Commentaire D Arret 16 Mai 2000

 Commentaire de l’arrêt Impact CJCE , 15 avril 2008, Impact, aff. C-268/06 Problème juridique : L’autonomie institutionnelle d’un Etat justifie-t-elle que les justiciables qui ont fait usage de la faculté de saisir des juridictions spécialisées compétentes, en application d’une loi de transposition d’une directive, pour connaître de litiges fondés sur un droit qui leur est conféré par cette directive, ne puissent saisir que les juridictions ordinaires pour connaître de litiges fondés sur

ADMINISTRATIF Pour étudier le droit administratif, il faut se référer à la jurisprudence du conseil d’Etat et du Tribunal des Conflits. Pour les examens, au choix : une dissertation ou un commentaire d’arrêt (pour le 1er semestre :dirigé (4 questions sur l’arrêt). Documentation : - les grands arrêts de la jurisprudence administrative ( par ordre chronologique, de 1873 à 2010) (GAJA) : Dalloz, 18ème édition, LONG, WEIL, BRAIBANT, DELVOLVE, GENEVOIS - Les grandes décisions de la juridiction

est synonyme d’infraction. Celle-ci s’entend d’une « action ou omission, définie par la loi pénale et punie de certaines peines également fixées strictement par celle-ci »[15]. Quant aux différentes lois régissant la matière de presse au Bénin[16], elles sont muettes sur la question du moins pour ce qui est d’une définition du délit de presse. La loi 60-12 du 30 juin 1960 parle plutôt « des crimes et délits commis par la voie de la presse ou par toute autre moyen de publication ». La loi 97-01

contraires à la constitution, mais loi pas supprimée Page 1 sur 6 France : non promulgation des dispositions inconstitutionnelles/ ou promulgation avec réserve d’interprétation II- Observations relatives à la révision constitutionnelle de 2008 A- Commentaire des articles 61-1 et 62 Tout en conservant le contrôle a priori, concentré, et par voie d’action, le pouvoir constituant dérivé a ouvert la possibilité d’un contrôle a posteriori. Les citoyens, parties à un procès, pourront désormais à cette occasion

incorporées. Ce document a été finalisé en mai 2002 ; ce rapport peut être commandé (frais de port compris) auprès de : Agence Nationale d'Accréditation et d'Évaluation en Santé (ANAES) Service Communication et Diffusion 159, rue Nationale - 75640 Paris Cedex 13 - Tél. : 01 42 16 72 72 - Fax : 01 42 16 73 73 © 2002, Agence Nationale d'Accréditation et d'Évaluation en Santé (ANAES) I.S.B.N. ANAES / Service recommandations et références professionnelles / mai 2002 -2 - Allaitement maternel – Mise

............................................................ Page 16 2.3.1. En matière délictuelle ............................................................................................ Page 16 2.3.2. En matière contraventionnelle .............................................................................. Page 16 3. Les personnes habilitées à agir .................................................................. Page 16 3.1. Le principe : le ministère public est seul compétent pour poursuivre

par deux personnes publiques fait naitre des rapports de droit privé, alors il ne peut pas être administratif. Ce principe est appliqué de la même manière pour les contrats conclus entre une personne publique et une personne privée. De fait si cet arrêt voulait apporter une simplification de la qualification, il appelle en réalité le juge à vérifier systématiquement si l’objet du contrat fait naitre des rapports de droit privé, c’est donc s’interroger sur le critère matériel à savoir si l’objet du

crise, in Le Monde Diplomatique, 15 aout 2008 3 DEYRA Michel, L’essentiel du droit des conflits armés, Gualino (coll. Les carrés) Paris 2002, p.17 4 ALDRICH George H., The Laws of War on Land, in American Journal of International Law, vol. 94, 2000, p. 62 5 VITE Sylvain, Typologie des conflits armés en droit international humanitaire : concept juridique et réalités, in Revue International de la Croix rouge : sélection française Vol. 91, 2009 p. 1 6 TPIY, aff. IT-94-1-A, Tadic, 15 juillet

jurisprudence, liés à l’importance prise par celle-ci dans certaines questions, la commission nommée a, notamment et en simplifiant, suggéré que la Cour de cassation pourrait elle-même décider de la rétroactivité ou de la non-rétroactivité de ses arrêts[4] [4] Entretien avec Guy Canivet, « Les revirements de jurisprudence... suite. La proposition a suscité un tollé où l’on a vu ressurgir nos vénérables articles et la crainte de la « saison des juges »[5] [5] Voir, par exemple, Vincent Heuze, « À

Séance 7 : La Nation  Exercice : Vous commenterez la décision du Conseil constitutionnel : Décision n° 91-290 DC du 9 mai 1991, Loi portant statut de la collectivité territoriale de Corse, Journal officiel du 14 mai 1991, p. 6350, Rec. p. 50.  Documents :  SIEYES Emmanuel - Joseph, Qu’est-ce que le tiers état ?, janvier 1789.  ERNEST Renan, Qu’est-ce qu’une nation ?, IIIème partie, Conférence prononcée à la Sorbonne le 11 mars 1882 par Ernest Renan, en réponse au «Discours