. Cette décharge brute, sans âge, n’est pas si éloignée du Torse (1983) fossile, totémique de Jaume PLENSA. José Maria SICILIA

alors qu’il était âgé de treize ans, il tomba amoureux d’elle qui lui confia sa peur de devenir folle et de mourir ; puis elle mourut en effet en 1824, et, son décès l’affectant grandement, il vint souvent lire sur sa tombe les vers qu’il avait composés pour elle (elle allait être la Lénore du ‘’Corbeau’’, et il parla de sa « chevelure d’hyacinthe » dans ‘’À Hélène’’), retrouvant dans son souvenir celui de sa mère morte. En 1848 encore, il parla d’elle comme “du seul et idolâtre amour, purement

petites grandes filles m'agacent, ça a peur de se déchirer aux ronces, ça a peur des petites bêtes, des chenilles velues et des araignées des bruyères, Si jolies, rondes et roses comme des perles, ça crie, c'est fatigué, insupportables enfin.» Commentaire “Claudine à l’école” est, dit son héroïne, «décidément un journal». Sous l'apparent décousu du déroulement scolaire des heures et de jours, c’est un mélange d'éléments autobiographiques et de fiction, construit à l'aide de notations brèves mais

de toucher un large public et de ne pas se cantonner aux équipes juniors par exemple. Ils vont aussi essayer de favoriser les jeunes français au lieu d’aller chercher des joueurs à l’étranger. Les effectifs des trois clubs sont en grande majorité composés par des français. Leur stratégie de recrutement se positionne sur un management à long terme. Ils recruteront un joueur en avenir au lieu de dépenser une fortune pour un joueur en pleine maitrise de son art. Ce type de recrutement peut être néfaste

16 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur le roman. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 VERS LE BAC Question sur un corpus : Duras, Échenoz, Chevillard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22-27 Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours 8 9 10 11 12 13 Le texte et la scène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ORALES DU BACCALAURÉAT LA QUESTION SUR LE CORPUS ¢¢ ¢¢ 32. Lire un corpus et des consignes, crayon en main 33. Rédiger la réponse à une question sur un corpus .................................. .................................. 216 221 LE COMMENTAIRE ¢¢ ¢¢ ¢¢ 34. Étudier le texte et concevoir un plan détaillé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227 35. Rédiger un paragraphe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

celui des préraphaélites anglais, précurseurs de l’esthétique symboliste. Peintres et poètes, ils libèrent le personnage du texte shakespearien, et l’intègrent à toute une constellation de figures féminines, parmi lesquelles la fameuse Beata Beatrix, portrait d’Elisabeth Siddal par Rossetti, Elaine de Grimshaw, ou encore La Dame de Shalott de Waterhouse. Ophélie sert parfaitement la représentation de l’idéal féminin préraphaélite, à la croisée des figures délicates et raffinées du Quattrocento, de l’idéal