Commentaire De L Arrêt Tc Du 12 Mai 1997

d’un objectif de division par deux des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici à 2050, ce qui nécessite, compte tenu des différences de consommation entre pays, une division par quatre ou cinq de ces émissions pour les pays développés ». 12 Non seulement les miracles ne font pas partie des options politiques ouvertes, mais il est également clair qu’aucune solution ne peut prétendre répondre à elle seule aux défis auxquels nous sommes confrontés. Les partisans de tel ou tel développement

varier de 0,3 W/m.K à 0,6 W/m.K pour des masses volumiques comprises entre 800 et 1 300 kg·m-3.3 Résistance mécanique Variation de la résistance en fonction du temps | Durée [jours] | Traction [MPa] | Compression [MPa] | 1 | 4 | 5 | 2 | 7 | 12 | 4 | 8 | 28 | La dureté du plâtre varie d'environ 55 à 80 sur l' échelle de dureté Shore. Elle dépend de la proportion d'eau utilisée lors du gâchage. Recyclabilité Le plâtre est un matériau totalement et indéfiniement recyclable. Une fois sec

milliards de dollars) 12 10 10,9 11 09 10,4 10 08 BAIIA1 consolidé (en milliards de dollars) 12 10 Abonnés au service mobile Lignes d’accès au réseau Abonnés à Internet Total des abonnés au service de télévision 3,7 10* 07 Total des connexions clients BPA de base (en dollars) 12 10 4,05 11 09 3,76 10 08 3,27 Flux de trésorerie disponibles1 4 935ß$ 1 592ß$ 31,2 7 340 3 593 1 286 509 4,5 (5,2) 5,7 33,2 2,9 (5,5) – 13 113 12 728 3,0 (en milliards de dollars) 12 1,3 11 10 09

Benchmarking et reengineering..................................................... 335 10. L’entreprise orientée processus et horizontale ............................. 359 11. Production et logistique de classe mondiale................................. 393 12. Gestion des projets et management par projet ............................. 415 13. La gestion des ressources humaines ............................................. 439 © Groupe Eyrolles 14. Manager le changement .................................

Benchmarking et reengineering..................................................... 335 10. L’entreprise orientée processus et horizontale ............................. 359 11. Production et logistique de classe mondiale................................. 393 12. Gestion des projets et management par projet ............................. 415 13. La gestion des ressources humaines ............................................. 439 14. Manager le changement .....................................................

place des partenariats avec ceux-ci afin que toutes les parties réussissent leur entreprise. Les agents sont encouragés à « faire ce qu’il faut » pour obtenir les résultats souhaités. La prise de décision est déléguée à ceux qui sont en première ligne.[12] Les fonctionnaires ont besoin de connaître le cadre dans lequel ils peuvent exercer l’autonomie dont ils jouissent, et celui-ci est défini par un dispositif général de contrôle. Pour l’essentiel, ce dernier fixe les limites générales à l’intérieur

dont l’organisation gère ses processus a, à l’évidence, des incidences sur son produit final ». III.3.2.4 La série des normes Iso 9000 En 1970, la certification Assurance Qualité (AQ) a été lancée. En 1979, l’ISO a mis en place un comité technique TC 176 qui prend en charge l’élaboration des normes sur l’Assurance Qualité (assurance qualité). Et en 1987, l’ISO a élaboré la première série des normes iso 9000, elles se composaient des normes suivantes : (Jambart,1995) La norme Iso 8402 : qui traitait

11.10 Compléments 281 11.10.1 Les contraintes d’intégrité additionnelles 11.10.2 Au sujet des rôles de cardinalité 1-N 281 283 11.11 Rétro-ingénierie d’une base de données 284 11.12 Extensions de la méthode 288 11.13 Exercices 289 CHAPITRE 12 • BASES DE DONNÉES : ÉTUDES DE CAS 293 12.1 Introduction 293 12.2 Les animaux du zoo 294 12.2.1 12.2.2 12.2.3 12.2.4 Énoncé Construction du schéma conceptuel Production du schéma de tables Production du code SQL 12.3 Voyages aériens 294 294

De nombreux lecteurs m’ont écrit pour me communiquer leurs observations et me faire part de leurs remarques, je les en remercie de tout coeur. J’ajoute un remerciement particulier à mon ami Michael Kerrisk qui m’a fourni des informations et des commentaires très judicieux. Ris-Orangis, janvier 2005, Christophe@Blaess.fr http://www.blaess.fr/christophe/ Table des matières Avant-propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CHAPITRE 1

notamment composé de Sylvia Wisniwski (BankAkademie), Brigit Helms (CGAP), Dirk Steinwand (GTZ), Michael McCord (MicroSave), Graham Wright (MicroSave), Monique Cohen (USAID), et Heather Clark (PNUD). L’auteur a également bénéficié du concours et des commentaires précieux de ses collègues Susana Barton et Warren Brown, ainsi que de Christian Rodriguez, qui l’a aidée à mettre en forme le document final. Enfin, le personnel et les consultants de Development Alternatives, Inc., comme Zan Northrip, Nancy Natilson