Commentaire Corpus Avec Extraits

2 ( 1725) Jean ANOUILH, Antigone, extrait (1944) Jean-Paul SARTRE, Les Mains sales, 6ème tableau, scène 2 Bernard-Marie KOLTES, Le Retour au Désert, extrait forme de conflit (D) et met en évidence des rapports de force à la hauteur des comportements humains en question : inversion dominant/dominé (A), le conformisme (B), le meurtre politique (C), la relation au père… un moment de vérité plus ou moins violent qui remet en cause nos principes (D). II/ Commentaire : Vous montrerez d'abord comment

Questions sur le corpus : Texte A : L'extrait de l'ouvrage « l'esprit des lois » de Montesquieu dénonce l'eclavagisme en utilisant l'ironie , une sorte d'humour noir qui donne donc une vision de la réflexion des esclavagistes ridicule , il emploi donc un ton méprisant pour exprimer son dégout envers ses hommes esclavagistes . Montesquieu utilisera donc une argumentation Indirecte dans ce texte . Texte B : Dans cet extrait d'encyclopédie abordant le sujet de «  la traite des nègres »

L’animal : métaphore du poète Corpus : Document 1 : Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », 1835 Document 2 : Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal, « L’albatros », 1857. Document 3 : Tristan Corbière, Les Amours jaunes, « Le crapaud », 1873 Document 4 : Roubaud (né en 1932), Les Animaux de tout Le monde, « Le Lombric », 1990. * Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », (extrait) Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots

L’animal : métaphore du poète CORPUS : Document 1 : Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », 1835 Document 2 : Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal, « L’albatros », 1857. Document 3 : Tristan Corbière, Les Amours jaunes, « Le crapaud », 1873 Document 4 : Roubaud (né en 1932), Les Animaux de tout Le monde, « Le Lombric », 1990.  Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », (extrait) Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le

Comment identifier un héros de tragédie classique ? P. CORNEILLE, Le Cid, I, 6, 1637 J. RACINE, Britannicus, II, 3, 1669 J. RACINE, Phèdre, I, 3, 1677 Image : J. RACINE, Britannicus, mise en scène de B. Jaques-Wajeman, 2004 194 194 195 195 Corpus ⁄ ¤ ‹ › ∞ 6 ‡ EURIPIDE, Les Troyennes, 415 av. J.-C. P. CORNEILLE, Horace, IV, 5, 1640 P. CORNEILLE, Cinna, III, 4, 1642 J. RACINE, Andromaque, III, 6, 1667 J. RACINE, Bérénice, IV, 5, 1670 J. ANOUILH, Antigone, 1944 OUVERTURE CONTEMPORAINE

présente au jury les réalisations et études qui constituent le corpus du candidat élaboré tout au long de l’année scolaire. Y figurent les œuvres étudiées, jouées et chantées ainsi que les problématiques plus particulièrement approfondies. Ce document n’est pas évalué mais constitue le support des entretiens pour les deux moments de l’épreuve. • Première partie (durée 30 minutes, écoutes initiales comprises). Deux brefs extraits d’œuvres musicales, dont l’un est obligatoirement issu d’une

Objet d'étude : La poésie. Texte A : Victor Hugo, L'araignée et l'ortie, Les Contemplations, Livre III (1856). Texte B : José Maria de Heredia, Midi, « La Nature et le Rêve », Les Trophées, 1893. Texte C : Francis Ponge, Ode inachevée à la boue (extrait), Pièces,1962. Texte D: Philippe Jaccottet, Fruits, Airs, 1961-1964.  Texte A -  Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). J'aime l'araignée et j'aime l'ortie

Les travaux d’écriture : le commentaire Pour présenter l’exercice, je dirai qu’il s’agit tout simplement de l’explication d’un texte à l’écrit. Cela implique un certain nombre de contraintes : comme tout travail de français, il doit être entièrement rédigé et structuré, donc comprendre, entre autres, une introduction, un développement en plusieurs parties et une conclusion de plus, cette explication doit être ordonnée et organisée autour d’une problématique qui vise à montrer l’intérêt du texte

Bien réussir LE COMMENTAIRE 1/ Le travail de préparation Après avoir bien lu le texte, sur son brouillon, on procède par étape: a/ on identifie bien l'auteur et on mobilise ses connaissances à son sujet. Quoi qu'il en soit on repère bien l'époque à laquelle le texte a été rédigé. b/ on s'assure d'avoir bien compris le texte et faisant une situation d'énonciation rapide: qui, où, quand, pourquoi. c/ on effectue les premiers repérages de procédés d'écriture comme par exemple: - champs lexicaux

à une certaine trivialité, ou au contraire associer le rire à une esthétique et à une pensée philosophique sérieuses : tel est l'enjeu de ce corpus qui nous invite à dépasser la légèreté apparente et trompeuse du rire pour en éclairer plus profondément le sens. Le premier document, qui est une image tirée des Temps modernes de Chaplin, donne le ton du corpus : qu'il s'agisse du dialogue du Schpountz de Marcel Pagnol, ou de l'extrait de la biographie que Jean¬Robert Probst a consacrée au clown Chicky