Commentaire De La Nuit De Décembre De Musset

de la Volga contemporain des Impressionnistes. La peinture soviétique y est analysée de plus près, mais toujours avec les œillères de l’engagement communiste. On ne peut que constater le schématisme extrême et la mauvaise foi de Breton dans son commentaire (cf. les remarques sur la présence de Matisse et Picasso dans Les Lettres françaises et surtout celles de la fin avec l’apostrophe aux deux peintres) : Ils ne peuvent aucunement se dissimuler que la parodie d’art (comme on dit parodie de justice)

à la dernière partie du roman peut se comprendre comme le terme d’un parcours. La scène finale réunit ses enfants autour de son lit de mort : ainsi se clôt le roman qui s’était ouvert sur la mort de son bienfaiteur, Mgr Myriel. Tout cela mérite commentaire ou discussion. Beaucoup d’élèves, de façon spontanée, auraient donné le nom de « Jean Valjean » à la première partie du roman. Fantine, trop fugitive à leurs yeux, ne justifie pas qu’elle prenne autant d’importance. On insistera donc sur la dimension

de son côté, réécrit le texte et fait de la Matrone d’Éphèse une pièce en trois actes qui est jouée à l’opéra comique en 1714 et Voltaire, en 1747, parlera de cette histoire dans son conte philosophique Zadig. Au XIXe siècle, selon Mudry, « c’est Musset ou encore Guy de Maupassant » (Mudry 43) qui reprennent le conte mythique. Au XXe siècle, ajoutons Jean Richeplin qui reprend le conte mythique en 1920 pour le convertir en une comédie de trois actes qui porte le titre de La Matrone d’Éphèse ou la

romantisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1. Les drames hugoliens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2. Vigny et le drame tragique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3. Le théâtre de Musset. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4. Réalisme et satire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.1. Le renouveau scénique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5. Le théâtre du naturalisme

de la dissertation. Niveau 1er . Fiche 7. Le classicisme. Fiche 8. Le mouvement littéraire et culturel des Lumières(voir Manuel p° 520 et tout le chapitre 13). Fiche 9. Retour sur quelques outils d’analyse narrative. Fiche 10. Outils pour le commentaire littéraire. Fiche 11. Retour sur la logique de l’argumentation. Fiche 12. Quelques outils stylistiques 1. p°628 à 632. Fiche 13. Lexique de l’autobiographie. Vocabulaire à connaître. Fiche 14. Le romantisme, un mouvement européen de la première

dîner à la pension, la passe d’armes avec Vautrin et les lettres à sa mère et à ses sœurs. À partir de là, l’attente des réponses et les enquêtes sur le passé de Goriot. L’action ne reprendra que « vers la fin de cette première semaine du mois de décembre », au début de la deuxième partie (p. 109). 6. Paris, ville labyrinthe dont la maison Vauquer est une sorte de mise en abîme, est représenté comme un foyer de la vie politique et sociale aux connotations « infernales » ; la pension de Mme Vauquer

était encore à mes pieds, mais dans un état à désarmer la cruauté même. Elle était tout en pleurs ; le sein qu’elle avait découvert, et que je voyais par l’ouverture d’une simple robe de chambre, ses cheveux qu’elle avait détachés pour se coiffer de nuit et qui, n'étant point rattachés, tombaient tout du long de son corps et la couvraient toute ; sa beauté naturelle que cet état humilié rendait plus touchante, enfin mon étoile qui m'entraînait, ne me firent plus voir que l’objet de mon amour et l’idole

pratiquée Nerval[113]. » Gérard est un « homme de feu » qui a peur que son feu interne, son génie s’éteigne. « L’aurore [même est un ] feu caché qui monte à travers une profondeur de nuit et d’eau ; mais c’est aussi un avènement, la renaissance d’une vie, la traversée d’une trame, l’accession à un royaume[114]. » Ce feu, c’est aussi la vie tout simplement

...................................................................................... 258 FOCUS SUR L’OUVRAGE GEOPOLITIQUE DES AMERIQUES ............................................................................... 260 DOCUMENTS ET COMMENTAIRES PAR ALAIN MUSSET POUR LE CAFE PEDAGOGIQUE ..................................... 263 7 HISTOIRE.......................................................................................................................................................

était encore à mes pieds, mais dans un état à désarmer la cruauté même. Elle était tout en pleurs ; le sein qu’elle avait découvert, et que je voyais par l’ouverture d’une simple robe de chambre, ses cheveux qu’elle avait détachés pour se coiffer de nuit et qui, n'étant point rattachés, tombaient tout du long de son corps et la couvraient toute ; sa beauté naturelle que cet état humilié rendait plus touchante, enfin mon étoile qui m'entraînait, ne me firent plus voir que l’objet de mon amour et l’idole